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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 961

  • Cergy (95) : menacés, les enseignants du collège Gérard-Philippe alertent sur les violences dont ils sont victimes. “Il n’y a aucune réaction de notre hiérarchie. C’est un cirque, ce n’est plus l’enseignement”

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2022

    Le personnel du collège Gérard-Philippe à Cergy (Val-d’Oise) est en grève ce jeudi 14 avril, après une recrudescence de violences ces dernières semaines. « L’absence de sanctions et de suivi rend la situation invivable », s’insurgent-ils.

    « On a dépassé un seuil impensable. On se sent comme des moins que rien. J’ai fait plein de boulots… j’ai travaillé à l’usine. Jamais on ne m’a manqué autant de respect », s’insurge Célia. Cette surveillante au collège Gérard-Philippe à Cergy (Val d’Oise) fait grève ce jeudi 14 avril, comme une partie de ses collègues et des enseignants de cet établissement, situé entre les deux quartiers prioritaires de la ville.

    Un mouvement social indépendant du contexte électoral d’entre deux tours, insiste le personnel de ce collège en REP (réseau d’éducation prioritaire), qui accueille 630 élèves, selon les chiffres du rectorat. « Tous les jours, les surveillants se prennent des “nique ta mère” et il n’y a aucune réaction de la part de notre hiérarchie. C’est un cirque, ce n’est plus de l’enseignement », regrette, dépité, Christophe*, un jeune professeur qui a pris son premier poste dans ce collège à la rentrée. Les personnels grévistes protestent contre ce qu’ils vivent comme un abandon de la part de leur hiérarchie.

    (…)

    Marianne via fdesouche

  • Incendie de Notre-Dame de Paris : Où en est l’enquête, 3 ans après ? plusieurs défaillances liées à la sécurité de l’édifice ont été relevées

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2022

    Si aucune conclusion n’a été dévoilée à ce stade, de nombreuses enquêtes – judiciaire et administrative notamment – ont déjà été menées pour déterminer ce qui a pu provoquer le terrible incendie qui a partiellement détruit Notre-Dame de Paris, le 15 avril 2019. Que sait-on, trois ans après le drame ?

    (…)

    PLUSIEURS DÉFAILLANCES MISES EN CAUSE

    Selon certaines sources proches du dossier, la piste d’une «défaillance électrique depuis un compteur utilisé pour actionner les ascenseurs du chantier» serait désormais avancée. Et ce, alors même qu’il reste encore de nombreuses expertises à mener.

    Les centaines d’auditions de témoins réalisées ces derniers mois auraient d’ailleurs permis de relever un certain nombre d’autres défaillances liées à la sécurité de l’édifice, notamment dans son dispositif d’alarme.

    (…) Pour autant, si elle n’est «pas privilégiée», «l’hypothèse d’une intervention humaine volontaire ne peut pas être totalement écartée avec certitude à ce stade des investigations», a fait savoir une source policière à l’AFP ce mercredi 13 avril.

    «Celles de l’imprudence d’un fumeur ou d’une imprudence de chantier par utilisation d’un outil générateur d’étincelles notamment restent également à l’étude», a ajouté cette source.

    (…) De son côté, Mgr Patrick Chauvet n’a que très peu d’espoir de retrouver un coupable, et ne s’en préoccupe guère. «Depuis le début», le recteur-archiprêtre de Notre-Dame de Paris se dit convaincu que l’incendie est dû à «une suite de coïncidences malheureuses».

    Interrogé à ce sujet, celui qui n’a pas quitté le cathédrale depuis l’incendie assure «faire confiance à la police judiciaire», qui «a fait le travail. «Cela m’étonnerait que l’on retrouve la personne responsable, monsieur untel ou société unetelle», a-t-il ainsi confié.

    (…) CNews via fdesouche

  • Royaume-Uni : le député britannique Imran Khan, coupable d’agression sexuelle sur mineur, démissionne du parlement

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2022

    Le député britannique Imran Khan a annoncé jeudi 14 avril sa démission après avoir été déclaré coupable par la justice lundi d’agression sexuelle sur un adolescent de 15 ans.

    (…) Après le verdict, un porte-parole du parti conservateur, la formation politique du premier ministre Boris Johnson, avait annoncé l’exclusion «avec effet immédiat» d’Imran Khan. Lors d’une fête en janvier 2008, Imran Khan, un député appartenant au même parti que le Premier ministre Boris Johnson, avait fait boire du gin à un adolescent. Il l’avait ensuite selon l’accusation entraîné à l’étage, poussé sur un lit et lui avait demandé de regarder de la pornographie avant de l’agresser.

    Sa peine sera prononcée à une date ultérieure.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Le Havre : Un migrant clandestin agresse sexuellement “pour rigoler” une jeune fille de 14 ans alors qu’elle sortait de l’école. L’agresseur est en France pour “soigner un souci de santé”

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2022

    Les faits se sont déroulés le vendredi 8 avril. L’homme a été jugé lundi 11 avril au Havre pour agression sexuelle sur une mineure.

    Placé en détention provisoire durant le week-end, le prévenu a été présenté lundi 11 avril en comparution immédiate au tribunal correctionnel du Havre. Il lui est reproché une agression sexuelle sur une mineure de 14 ans.
     
    Concrètement, le vendredi 8 avril au Havre, il lui aurait touché les seins alors qu’elle sortait de l’école, en l’enlaçant par surprise et par derrière. L’homme explique qu’il voulait juste lui faire un câlin, pour rigoler… et ajoute que ce n’est pas la première fois qu’il se promène à proximité d’établissements scolaires.
     
    Actuellement en situation irrégulière sur le territoire français, le prévenu de 28 ans est épaulé par une avocate et une interprète. Il explique être en France pour soigner un souci de santé. L’avocate de la jeune fille insistera sur le traumatisme de sa cliente : “Je l’ai vue ce lundi midi, elle était comme prostrée ! C’était mieux pour elle de ne pas assister à cette audience.” L’homme est condamné à un de prison ferme. Il reste en détention et a a interdiction de contact avec les mineurs pour une durée de dix ans.
     
  • Montréal-la-Cluse (01) : Mamadou Diallo acquitté “au bénéfice du doute” du meurtre de Catherine, une postière enceinte de 5 mois, tuée de 28 coups de couteau (MàJ : le parquet général fait appel)

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2022

    fdesouche

    lionel 15/04/2022 à 11h50

    15/04/2022

    Le parquet général de la cour d’appel de Lyon a annoncé mardi à l’AFP avoir fait appel de l’acquittement de Mamadou Diallo, le 4 avril, pour le meurtre d’une postière en 2008 dans l’Ain. “Le parquet général a interjeté appel de la décision d’acquittement” de M. Diallo, a-t-il été indiqué à l’AFP.

    (…) Le corps de Catherine Burgod, 41 ans, a été découvert le 19 décembre 2008 à 09h05 dans l’arrière-boutique de la petite poste de Montréal-la-Cluse, baignant dans une mare de sang. Vingt-huit coups de couteau ont été relevés sur le corps de cette mère de deux enfants, enceinte de 5 mois. La piste crapuleuse a rapidement été suivie par les enquêteurs, une somme évaluée à 2490 euros ayant été dérobée. Mais l’arme du crime est restée introuvable et aucun témoignage probant n’avait permis de faire avancer l’enquête.

    Actu 17


    04/04/2022

    Mamadou Diallo, 32 ans, a été acquitté “au bénéfice du doute”, selon la présidente, pour le meurtre de Catherine Burgod, le 19 décembre 2008, dans l’agence postale de Montréal-la-Cluse.

    Il a été condamné pour vol simple à deux ans de prison.

    Le Progrès


    “50 nuances de mensonges”: une peine de 30 ans de réclusion a été requise lundi devant la cour d’assises de l’Ain à l’encontre de Mamadou Diallo, accusé du meurtre sanglant d’une postière en 2008, crime dont il se dit innocent.

    “Je ne crois pas à la thèse du spectateur profiteur (…) et si on n’est pas spectateur, c’est qu’on est acteur de la scène”, a déclaré l’avocat général Eric Mazaud, relevant la “constante adaptation dans le mensonge” de l’accusé.

    “Il ment jusqu’à l’absurde, sur son heure d’arrivée, sur sa présence sur les lieux, sur le motif de sa présence, sur la présence de sang sur lui”, énumère le magistrat.

    Confondu par son ADN dans le bureau de poste près de dix ans après le meurtre, Mamadou Diallo assure s’être rendu sur les lieux mais avoir pris la fuite en s’emparant d’une liasse de billets après avoir découvert le cadavre de la victime.

    “Depuis le début, je déclare que je suis innocent, je n’ai rien à voir avec la mort de cette pauvre femme”, a assuré à plusieurs reprises devant la cour d’assises l’accusé de 32 ans.

    Le corps de Catherine Burgod, 41 ans, avait été découvert le 19 décembre 2008 à 09H05 dans l’arrière-boutique de la petite poste de Montréal-la-Cluse, baignant dans une mare de sang. 28 coups de couteau étaient relevés sur le corps de cette mère de deux enfants, enceinte de 5 mois.

    Le Point


    29/03/2022

    Le procès du meurtrier présumé de Catherine Burgod, retrouvée morte en décembre 2008 au bureau de poste de Montréal-la-Cluse, dans le haut-Bugey, se poursuit.

    « Cette autopsie m’a marqué considérablement. À cause de la rudesse toute particulière de la fin de cette femme qui a vu venir la mort, en cédant sous l’assaut des coups », a expliqué le Pr Daniel Malicier, ancien directeur de l’Institut médico-légal de Lyon.

    Le légiste a recensé 28 plaies sur le corps de Catherine Burgod. Douze plaies sont dites “de défense” et se trouvaient sur l’avant-bras gauche et la main gauche, la victime ayant cherché à se protéger de l’avalanche de coups de couteau qui la visait.

    Deux plaies superficielles ont été constatées au visage, neuf plaies au sein gauche et cinq plaies dans la région cervicale. Six plaies sont considérées comme “vitales”, ayant entraîné la mort, deux au cou et quatre dans le sein.

    L’accusé avait avancé plusieurs versions au gré des éléments que lui soumettaient les gendarmes. Il avait d’abord expliqué avoir paniqué en découvrant le corps avant de partir dans l’entreprise qui l’accueillait en stage. Avant d’expliquer qu’il était repassé chez lui en voiture. Il ne se souvenait pas d’avoir touché quoi que ce soit dans l’agence et la salle de repos, ni d’avoir rien volé. Ni d’avoir touché la victime. Puis il avait expliqué qu’il avait emmené un gilet posé sur une chaise pour essuyer du sang sur son pantalon, qu’il aurait pu tacher en se baissant. Il ajoutait qu’il avait aperçu une liasse de vingt billets de vingt euros dans un placard et s’en était emparé en quittant l’agence.

    Le Progrès