Publié par Guy Jovelin le 30 août 2022
Auteur : Cassandre Fristot
La machine étatique supprime les professeurs qu’elle considère comme de mauvais numéros de sa base de données et elle s’applique à mettre en place la « Grande Réinitialisation » par étapes progressives.
A partir du mois de Septembre, le Rectorat de l’académie de Nancy-Metz va expérimenter « une brigade numérique de remplacement » pendant deux ans. La méthode est déshumanisante autant pour les élèves que pour les professeurs, qui iront remplacer leurs collègues manquants par visioconférence. Une solution privilégiée uniquement pour les zones rurales où aucun enseignant ne souhaiterait se rendre : le doute quant à la véracité de ce prétexte avancé subsiste… Il semble surtout que les élèves des secteurs défavorisés des grandes villes auront probablement tous les moyens matériels et humains incluant évidemment la présence d’un professeur ! Vous avez dit égalité républicaine ?
Il y a 7 postes de « visio-enseignants » disponibles dont les candidats seront « validés » par l’inspection académique. Ils ne travailleront pas depuis leur domicile, mais devront se rendre dans une salle de leur établissement de rattachement, prévue à cet effet. Ils devront transmettre des connaissances à des élèves physiquement absents qui dans leur collège seront livrés à eux-mêmes face à un écran. Quid des relations humaines ? Quid de l’autorité ?
Pendant le confinement, les cours en distanciel avaient déjà préparé les professeurs à enseigner par écran interposé. Il semble que cette révolution dans la manière d’enseigner se transforme en une nouvelle norme et s’impose comme LA solution à la pénurie de professeurs. La crise sanitaire passée, de nouveaux motifs sont trouvés par les mondialistes pour justifier des mesures « sans contact » : la pénurie de professeurs bien sûr, mais également la nécessité de réduire les déplacements polluants dans le respect de l’écologisme et de l’Agenda 2030 de l’ONU qui établit le développement durable comme politique éducative numéro 1 dans toutes les écoles de France.
Les items des 17 objectifs de développement durable promus par l’ONU et qui devront être étudiés de manière transversale, c’est-à-dire dans toutes les matières scolaires.
Source : medias-presse.info