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chirac

  • La “convention de la droite” chante la Marseillaise “en l’honneur de Jacques Chirac”

    Publié par Guy Jovelin le 30 juin 2019

    Il y a quelques jours, nous posions la question : mais pour qui va rouler la “convention de la droite” ? Le moins que l’on puisse écrire, c’est que la réponse n’est pas plus claire maintenant que cette convention est derrière nous.

    Et la communication officielle de cette “convention de la droite” n’aide pas à comprendre la ligne politique prônée. On apprend ainsi que la Marseillaise y a été entonnée “en l’honneur de Jacques Chirac” !

    Convention de la Droite@ConvDeLaDroite
     

    La Marseillaises en l'honneur de Jacques entonnée par son ancien ministre de la défense @Charles_Millon.

    Vidéo intégrée

    Les Français se souviendront en effet très très longtemps de Jacques Chirac. Premier Ministre, en quelques mois seulement, il a pris des mesures qui ont profondément marqué le paysage démographique de notre pays.

    Il a été l’initiateur du “Grand Remplacement” :
    – 1975 : légalisation de l’avortement. Depuis cette date, à raison de plus de 200 000 avortements chaque année, on estime à plus de 8 millions le nombre de naissances françaises manquantes dans notre pays.
    – 1976 : loi autorisant le regroupement familial permettant une immigration massive et la régularisation des mineurs étrangers. Plus de 200 000 personnes arrivent ainsi légalement chaque année en France.

    Est-ce ce Jacques Chirac là que la “convention de la droite” tient pour modèle ?

     

    Source : medias-presse.info

  • Disparition de Chirac : la réaction de Pierre Vial

    Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2019

    2019 13 JNI P VIAL.jpgPierre Vial

    Président de

    Terre & peuple

    Les faux-culs en tous genres rivalisent pour chanter les louanges de Chirac. Nous qui n’avons pas la mémoire courte, nous nous souvenons qu’il est le grand responsable, en tandem avec son frère-ennemi Giscard, d’avoir ouvert toutes grandes les portes de notre pays aux envahisseurs avec la désastreuse décision du « regroupement familial », qui a permis à Mohamed, ses quatre épouses et sa vingtaine d’enfants, de vivre tranquillement grâce à une vache à lait qui s’appelle la France. Il faut appeler les choses par leur nom : Chirac fait partie, en première ligne, des fossoyeurs de notre pays.

    Qu’il soit maudit. Source : synthesenationale

  • Minable 1er s’en est allé. Aura-t-il sa place en Enfer ?

    Publié par Guy Jovelin le 27 septembre 2019

     

    310x190_20mn-33120.jpgBernard Plouvier

    Il est de tradition de ne dire que du bien des chers disparus. Pour Chirac, cela va être mission impossible. L’on ne tire pas sur une ambulance, ni ne bombarde un navire-hôpital, et, en principe, on salue le contenu d’un corbillard. Derechef, c’est, dans le cas présent, moralement impossible.

    Cet homme fut non seulement un politicien retors et menteur, un viveur sans retenue, très probablement un corrompu, mais il fut surtout un criminel d’État, de conserve avec l’autre vieillard que l’on ne pleurera pas, Valéry Giscard.

    Nul citoyen français de souche européenne ne doit pardonner à ces deux politiciens d’avoir exercé leur capacité de nuisance à la puissance maximale, lorsque, le 29 avril 1976, ils ont osé publier le Décret 76-383 (paru au Journal Officiel de la République le 2 mai) autorisant le regroupement familial des travailleurs immigrés.

    Cet acte avait pour but de stimuler la consommation intérieure qui paraissait trop faible aux producteurs et aux distributeurs. De fait, sur ce point, les bénéfices de ces messieurs-dames furent accrus dans des proportions vertigineuses et une foule de professionnels du demi-monde de la politique et des media au service du Big Business salua cette « grande avancée sociale », comme ils le firent, dans un autre registre, avec l’avortement de complaisance, autre don à la France du tandem Giscard-Chirac, soutenant Simone Veil. 

    Aucun de ces dictateurs n’avait consulté l’unique souverain de la République française : la Nation, avant d’obérer l’avenir du peuple de France. On exterminait de futurs bébés « souchiens » et l’on importait des millions d’Africains, de Roms et de Moyen-Orientaux.

    Nul patriote ne doit se sentir obligé de retenir son mépris pour Chirac, le Président Black-Beur. L’athée se sent d’un coup désolé de ne pouvoir croire à la damnation éternelle et aux supplices infernaux. Pour un rien, on se mettrait à espérer que Satan existe. Après tout, notre vie terrestre ressemblant plus souvent à un Enfer qu’à autre chose, pourquoi pas !

     

    Source : synthesenationale

  • Jacques Chirac : le plus détestable et le plus nocif des présidents de la Ve République ?

    Publié par Guy Jovelin le 27 septembre 2019

    Auteur : Philippe Carhon

    Jacques Chirac : le plus détestable et le plus nocif des présidents de la Ve République ?

    Comme le veut la tradition à la mort d’une personnalité politique, un concert de louanges unanimes et d’hommages s’abat en continu et en copier-coller pour saluer la mémoire de Jacques Chirac. Y compris de la part ses anciens opposants politiques les plus farouches…ce qui assez compréhensible puisque Jacques Chirac avait fait élire François Mitterrand contre Giscard en 1981. C’est ainsi en république, même si il est certain que Jean-Marie Le Pen ne bénéficiera du même traitement médiatique lorsqu’il quittera ce monde…

    Jean-Marie Le Pen @lepenjm

    Mort, même l'ennemi a droit au respect.

    Bien que les présidents qui lui ont succédé (Sarkozy, Hollande, Macron) n’aient pas vraiment brillé par leurs politiques respectives et qu’ils ont surtout abîmé la stature présidentielle, est-il concevable aujourd’hui de rendre hommage à l’homme et à la fonction présidentielle tout en estimant en parallèle que la carrière politique de Jacques Chirac fût l’une des plus néfaste pour la France sans même parler de ses agissements malhonnêtes qui auraient dû lui barrer définitivement la route de l’Elysée et le conduirent (bien tardivement en 2011 à deux ans d’emprisonnement avec sursis pour détournement de fonds publicsabus de confiance, prise illégale d’intérêts, délit d’ingérence ce qui lui vaut d’être le premier ancien président de la République française condamné par la justice . Pour le tribunal, il est « l’initiateur et l’auteur principal des délits » et « a manqué à l’obligation de probité qui pèse sur les responsables publics, au mépris de l’intérêt public des Parisiens ».

    Il n’est donc pas inutile d’effectuer quelques rappels sur sa carrière :

    “(…) Pour avoir une petite idée de ce que donnerait un Juppé à la tête de l’Etat, il convient donc de se remémorer le bilan calamiteux de Chirac comme Premier ministre, puis comme président de la République. On lui doit en 1975 la loi Veil qui tue légalement plus de 200.000 enfants français par an dans le ventre de leur mère (…), en 1976 le regroupement familial qui a transformé une immigration temporaire de travail en une immigration de peuplement et d’ayants-droit sociaux mettant ainsi en œuvre une politique de Grand Remplacement, en 1975 la création de la taxe professionnelle ruineuse pour les entreprises et donc pour l’emploi, en 1996 la fin du service militaire obligatoire coupant le lien entre l’armée et la nation, en 1996 la fin des essais nucléaires mettant en danger l’indépendance de la France, en 1995 la condamnation de la France en tant que telle pour les déportations des juifs sous l’Occupation (…). Ce qu’aucun de ses prédécesseurs n’avait voulu faire, Chirac l’a fait sans honte et sans hésitation : condamner solennellement le pays dont il présidait officiellement aux destinées.

    Chirac est tout sauf un homme intellectuellement et politiquement courageux (…) Politicien sans foi ni loi et sans aucune conviction (il a mis vingt ans durant la capitale de la France en coupe réglée pour assouvir son ambition présidentielle). C’est en effet un système mafieux qui lui permit d’accéder à la magistrature suprême (…) Il faut se souvenir du discours dithyrambique qu’il avait tenu à l’Elysée pour le 275e anniversaire de la franc-maçonnerie en France. Chirac s’est opposé constamment à la reconnaissance des racines chrétiennes de la France et de l’Europe, a déclaré en 1995 qu’il était opposé à une loi morale s’imposant à la loi civile (…) Il est l’instigateur de quasiment tous les traités qui ont détruit pan après pan tous les attributs de souveraineté de notre pays : Acte unique, Amsterdam, Nice, Constitution européenne. Et c’est son engagement militant en faveur de Maastricht, à la fin de la campagne référendaire, qui permit in fine au oui de l’emporter le 20 septembre 1992, ce qui entérina la fin de notre monnaie nationale et réduisit donc considérablement  nos marges de manœuvre budgétaires.

    Ayant dit un jour qu’il n’avait « qu’une haine au monde, le fascisme », il tint parole. En diabolisant trente ans durant la droite nationale. En reprenant à son compte les pires calomnies et en jetant sur elle les plus violents anathèmes. En accordant le statut d’ancien combattant aux Brigades internationales dès son arrivée à l’Elysée, montrant ainsi qu’il était resté fidèle au jeune homme qui vendait à la criée l’Humanité et signait l’appel de Stockholm. En reprenant sur Vichy et sur le maréchal Pétain tous les mensonges qui se sont aujourd’hui médiatiquement imposés.

    (…)  nous ne participerons nullement aux hommages vibrants qui ne manqueront pas de se multiplier tant à gauche qu’à droite de l’échiquier politiqueFace à un homme profondément corrompu qui aurait dû finir sa vie en prison et être définitivement inéligible, un piètre politicien soumis aux lobbies les plus puissants et les plus détestables (…), un  individu sans idéal, sans colonne vertébrale, prêt à toutes les trahisons, de Chaban à Giscard, pour sa seule ambition présidentielle, un homme inculte et malfaisant, n’ayant aucune sincérité, aucune authenticité, aucun honneur, aucun génie, nous garderons l’œil sec. Et nous n’avons que mépris pour tous ces militants de droite qui pendant des décennies ont vu en lui l’homme providentiel (…)”

    Et pour ceux qui préfèrent l’humour, il y a cet excellent film Dans la peau de Jacques Chirac dont le texte dit par l’imitateur Didier Gustin a été écrit par Karl Zéro et Eric Zemmour.

     

    Source : lesalonbeige

  • Pour 75% des sympathisants RN, Chirac a été « un bon président »

    Publié par Guy Jovelin le 27 septembre 2019

    Par  le 27/09/2019

    bon président,chirac,rn

    79 % des Français interrogés par Odoxa pour France Info et Le Figaro se souviennent de Jacques Chirac comme d’un «bon» chef de l’État. Ce sentiment est même transpartisan. Car si 93% des sympathisants LR le partagent, 80% des proches de LREM et 75 % de ceux du RN sont sur cette même ligne. Légèrement en retrait, les Insoumis sont tout de même 65% à partager cet avis.

    Si les Français apprécient l’ancien chef d’État, c’est avant tout pour sa personnalité. Il est jugé «sympathique» (90%), proche des gens (87%), incarnant la France (87%), charismatique (83%) et dynamique (75%). […]

    Le Figaro via fdesouche