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taxe

  • La Grande Mosquée de Paris, liée à l’Algérie, impose une taxe aux entreprises européennes exportant vers ce pays pour des certificats halal inexistants. Les fonds, gérés par une entreprise privée, alimentent une rente opaque.

    Publié par Guy Jovelin le 22 janvier 2025


    Halal : la petite cuisine de la Grande mosquée de Paris

    Cinq millions de chiffre d’affaires attendu en 2024 pour un simple logo apposé sur des yaourts, des gâteaux ou des aliments pour bébés, tel est le prix à payer pour exporter depuis l’UE vers l’Algérie

    Les faits – 

    La Grande Mosquée de Paris a organisé, avec l’appui des autorités algériennes, un système monopolistique de certifications halal, qui s’apparente à une taxe obligatoire appliquée à l’ensemble des produits de l’Union européenne exportés vers l’Algérie. Une activité rentable qui a rapporté plusieurs millions d’euros en 2024. Les autorités françaises n’ont pas été informées d’un mécanisme pourtant destiné officiellement à financer le culte musulman, mais dont la destination des fonds reste floue. En plein raidissement diplomatique entre Paris et Alger, cela pose question.

    www.lopinion.fr via fdesouche

  • Europe : bientôt une taxe sur la viande ?

    Publié par Guy Jovelin le 09 février 2020

    Par  le 08/02/2020

    L’augmentation pourrait représenter jusqu’à 47 centimes pour 100 grammes de boeuf. L’objectif est de couvrir les coûts environnementaux.

    (…) Les projections pourraient ainsi faire grimper le prix de certaines viandes de 25 %. A partir de 2021, le surcoût envisagé serait de 10 centimes pour 100 grammes, peu importe la viande. Mais, à terme, c’est le boeuf qui serait le plus fortement touché avec 47 centimes, suivi du porc avec 36 centimes et de la viande de poulet avec 17 centimes.

    (…) Le Point via fdesouche

  • Carburants : L’UFC-Que Choisir demande la suppression de la TVA sur la taxe environnementale

    Publié par Guy Jovelin le 18 septembre 2019

    Si la France est la championne du monde de la pression fiscale, c’est parce que les fonctionnaires de Bercy sont créatifs. Ils inventent chaque année de nouveaux impôts. Lorsqu’ils sont à cours d’idées, ils taxent les taxes ! Ils nous font payer une taxe sur une taxe. En France nous sommes taxés, parce qu’on paye des taxes.

    Par exemple, la CSG non déductible est réintégrée au revenu imposable. Nous payons donc de l’impôt sur une taxe. En matière de carburant c’est pareil, on règle de la TVA sur la taxe « environnementale ».

    Trouvé sur Europe 1 : « « Il s’agit d’une taxe sur une taxe », explique Mathieu Escot, de l’UFC Que Choisir, au micro d’Europe 1. « Aujourd’hui, quand l’automobiliste se rend à la pompe, sur un litre de carburant il y a environ un tiers de prix de matière première et deux tiers de taxes. L’une d’entre elle est une taxe sur la taxe environnementale », précise-il.

    14 centimes sur un litre d’essence, 12 sur le diesel
    Concrètement, sur un litre d’essence, cette taxe sur la taxe représente 14 centimes et 12 centimes sur un litre de diesel. Et pour l’association de consommateurs, cette taxe n’a pas lieu d’exister « car elle ne finance pas la transition énergétique. Il s’agit d’une TVA sur une taxe donc elle est reversée directement dans les caisses de l’Etat », précise l’expert, pour qui il n’y a aucune justification économique ou écologique à l’existence de cette taxe.

    L’association de défense des consommateurs avait déjà formulé cette demande au cours du Grand débat, mais n’avait pas été entendue. Elle espère cette fois que la pétition qui accompagnera sa demande permettra d’être entendue. »

     

    Source : contre-info

  • Ce n’est pas une blague : hausse de la taxe « cabane de jardin » !

    Publié par Guy Jovelin le 27 février 2019

    cabane de jardin,taxe

    Lu sur LeFigaro.fr :

    Des taxes, toujours des taxes, encore des taxes… Connaissez-vous la « taxe d’aménagement »? Peut-être pas. Pour vous aider à y voir plus clair, sachez qu’elle porte un autre nom : la taxe « cabane de jardin ». Instaurée en 2012, elle touche «toutes les opérations d’aménagement, de construction (par exemple les abris de jardin d’une surface supérieure à 5m²), de reconstruction et d’agrandissement de bâtiments ou d’installations, nécessitant une autorisation d’urbanisme (permis de construire ou d’aménager, déclaration préalable), rappelle le site de l’administration française.

     

    Et bien, figurez-vous que

     

    La valeur forfaitaire qui sert de base de calcul à cette taxe créée en 2012, a été revalorisée de près de 4% pour l’année 2019 après avoir déjà grimpé de 3% en 2018.

     

    Source : ndf