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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 619

  • Mille euros par jour pour Ursula Von der Leyen après l’augmentation automatique de 7% du salaire des 50.000 eurocrates

    Publié par Guy de Laferrière le 06 janvier 2023

    Auteur : 

    Les 50 000 membres du personnel de l’Union Européenne vont bénéficier de leur deuxième augmentation de salaire en six mois. 

    Bien que les fonctionnaires de l’UE gagnent déjà beaucoup d’argent, ils bénéficient d’un ajustement automatique en raison de l’augmentation du coût de la vie. Pour cette raison, la rémunération a été augmentée de 2,4% rétroactivement à partir de janvier 2022 au milieu de l’année. La nouvelle augmentation, qui s’applique rétroactivement au mois de juillet, sera compensée par ces 2,4%.

    Le salaire de base de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen (64 ans) augmente de 2044 euros par rapport à 2021 et s’élève pour la première fois à 31 250 euros par mois. Mais si on ajoute l’indemnité de résidence, son salaire mensuel monte à un peu moins de 36 000 euros par mois.

    Les commissaires européens ordinaires percevront 1667 euros de plus chaque mois, gagnant maintenant jusqu’à 25 475 euros.

    Les salaires des 705 eurodéputés augmenteront de près de 700 euros mensuels pour atteindre 10.495 euros par mois, sans les diverses indemnités.

    Les fonctionnaires peuvent également se réjouir : le salaire de base le plus bas d’un eurocrate augmente de 214 euros et passe à 3272 euros par mois, le plus élevé augmente de 1483 euros et passe à 22 646 euros par mois. En outre, il existe pour ces privilégiés des abattements non imposables comme l’indemnité de résidence (jusqu’à 3400 euros).

     

    Source : medias-presse.info

  • La faillite de la France et l’explosion de la zone euro sont inéluctables

    Publié par Guy de Laferrière le 06 janvier 2023

    Marc Rousset

    Marc Rousset, auteur sur Boulevard Voltaire

    Il n’ y a plus que l’inconscient technocrate Macron pour ne pas croire aux sombres prédictions économiques de 2023, alors que les raisons sont nombreuses : sanctions économiques suicidaires et contre-productives avec la Russie, poursuite de l’inflation, des prix délirants, variables et incompréhensibles de l’électricité pour les entreprises, les artisans, les boulangers, les restaurateurs, les PME qui ne peuvent être abaissés que par la fin du Système mis en place, une véritable usine à gaz inventée par Macron afin de brouiller les cartes (établissement d’un prix clair, juste et compréhensible de l’électricité en sortant du marché européen comme en Espagne et au Portugal ou en pratiquant une politique claire du « quoi qu’il en coûte » comme en Allemagne), hausse des taux d’intérêt, dégonflement des bulles boursières ,obligataires et immobilières, risques de croissance zéro et de récession en Europe, hausse des faillites à venir, double déficit du budget public et de la balance commerciale, dégradation de la notation de la dette française, crise latente de l’UE et explosion inéluctable à venir de la zone euro, tout cela dans un monde malsain avec un endettement public mondial de 96 % du PIB mondial , et même de 247 % si l’on ajoute la dette des ménages et des entreprises !

    La France de plus en plus désindustrialisée s’est éloignée de l’Allemagne et des pays de l’Europe du Nord pour devenir un pays de l’Europe du Sud surendetté et non compétitif qui n’attire plus les grands investisseurs industriels (Tesla, projets d’usines de puces, semi-conducteurs tous dirigés vers l’Allemagne). La dette publique française est passée de 20 % du PIB en 1980, à 58 % en 2000, 85 % en 2010 pour atteindre le ratio insoutenable de 114,5 % en 2022. La dette française (2956,8 milliards d’euros) approche les 3000 miliards d’euros et a progressé de 115,9 milliards d’euros en un an.

    La France s’enlise en matière de dette avec le cinquième rang dans le peloton de queue européen, après la Grèce (171,1%), l’Italie (144,6%), le Portugal (115,9 %) et l’Espagne (114 %) alors que le taux des obligations du Trésor français (OAT) à dix ans vient de dépasser les 3 %, soit le taux de début 2012, pour la première fois ; il y a un an le taux était de seulement 0,20 %. On assiste donc à une véritable envolée des taux d’intérêt. En un an, en 2022, les intérêts de la dette publique ont augmenté de 34 % pour atteindre 51 milliards d’euros. Mais selon le Président de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, chaque point d’augmentation sur les taux d’intérêt se traduira en effet pleinement, seulement au bout de 10 ans (emprunts nouveaux pour remplacer progressivement la totalité des anciens emprunts venant à échéance), par une augmentation annuelle de 40 miliards d’euros de la charge de la dette, soit le montant du budget des Armées.

    A terme, donc, au bout de 10 ans, la seule augmentation de taux d’intérêt à 3% correspondra d’ores et déjà à une charge irréversible et insupportable de 120 milliards d’euros ! Les 51 Milliards d’euros actuels d’intérêt au budget 2023 ne représentent donc que moins de 50% des 120 miliards d’euros d’intérêt à venir ! Si les taux d’intérêt devaient s’élever dans les années qui viennent de 3 % à 6 %, au bout de 10 ans, la France devrait payer 240 milliards d’intérêt, soit 80 % des recettes du budget de l’Etat qui est de l’ordre de 300 milliards d’euros ! Or l’Italie paie déjà 4,63 % de taux d’intérêt et l’Allemagne seulement 2,50 %. Pas besoin donc de sortir de Centrale ou de Polytechnique pour réaliser vers quelle catastrophe la France se dirige, même si les taux d’intérêt devaient rester à 3%, et a fortiori s’ils devaient passer par malheur à 6% !

     

    Source : synthesenationale

  • “Mon village va mourir” : le cri de détresse de Julien, un boulanger contraint de fermer son commerce ; il critique le manque de soutien du gouvernement et assure qu’il ne sera plus jamais entrepreneur en France

    Publié par Guy de Laferrière le 05 janvier 2023

    FIGAROVOX/ENTRETIEN – Julien Bernard-Regnard, boulanger dans un village de 400 habitants en Moselle, a dû fermer son commerce en raison de la hausse des prix de l’électricité. Aujourd’hui endetté, il critique le manque de soutien du gouvernement et assure qu’il ne sera plus jamais entrepreneur en France.

    Julien BERNARD-REGNARD. –Je travaille dans le domaine de la boulangerie depuis 17 ans. Et ça allait faire cinq ans que j’avais ouvert ma propre boulangerie, avec deux vendeuses, dans ma commune de Bourgaltroff. C’est un petit village de campagne de 400 habitants, tout le monde se connaît, c’est très convivial. Ma boulangerie était vraiment un lieu de rassemblement. Et lors de la fermeture, les habitants m’ont apporté un soutien phénoménal, j’ai reçu toute la semaine des messages, des courriers, des dons… C’est ça qui m’a fait tenir psychologiquement. J’ai aujourd’hui le sentiment d’avoir abandonné mes clients. Les personnes âgées se réunissaient pour boire le café, se raconter des histoires, c’était leur moment de lumière de la journée. Maintenant ils ne voient plus personne. Je m’étais d’ailleurs diversifié pour apporter un maximum de services aux habitants du village.

    (…)

    Vous êtes-vous senti soutenu par l’État ? Comment avez-vous vécu cette fermeture ?

    Non, j’ai une colère, une rage qui n’est même pas exprimable. Bruno Le Maire et Olivia Grégoire ont publié des dizaines de tweets pour «soutenir les boulangers», et ont affirmé sur BFM qu’ils ne laisseraient mourir aucune entreprise. Mais la réalité est différente, il y a au moins une dizaine de boulangeries qui ferment tous les jours. Les aides sont soumises à des conditions inimaginables, je n’ai absolument rien touché. Bruno Le Maire nous a proposé de reporter nos charges, mais nous n’avons aucune envie de voir étaler nos factures, on ne veut pas qu’elles s’accumulent. Il a aussi promis des aides exceptionnelles que l’on n’a jamais vues. Le gouvernement refuse de s’attaquer aux vrais problèmes, à savoir l’indexation des prix de l’électricité sur ceux de l’Union européenne. On ne veut pas d’aides, de solutions provisoires, on aimerait simplement que les ministres s’attaquent aux vrais problèmes, à savoir l’indexation des prix de l’électricité sur ceux de l’Union européenne. Mais ils n’en parlent jamais.

    Cette fermeture forcée m’a impacté socialement, psychologiquement, physiquement… La boulangerie était toute ma vie, c’est un travail exigeant, on travaille les jours fériés, les week-ends, mais on ne se plaint jamais car c’est une véritable passion. Seulement, aujourd’hui on nous empêche de travailler dignement. On ne veut pas d’aides, simplement pouvoir travailler comme tout le monde. Quand on perd son commerce, on perd sa vie. J’étais en progression depuis cinq ans, mon chiffre d’affaires ne cessait d’augmenter, et là, pour des raisons indépendantes de ma volonté, je dois fermer. Je n’accepterai jamais cette injustice.

    Envisagez-vous de rouvrir un commerce en France ?

    Ma passion a toujours été la boulangerie, mais j’ai perdu la flamme. En France, je ne serai plus jamais entrepreneur parce qu’il est impossible de payer correctement les salariés. Pour rémunérer un salarié 2000 €, il faut débourser près du triple en comptant les charges et les taxes.

    (…) S’il n’y a pas davantage de soutien, les conséquences sociales seront terribles : consommation de médicaments, dépressions voire suicides… Je ne souhaite à aucun confrère de vivre ce que j’ai vécu quand j’ai été forcé de fermer mon commerce. Aujourd’hui, j’ai repris un emploi en usine parce qu’il faut bien payer les factures.

    Le Figaro via fdesouche

  • A l’école des « hauts potentiels » :  « C’est un peu la classe des Blancs… » commente une enseignante qui déplore le manque de diversité

    Publié par Guy de Laferrière le 05 janvier 2023

    « Prenez un papier et écrivez votre retour sur la sortie d’hier. Avez-vous eu suffisamment d’indépendance ? » propose la professeure de français à ses élèves de seconde C du lycée général et technologique Emile-Dubois, à Paris dans le 14e arrondissement. Un élève interrompt l’exercice facultatif : « Madame, c’est quand La Scala ? » Son voisin répond : « C’est mercredi ! » Un troisième le corrige : « Non, c’est lundi. » L’enseignante met de l’ordre : « La sortie théâtre, c’est mercredi ET lundi. »

    (…)

    Venus de tout Paris – on compte trois anciens d’Henri-IV –, ils ne passent pas inaperçus dans ce lycée qui fait rarement office de premier choix d’orientation en filière générale. « C’est un peu la classe des Blancs… » commente une enseignante qui déplore le manque de diversité. Quatre élèves non EHP – qui n’ont en tout cas pas été identifiés comme tels –, sélectionnés par l’établissement, font aussi partie de cette seconde que Christelle Morin a baptisée « classe à projet culturel ».

    www.nouvelobs.com via fdesouche

  • Quatre figurants du film « Tirailleurs » sous le coup d’une OQTF menacés d’expulsion dans les Ardennes

    Publié par Guy de Laferrière le 05 janvier 2023

    Quatre figurants du film « Tirailleurs » menacés d’expulsion dans les Ardennes

    Ils ont joué les figurants dans le film Tirailleurs, tourné en grande partie à Neufmaison (Ardennes) en 2021. Quatre jeunes Ardennais d’origine africaine sont aujourd’hui menacés d’expulsion, révèle France Bleu Champagne-Ardenne.

    Le Collectif ardennais pour la défense des jeunes majeurs étrangers a révélé, mercredi 4 janvier, jour de la sortie du film, que ces quatre jeunes, originaires du Mali ou encore de Côte d’Ivoire, arrivés dans les Ardennes depuis quasiment cinq ans pour les plus anciens, font l’objet d’obligations de quitter le territoire français (OQTF).

    www.ouest-france.fr via fdesouche