Publié par Guy Jovelin le 30 juin 2019
Ecrit par Pierre-Alain Depauw

Il y a quelques jours, nous posions la question : mais pour qui va rouler la “convention de la droite” ? Le moins que l’on puisse écrire, c’est que la réponse n’est pas plus claire maintenant que cette convention est derrière nous.
Et la communication officielle de cette “convention de la droite” n’aide pas à comprendre la ligne politique prônée. On apprend ainsi que la Marseillaise y a été entonnée “en l’honneur de Jacques Chirac” !
La Marseillaises en l'honneur de Jacques #Chirac entonnée par son ancien ministre de la défense @Charles_Millon.#ConventionDeLaDroite
Les Français se souviendront en effet très très longtemps de Jacques Chirac. Premier Ministre, en quelques mois seulement, il a pris des mesures qui ont profondément marqué le paysage démographique de notre pays.
Il a été l’initiateur du “Grand Remplacement” :
– 1975 : légalisation de l’avortement. Depuis cette date, à raison de plus de 200 000 avortements chaque année, on estime à plus de 8 millions le nombre de naissances françaises manquantes dans notre pays.
– 1976 : loi autorisant le regroupement familial permettant une immigration massive et la régularisation des mineurs étrangers. Plus de 200 000 personnes arrivent ainsi légalement chaque année en France.
Est-ce ce Jacques Chirac là que la “convention de la droite” tient pour modèle ?
Source : medias-presse.info


Bernard Plouvier

“(…) Pour avoir une petite idée de ce que donnerait un Juppé à la tête de l’Etat, il convient donc de se remémorer le bilan calamiteux de Chirac comme Premier ministre, puis comme président de la République. On lui doit en 1975 la loi Veil qui tue légalement plus de 200.000 enfants français par an dans le ventre de leur mère (…), en 1976 le regroupement familial qui a transformé une immigration temporaire de travail en une immigration de peuplement et d’ayants-droit sociaux mettant ainsi en œuvre une politique de Grand Remplacement, en 1975 la création de la taxe professionnelle ruineuse pour les entreprises et donc pour l’emploi, en 1996 la fin du service militaire obligatoire coupant le lien entre l’armée et la nation, en 1996 la fin des essais nucléaires mettant en danger l’indépendance de la France, en 1995 la condamnation de la France en tant que telle pour les déportations des juifs sous l’Occupation (…). Ce qu’aucun de ses prédécesseurs n’avait voulu faire, Chirac l’a fait sans honte et sans hésitation : condamner solennellement le pays dont il présidait officiellement aux destinées.
