Publié par Guy Jovelin le 22 mai 2025
L’Espagne envisage de régulariser 500.000 clandestins. L’Europe continue de creuser sa fosse commune.
Pendant que nos paysans se pendent et que nos compatriotes voient leur pouvoir d'achat de plus en plus réduit, le gouvernement espagnol vient d’avoir une idée lumineuse : offrir les papiers à un demi-million de clandestins.
Ils appellent ça une « régularisation massive ». Nous appelons ça un suicide collectif déguisé en geste humanitaire.
Soyons francs : à ce stade, ce n’est plus de la naïveté, c’est une politique assumée de remplacement démographique. Une stratégie parfaitement huilée, relayée par les ONG, applaudie par les journalistes et soutenue par la technostructure bruxelloise qui rêve d’un continent sans peuples, sans racines, sans frontières.
Et pendant que l’Espagne s’apprête à injecter 500.000 clandestins dans ses veines, devinez ce que fait la France ? Rien. Elle regarde. Elle obéit. Elle prépare la même chose. Comme toujours.
Un pays normal expulse les clandestins.
Un pays colonisé les régularise.
Un pays mort les subventionne.
Le Parti de la France le dit calmement, mais fermement :
les migrants illégaux doivent repartir, pas s’installer.
Et s’il faut choisir entre les intérêts de nos enfants et le confort juridique d’un clandestin arrivé sur une barque en plastique, nous choisissons nos enfants.
À tous les communicants qui pensent qu’on va se taire, à tous les députés-fantômes qui roupillent à Bruxelles : on vous voit.
Vous rendrez des comptes.
Pierre-Nicolas Nups - Secrétaire général du Parti de la France