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  • Pourquoi nous, les Français, nous faisons-nous égorger quotidiennement dans nos rues ?

    Publié par Guy de Laferrière le 12 décembre 2022

    Il tente d'égorger ses parents et blesse son frère

    Hichem et Mohamed ont massacré sans raison Jean, 87 ans. Il vient de mourir. La réaction de Matthieu Valet est juste et bonne, et nous la partageons, mais elle ne  nous suffit pas : 

    "Battu à mort, laissé inanimé dans son immeuble, Jean 87 ans est décédé à #Bezons. Tué par deux multirécidivistes qui l’ont lynché jusqu’à la mort. Tant que la prison restera l’exception pour ces 5% d’individus qui font 50% de la délinquance en #France, on comptera les victimes."
     
    Pourquoi ne nous suffit-elle pas, cette réaction juste ?
    Parce que, justement, elle ne pose pas la question du "pourquoi" ?
    Oui, pourquoi nous, les Français, nous faisons-nous égorger quotidiennement dans nos rues, dans notre France qui est bien devenue, n'en déplaise à ce pauvre Dupond-Moretti, un coupe-gorge ?
    Que nous soyons le Père Hamel ou la petite Lola, que nous prenions un pot aux terrasses des cafés ou que nous nous baladions lors de la Fête sur la Promenade des Anglais, que nous descendions à la cave ou que nous soyons sur les marches de la Gare Saint Charles à Marseille (comme Maurane et Laura), que nous soyons policiers rentrant chez nous, à Magnanville ou évitant un carnage dans une église (comme Aurélie Chatelain), que nous allions au Marché de Noël de Strasbourg ou que nous fassions notre travail de professeur, comme Samuel Paty (et la liste n'en finirait pas, on va donc s'arrêter là, pour l'instant...) pourquoi nous faisons-nous égorger chez nous, par des criminels qui n'ont rien à y faire, ou bien courons-nos ce risque quotidiennement ?
     
    Parce que le Système, alors que la France n'a rien demandé ni rien souhaité, nous impose une immigration/invasion depuis les années Chirac (75/76) et qu'il a transformé la France en poubelle, en un gigantesque dépotoir du monde, dans lequel les vendeurs de drogue immigrés des Cités islamisées payent des envahisseurs (rebaptisés "sans-papiers") pour attaquer les forces de l'ordre en les prenant à revers, lorsqu'elles osent entrer dans l'une des 1.500 à 2.000 zones qui ne sont plus "la France".
     
    Évidemment, les criminels sont ceux qui assassinent, égorgent, violent, pillent... Mais "LE" grand criminel, celui qui préside à toutes ces horreurs, celui qui veut, qui organise et poursuit l'implantation forcée chez nous de ces criminels, 
     
    C'EST LE SYSTÈME !
     
    C'est donc lui, ce Système, qu'il faut combattre, pour le remplacer par un Régime qui arrêtera ses folies mortifères et nous rendra la paix, la sécurité des biens et des personnes, ce qui est le premier devoir de tout État qui veut mériter ce nom !
     
    VIVE LA FRANCE !
    ET, POUR QUE VIVE LA FRANCE,
    VIVE LE ROI !
     
  • Argentan (61): Mohammed jugé pour avoir voulu égorger Jennifer, épousée trois semaines plus tôt

    Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2019

    Par  le 27/09/2019

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    argentan,égorger,jennifer,mohammed

    Assises. Accusé d’avoir voulu égorger sa femme à Argentan

    Mohammed Mebarki, 34 ans, comparait jusqu’à lundi pour avoir tenté de tuer son épouse le 16 mai 2017. Le couple s’était marié trois semaines plus tôt. L’accusé encourt la réclusion criminelle à perpétuité.

    « L’amour dure trois ans », estimait Frédéric Beigbeder dans son roman éponyme. Entre Jennifer et Mohammed, il n’a fallu que trois semaines pour que leur mariage tombe à l’eau et succombe à la violence du mari.

    […]

    Ouest France via fdesouche

  • Ils s’appelaient Timothy, Mauranne, Laura, Florent… Lettre à ceux qui devront leur rendre des comptes

    Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2019

     

    Je n’en peux plus de me lever chaque matin et de découvrir, horrifié, en faisant une revue de presse matinale, que certains de mes compatriotes se font violer, tabasser, tuer, égorger, pour un regard, pour une envie, pour une religion, par folie, par des individus qui, techniquement, pourraient ne pas être présents sur notre territoire (ou bien enfermés à double tour).

    Ils s’appelaient Timothy, Mauranne, Laura, Florent… Je pourrais écrire des centaines de prénoms de ces jeunes Français, de Marseille, de Nantes, de Paris, d’Occitanie, qui meurent, qui se font violer ou agresser parce que l’État se montre défaillant, lui dont la fonction principale est normalement d’assurer leur protection et leur sécurité.

    Sur les plateaux TV, il faut les voir par ailleurs ces élus, ces représentants de l’État, ces responsables associatifs, nous expliquer à nous, salopards de populistes que nous sommes, qu’il ne faut pas faire d’amalgame, que nous serions presque plus immondes que les Victor Hugo afghans qui viennent enfoncer des lames chaudes dans la tête de nos gamins. Qu’il faut laisser la justice faire son travail (vous savez, celle qui a, entre autres exemples de laxisme total, permis de relâcher l’assassin tunisien de Mauranne et de Laura et de sortir, un jour avant de les massacrer).

    Qu’il y a aussi « des Français bien blancs qui tuent et qui violent » comme l’a encore déclaré ce week-end une membre du Modem (et là on a envie de répondre : « oui connasse, mais si en plus de nos assassins, on doit se coltiner ceux d’ailleurs, qui proportionnellement sont plus criminogènes et qui ont visiblement tout de même la culture du couteau un peu plus prononcée que chez nous, on fait comment ? »). Qu’il faut confier la gestion de l’immigration à des associations pilotées par des idéologues boomers, lunettes, air grave, cheveux gris et idées bien rouges, petits fonctionnaires à la retraite fascinés par l’Afrique du temps où Papa se comportait comme un colon là-bas.

    La presse mainstream stigmatise sans arrêt « la désinformation », part en guerre contre « les fake news ». Mais si vous faisiez lire chaque matin une revue de presse comme celle du site Fdesouche à l’intégralité de la population française — qui verrait ce qui se passe quotidiennement partout en France — les responsables politiques seraient immédiatement déchus par la population, au minimum. Si aujourd’hui encore, le peuple ne se révolte toujours pas, c’est que chaque soir, sur les chaines du service public, on le désinforme et on lui parle si peu de Laura, Mauranne, Timothy, et de toutes ces victimes du laxisme d’État et d’une société de plus en plus violente et barbare. Ou quand on lui en parle, c’est toujours la même rengaine [« Pas d’amalgames ». « Ce sont des immigrés qui sont venus en aide aux victimes ». « Les populistes font de la récupération et jouent avec les peurs »].

    Ces discours sont toutefois de moins en moins audibles. Le seul moyen utilisé par la population pour cracher au visage de tous ces petits fonctionnaires et magistrats zélés, de tous ces élus qui en croquent et qui font semblant de ne pas voir, de tous ces politiciens véreux qui ont fabriqué cette société ultra violente dans laquelle nous évoluons, c’est pour le moment le bulletin de vote, ou l’abstention. Pour le moment.

    Car il ne faut pas être devin pour savoir qu’un jour viendra où des magistrats, des fonctionnaires, des élus, devront rendre des comptes, d’autres comptes, devant des tribunaux réellement populaires ceux-là, organisés par une population en colère et en souffrance. On sait ce que cela a donné il y a plusieurs décennies. On sait ce qui arrive quand on pousse un peuple à bout et que ce dernier commence à devenir plus barbare que les barbares qui l’ont asservi. Si on y rajoute la tribalisation, la communautarisation de notre pays, de notre continent, cela risque de ne pas être joli joli le jour où cela vacillera [la question n’est en effet pas de savoir si cela vacillera, mais quand…]

    Les responsables de tout ce merdier ne sont pas les populistes. Ce n’est pas Salvini qui égorge un jeune homme en pleine rue parce qu’il a entendu des voix et qu’il n’aime pas les Blancs. Ce n’est pas l’électeur du Rassemblement national qui défouraille à la Kalachnikov dans une salle de concert pleine à craquer. Ce n’est pas Orbán qui balance à la flotte des migrants parce qu’ils sont catholiques et pas musulmans. Ce n’est pas le militant de Génération identitaire qui fouette, trie, esclavagise, des Africains de 15 ans en Libye parce que BHL et Sarkozy ont destitué le seul homme qui parvenait à gérer ce pays d’une main de fer. Ce ne sont pas les ouvriers, les artisans, les cadres français, qui sont responsables des guerres, des famines, du fait que les femmes africaines ne soient pas capables de se limiter à un ou deux enfants, ou que les réseaux d’eau et d’électricité soient minables sur ce continent.

    Non. Les responsables de cette situation – qui amène à des tragédies diverses et variées – sont bel et bien ceux qui agissent au quotidien à la destruction d’une société, la nôtre, celle des Européens, que nos ancêtres ont façonnée durant des siècles et des siècles pour permettre à une majorité de nos peuples de tenter de vivre sereinement, en harmonie et en sécurité. Ceux qui libèrent des criminels. Ceux qui les autorisent à venir s’installer sur notre territoire et à agir contre notre population. Ceux qui s’indignent que l’on prétende fermer à clé la porte de notre maison commune. Ceux qui désarment les civils abandonnés à leur sort. Ceux qui font tout pour détruire la famille, socle de notre vie en société. Ceux qui, enfin, incitent à la haine de ce que nous sommes depuis des siècles et des siècles…

    Ils s’appelaient Timothy, Mauranne, Laura, Florent… Morts abandonnés par les nouveaux gérants du vieux pays de leurs pères. Aujourd’hui, nos larmes sont remplies de rage et de colère.

    Le vent se lève…

    Julien Dir

    Source : http://breizh-info.com

  • Limoges (87) : il est remis en liberté après avoir menacé d’égorger des enfants de policiers, colère et incompréhension du syndicat Alliance

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2019

    Par  le 23/05/2019

    Un habitant de Beaubreuil a dit vouloir « égorger les enfants » de policiers de la brigade anti-criminalité. Interpellé mardi, il a été remis en liberté avec une convocation judiciaire pour décembre. Le syndicat policier Alliance juge la situation « inacceptable ».

    Le syndicat de police Alliance se dit ce mercredi soir « en colère« . Laurent Nadeau, délégué de la Haute-Vienne, « ne comprend pas« . Il y a quelques jours, lors d’une opération de police dans le quartier de Beaubreuil à Limoges, un individu s’en est pris verbalement aux policiers de la BAC, la brigade anti-criminalité. Il a notamment proféré des menaces de mort en disant vouloir « égorger les enfants » des policiers présents.

    Ils ont finalement appris que le suspect avait été remis en liberté, sans être déféré, avec une convocation judiciaire pour le 13 décembre prochain. « Il ressort donc… LIBRE… LIBRE… LIBRE DE POUVOIR METTRE SES MENACES À EXÉCUTION ! » écrit dans un communiqué Alliance.

    (…) France Bleu

    Via fdesouche