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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 615

  • Bordeaux : une femme octogénaire traînée sur plusieurs mètres par un migrant clandestin syrien qui voulait lui voler son sac à main. Connu sous plusieurs identités, il a été interpellé

    Publié par Guy de Laferrière le 07 janvier 2023

    Les policiers de l’unité d’atteinte aux personnes de la division Est ont été chargés de l’enquête sur ce vol avec violence sur personne vulnérable

    Il s’est enfui sans butin et sans se soucier de sa victime. Mercredi 4 janvier en début de soirée, un homme a tenté d’arracher le sac à main d’une octogénaire qui marchait sur l’avenue Thiers, à Bordeaux. La ciblant au regard de son grand âge, il n’avait pas prévu qu’elle résisterait.

    Tombée par terre, traînée sur plusieurs mètres, la dame n’a pas lâché son sac à main. Le voleur est donc reparti bredouille, sa compagne dans ses pas. Mais des témoins ont assisté à la scène. Certains ont prévenu les secours. D’autres ont poursuivi le couple jusque dans une résidence où il a été interpellé.

    L’homme, un Syrien de 24 ans en situation irrégulière sur le territoire français et connu sous plusieurs identités dans l’agglomération bordelaise depuis deux ans, a été placé en garde à vue à Cenon. Il aurait reconnu les faits. Il a été présenté vendredi au parquet et écroué en attendant sa comparution pour vol avec violence sur personne vulnérable.

    […]

     

    Sud-Ouest via fdesouche

  • Harcèlement scolaire : à Condrieu (69), Victor, 11 ans, souffre-douleur de sa classe, dénonce des viols à répétition depuis des mois par un camarade ; le père de l’agresseur met la pression sur la victime

    Publié par Guy de Laferrière le 07 janvier 2023

    fdesouche

    A Condrieu, un enfant aurait été violé puis harcelé par trois de ses camarades de classe après avoir dénoncé les faits. Le parquet de Vienne a ouvert deux enquêtes.

    Cauchemars, crises d’angoisse et pleurs rythment la vie de Victor (le prénom a été modifié), un garçon de 11 ans. La vie de cet enfant, âgé de 10 ans au moment des faits, a basculé le 15 août dernier. Quand, enfin, il est parvenu à parler de l’indicible, des viols qu’il aurait subi de la part d’un camarade de classe depuis de longs mois, comme l’a dévoilé Actu Lyon.

    Des faits survenus à plusieurs reprises

    Les faits auraient débuté pendant l’année scolaire 2021-2022. Victor est alors scolarisé dans une école privée de Condrieu, dans le Rhône. Il aurait été agressé sexuellement à plusieurs reprises par l’un de ses camarades de classe alors qu’ils se trouvaient chez lui. Mais Victor se mure dans le silence, jusqu’au 15 août dernier.

    Ce soir-là, lui et ses parents sont reçus chez les parents de son agresseur présumé. Au cours de la soirée, les deux enfants se seraient retrouvés dans une chambre. Dans ce huis clos, et à l’abri des regards des adultes, Victor aurait été contraint de regarder une vidéo à caractère pornographique. Il aurait subi une fellation et échappé à une tentative de pénétration anale.

    Le garçon révèle alors son calvaire à ses parents. Mais rien ne s’arrange, puisque trois garçons, dont celui suspecté de l’avoir violé, harcèleraient la jeune victime depuis la rentrée scolaire

    (…) Aujourd’hui “son petit client”, comme il l’appelle, “rêve de se suicider, il recommence à faire pipi au lit, il ne sait plus comment se comporter avec des gens de son âge”, d’écrit l’avocat.

    BFMTV

    Les parents convoqués pour le harcèlement scolaire

    Les faits de harcèlement scolaire, eux, ne sont mis au grand jour que le 18 novembre par la directrice de l’ensemble scolaire Les Marronniers. Elle convoque les parents du trio qui terrorise le petit Victor. Ces derniers nient tous que les trois enfants harcèlent leur camarade.

    Le père de l’agresseur présumé met la pression sur la victime

    Le 8 décembre, « du drame est ajouté au drame », lâche l’avocat. Profitant d’une fête à l’école, vers 8h45, le père de l’agresseur présumé entre dans la cour de récré et se dirige où il y a les CM2.

    « Il agresse Victor verbalement. Il le fixe et Victor fond en larmes », nous indique maître Basson-Larbi. « À ce moment-là, les deux pères sont prêts à en découdre. On passe à deux doigts d’un règlement de compte… Il est venu faire pression sur la victime parce que le 8 décembre à 14h, son fils est convoqué par la gendarmerie pour l’affaire de viol. »

    Une nouvelle plainte est déposée par les parents de Victor pour violences aggravées auprès du papa qui s’est introduit dans l’école. « Il risque 7 ans de prison », lance l’avocat du petit garçon qui ne va plus à l’école depuis le 8 décembre et qui s’est vu prescrire trois jours d’ITT.

    Actu.fr

  • Cenon (33) : mécontent de ne pas pouvoir bénéficier d’une régularisation, un clandestin algérien passe une corde autour du cou de son nourrisson et le violente (MàJ : la mère réclame sa remigration)

    Publié par Guy de Laferrière le 07 janvier 2023

    06/01/22

    Mon souhait, c’est qu’il soit puni sévèrement et expulsé, afin qu’il ne nous fasse plus de mal, et que nous ne soyons plus en danger”, poursuit Rahnouch. Le père de l’enfant, âgé de 34 ans et originaire d’Algérie, vit en France en situation irrégulière. Il a demandé un délai pour préparer sa défense et sera jugé le 2 février pour violences sur ascendant avec ITT de moins de 8 jours.

    France 3

    04/01/22

    Un Algérien de 34 ans, en situation irrégulière, a passé une corde autour du cou de son nourrisson et l’a violemment tiré par le pied, devant la mère de celui-ci.

    Un renouvellement de documents d’identité a failli tourner au drame ce mardi à Cenon (Gironde). Alors qu’une femme effectuait des démarches administratives au sein de la mairie du quartier La Morlette, un individu a surgi et a passé une corde autour du cou de son bébé de quatre mois et l’a violemment tiré par le pied, selon une source policière au Figaro. L’individu a été maîtrisé par le personnel avant d’avoir eu le temps de serrer la corde autour du cou du nourrisson.

    […]

     

    Le père du nourrisson a indiqué «avoir voulu tuer le bébé avant de mettre fin à ses jours». Selon ses déclarations, cet Algérien aurait été «mécontent de ne pas pouvoir bénéficier d’une éventuelle régularisation administrative liée à la naissance de l’enfant». Il a été placé en garde à vue. Le nourrisson a été transporté à l’hôpital pour subir des examens. La mère n’a pour sa part pas été blessée.

    Le Figaro

  • Juvisy-sur-Orge (91) : Un restaurateur égorgé par un client mécontent

    Publié par Guy Jovelin le 07 janvier 2023

    Cette violente agression a eu lieu vers 17 heures dans le restaurant “Aux Deux Gares”, situé rue de Draveil. D’après les premiers éléments, un différend a éclaté entre un client ivre et le gérant de l’établissement. Ce dernier aurait refusé de le servir de nouveau et la situation a dégénéré. Le client a alors poignardé la victime.

    actu17.fr via fdesouche

  • Rénovation énergétique : la moitié du parc immobilier d’Ile-de-France pourrait être interdite à la location d’ici 2034

    Publié par Guy de Laferrière le 07 janvier 2023

    La loi Climat et résilience prévoit l’interdiction progressive de louer les logements étiquetés G, F et E, qui, en Ile-de-France, représentent la moitié du parc immobilier francilien.Depuis le 1er janvier, les logements classés G + selon leur diagnostic de performance énergétique (DPE) sont interdits à la location. Et suivront les habitations étiquetées G en 2025, F en 2028 et E en 2034. Ce qui exige pour une mise aux normes de fantastiques travaux de rénovation énergétique quand on sait qu’il y a 560.000 logements classés G dans la région. Les pouvoirs publics prévoient des dispositifs d’aides pour accélérer cette transformation du bâti mais encore faut-il que les entreprises du bâtiment puissent répondre à la demande.

    Les entreprises du BTP auront du pain sur la planche en Ile-de-France. Pour accélérer la rénovation énergétique, la loi Climat et résilience de 2021 prévoit en effet l’interdiction à la location des passoires thermiques, étiquetées de G à E selon leur diagnostic de performance énergétique (DPE). Evidemment ce sera progressif, les G à partir de 2025, les F 2028 et les E 2034, mais cela a déjà commencé puisque depuis le 1er janvier, les logements classés G +, c’est-à-dire ceux qui consomment plus de 450 kilowattheures par m² par an, sont interdits à la location. Mais surtout, cela concerne un nombre énorme de logements, puisque la moitié des résidences principales sont aujourd’hui classées E, F ou G, en Ile-de-France.

    L’Institut Paris Région (IPR) a sorti une note en octobre dernier indiquant que « l’Ile-de-France a un parc de logements énergivores supérieur à celui des autres régions (45 % contre 40 %) ». Mais avec les nouveaux DPE (voir encadré), les chiffres se sont affinés et on est donc passé à la moitié des logements. « En arrondissant, on a 27 % d’habitats classés E, 13 % de F et 11 % de G, précise Sandrine Beaufils, démographe au département Habitat et santé de l’IPR. Et dans une région en tension comme l’Ile-de-France, retirer dans deux ans 10 % du parc immobilier, ce n’est pas négligeable. »

    Alors bien sûr tous les logements G ne sont pas loués et les propriétaires résidents pourront évidemment garder le leur. Mais ça fait quand même du logement à rénover si on veut garder la même offre locative. « Pour avoir un ordre de grandeur, il y a 560.000 logements G dans la région quand l’objectif de construction en Ile-de-France, qui n’est pas souvent atteint, est de 70.000 habitations », indique Sandrine Beaufils. « On ressent déjà une raréfaction de l’offre locative depuis janvier, témoigne Olivier Princivalle, président de la Fnaim Grand Paris. Soit les propriétaires ne veulent plus louer, soit ils préfèrent mettre en vente. C’était déjà très difficile à Paris pour louer un logement, là, ça devient un parcours du combattant. »

    L’objectif est donc très ambitieux, trop diront certains, et le problème c’est que « pour l’instant, ça pêche un peu de tous les côtés », estime Sandrine Beaufils. « Il n’y a pas de facteurs positifs qui laissent penser que ce sera faisable », complète Olivier Princivalle. Il y a d’abord une question de coût. « En moyenne, pour de la rénovation énergétique, on est à 1.000 – 1.500 euros du m² sans compter l’envolée du prix des matériaux, précise l’agent immobilier. Et quand on ne peut pas faire de l’isolement par l’extérieur, par exemple dans l’haussmanien à Paris, on doit le faire par l’intérieur. » Ce qui veut dire réduire la surface de son logement, refaire les branchements électriques, la peinture, et tout ça fait grimper la facture. Sans compter que « l’isolement intérieur fait disparaître moulures et boiseries ». « En réunion publique sur la rénovation énergétique, la première question des gens est de savoir combien ça coûte et à quelles aides ils ont droit. Ils sont très cash », rapporte Jacques Baudrier, adjoint parisien en charge de la transition écologique du bâti.  […]

    Selon Olivier Princivalle, « dans certains immeubles, comme les haussmaniens, malgré tous les travaux, on n’atteindra jamais le D ». « Les retours d’expérience montrent […] que les travaux réalisés ne seraient pas synonymes de gains énergétiques suffisants », indique la note de l’IPR. Enfin, quand bien même décide-t-on de se lancer dans des travaux de rénovation, encore faut-il trouver les entreprises pour le faire. « Il n’y a pas assez de professionnels formés et agréés RGE [Reconnu Garant de l’Environnement] », déplore Sandrine Beaufis. […]

    20 minutes (article intégral)