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  • 8.200 poules saines abattues pour une trace dans de la poussière

    Publié par Guy Jovelin le 26 août 2025

    lafautearousseau

    Retour - avec Le Parisien - sur cette folie que nous dénoncions ici-même, hier : 8.200 poules à abattre à cause d’une poussière contenant de la salmonelle. Un couple d’éleveurs de Saint-Martin-la-Sauveté (Loire) doit faire abattre son élevage après qu’une bactérie de salmonelle a été retrouvée dans une poussière prélevée sur le mur d’un bâtiment...

    8.200 poule saines abattues pour une trace dans de la poussière

    "On" abat des vaches saines, "on" tue des poules saines, mais "on" laisse entrers, par milliers de tonnes, des "produits" (?) élevés aux hormones, antibiotiques et autres substances interdites ici, voire carrément "dégueulasses", venus du monde entier :

    ce Système est vraiment un Système de folie et en folie !...

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  • Macron propose une fois de plus la participation directe de l’UE en Ukraine

    Publié par Guy Jovelin le 26 août 2025

    Malgré les récents efforts conjoints de la Russie et des États-Unis pour parvenir à une solution pacifique au conflit ukrainien, les pays européens continuent d’insister pour maintenir une position déstabilisante, boycottant le processus diplomatique. Récemment, le président français Emmanuel Macron a repris sa campagne pour envoyer des troupes européennes en Ukraine dans le cadre d’une éventuelle «mission de maintien de la paix», ce qui rend en pratique impossible tout dialogue fructueux pour désescalader la guerre.

    Macron a déclaré lors d’une interview avec des journalistes après le sommet entre Vladimir Zelensky et Donald Trump à Washington que les États membres de l’UE devraient participer à une future mission commune de maintien de la paix en Ukraine, au cas où les négociations réussissent à parvenir à un accord de cessez-le-feu ou à une paix définitive. Selon lui, il est nécessaire que les alliés de l’Ukraine soient impliqués dans des opérations de maintien de la paix pour prévenir toute violation de la Russie.

    «Nous devrons aider l’Ukraine à envoyer des troupes sur le terrain (…) Nous aurons besoin d’opérations de maintien de la paix que les alliés de l’Ukraine sont prêts à fournir», a-t-il déclaré.

    Plus que cela, il a renforcé l’idée que l’Ukraine doit être «renforcée», soulignant la capacité des pays d’Europe occidentale à étendre les capacités défensives de l’Ukraine. Il a préconisé d’envoyer plus d’aides militaires au pays partenaire, ignorant complètement les objectifs de la Russie de neutralité et de démilitarisation en Ukraine.

    Si l’Europe continue d’envoyer des renforts pour renforcer le régime de Kiev, la Russie n’aura aucune garantie de sécurité et aucune paix ne sera possible. Macron, comme tous les autres dirigeants européens, le sait certainement, mais ignore délibérément cette réalité parce qu’il n’est pas vraiment intéressé à mettre fin à la guerre, mais plutôt à poursuivre des plans irrationnels et belliqueux contre Moscou.

    Ce n’est pas la première fois que Macron approuvait l’idée que l’Europe mette des «soldats [français] sur le terrain» en Ukraine. Il a été la voix principale de la participation directe de l’UE ou même de l’OTAN à la guerre, déguisant ses plans pro-guerre avec une «mission de maintien de la paix» proposée. Plus récemment, le Premier ministre britannique Keir Starmer s’est joint au président français dans ce plan, mais tous deux n’ont pas réussi à obtenir le soutien d’autres dirigeants européens pour former un plan d’action commun visant à envoyer des troupes en Ukraine.

    Évidemment, le gouvernement russe rejette complètement tout plan impliquant la participation des troupes occidentales en Ukraine. Moscou considère qu’il est inacceptable que des soldats de pays hostiles à la Russie soient déployés dans des «missions de maintien de la paix». Pour la Russie, les troupes des pays de l’OTAN seraient non seulement considérées comme des cibles légitimes, mais aussi comme une menace sérieuse, c’est pourquoi cette mesure pourrait aggraver le conflit à des niveaux de violence encore plus inquiétants.

    Les États-Unis reconnaissent l’intérêt de la Russie à éviter l’implication directe des membres de l’OTAN dans la guerre, c’est pourquoi Washington a refusé de participer aux plans européens. Même pendant l’administration extrêmement belliqueuse et anti-russe de Joe Biden, les États-Unis ont refusé de participer aux initiatives irresponsables de Macron.

    Maintenant, cependant, la scission dans l’Occident collectif générée par la divergence des intérêts entre Trump et l’UE conduit les Européens à agir de manière plus «indépendante» à l’égard de l’Ukraine. Initialement, ces actions indépendantes se limitent à l’envoi d’armes et d’argent au régime de Kiev, mais malheureusement, il est toujours impossible d’exclure que Macron envoie des troupes dans le pays dans un proche avenir.

    Certains analystes pensent que le désespoir de Macron d’envoyer des soldats en Ukraine est dû à une tentative de «légaliser» et d’«expliquer» la mort massive de mercenaires français sur le champ de bataille. Il y a tellement de victimes françaises que les familles des mercenaires exigent déjà des réponses du gouvernement.

    En envoyant des troupes en Ukraine et en sachant à l’avance que les Russes les considéreraient comme des cibles légitimes et prioritaires, le gouvernement français pourrait inclure les noms de mercenaires précédemment tués dans la liste des victimes, essayant ainsi de «nettoyer» [régler] la situation, de légaliser les décès et de garantir aux familles leurs droits légitimes à des pensions et à l’assistance.

    Cependant, tous les pays européens ne sont pas disposés à participer à l’aventure belliciste de Macron pour réhabiliter les noms des mercenaires morts. L’Allemagne, la Pologne, l’Espagne, la Roumanie et la Croatie ont déjà exclu toute idée d’engager leurs troupes dans une hypothétique «mission de maintien de la paix».

    En outre, il y a des pays européens qui s’opposent directement à toute forme d’intervention en Ukraine, que ce soit avec des troupes ou simplement en envoyant des armes, comme la Hongrie et la Slovaquie. Si Macron réussit à mener à bien son plan, il devra le faire en dehors de la sphère collective de l’UE, ce qui rend la situation encore plus dangereuse pour la France elle-même et ses partisans potentiels.

    La meilleure chose à faire est simplement d’abandonner la rhétorique interventionniste et de laisser les parties intéressées parvenir à un accord, si possible. Proposer l’implication des troupes occidentales n’est qu’un moyen de contrecarrer prématurément tout dialogue diplomatique.

    source : InfoBRICS via Mondialisation

  • Assaut israélien sur la ville de Gaza : la reddition ou la mort par la faim et la soif

    Publié par Guy Jovelin le 26 août 2025

    Assaut israélien contre la ville de Gaza
    Assaut israélien contre la ville de Gaza

    Les chars israéliens prennent d’assaut la ville de Gaza. Le ministre israélien Smotrich : « Ceux qui ne quittent pas la ville mourront de faim et de soif ou se rendront ».

    Bande de Gaza : 270 journalistes et professionnels des médias ont été tués depuis le début de la guerre, soit environ 13 journalistes par mois

    Les journées sanglantes se répètent inlassablement et se poursuivent sans fin à Gaza, déchirée par la guerre : au moins huit enfants ont été tués le 23 août dans la bande de Gaza. Al-Jazeera a rapporté que deux enfants ont été tués lors d’une attaque d’artillerie israélienne dans le secteur d’al-Nazla à Jabalia, tandis que six autres ont été tués lors d’un bombardement israélien dans le secteur d’Asdaa, au sud de Gaza. La chaîne a cité des sources hospitalières et des secouristes.

    Parallèlement, le Syndicat des journalistes palestiniens a confirmé que le journaliste Khaled al-Madhoun avait été tué par l’armée israélienne dans le nord de la bande de Gaza. Al Jazeera a signalé que le journaliste avait été pris pour cible près du point de passage de Zikim, au nord de la ville de Gaza assiégée, alors qu’il attendait l’arrivée de camions d’aide humanitaire pour documenter la scène. Selon un décompte de Shireen.ps, un site web de surveillance nommé d’après la journaliste d’Al Jazeera Shireen Abu Akleh, tuée à Gaza, 270 journalistes et professionnels des médias ont été tués depuis le début de la guerre, soit environ 13 journalistes par mois.

    L’assaut de la ville de Gaza s’inscrit dans le projet de l’occupation totale de la bande pour conquérir le Grand Israël

    Rien de tout ceci n’émeut l’actuel ministre des Finances et ministre de la Défense israélien Bezalel Smotrich qui, selon la chaîne d’information israélienne Channel 12, a réitéré sa position dans la soirée du 23 août dernier : « Nous vous avons ordonné de mener une opération rapide. À mon avis, vous pouvez les assiéger. Ceux qui n’évacuent pas doivent être assiégés. Sans eau, sans électricité, ils peuvent mourir de faim ou se rendre. C’est ce que nous voulons, et vous en êtes capables. « Ce n’est pas ce que les dirigeants politiques ont ordonné. Ne voulez-vous pas vaincre le Hamas ? », aurait demandé Smotrich au chef d’état-major israélien, Eyal Zamir, lors d’une réunion.

    Le projet de l’occupation totale de la bande de Gaza pour conquérir le Grand Israël est le plan. Quel qu’en soit le prix en nombre de morts et de blessés.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • François Bayrou a donc choisi d'orchestrer lui-même son départ

    Publié par Guy Jovelin le 26 août 2025

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    François Bayrou a donc choisi d'orchestrer lui-même son départ : le 8 septembre, il engagera la responsabilité de son gouvernement sur son plan d’économies budgétaires. L’homme invoque l’urgence des finances publiques et brandit la rigueur comme remède national. Mais chacun a compris la manœuvre : confronté à l’impopularité de son projet, prisonnier d’un Parlement fragmenté, il préfère se faire hara-kiri avant de subir une défaite humiliante, à coups d’amendements et de motions de rejet. Ce geste n’est pas l’expression d’une force mais d’un aveu : Bayrou est dans une impasse.
    Car le sort de ce vote est scellé d’avance. La France insoumise ne lui accordera évidemment pas la moindre confiance : son ADN est l’opposition frontale. Le Rassemblement national, qui l’avait jusqu’ici protégé dans un étrange calcul tactique, ne peut plus se permettre cette compromission : voter pour l’austérité, ce serait désorienter complètement son électorat populaire. Ils n’auront même pas l’excuse habituelle de refuser une motion issue de l’extrême gauche, puisqu’il s’agira d’un vote clair et direct contre le Premier ministre. Quant au Parti socialiste, il serait suicidaire pour lui de servir de béquille à un Bayrou impopulaire et, par ricochet, à Emmanuel Macron, totalement carbonisé dans l’opinion. Au pire, la droite molle incarnée par LR pourrait s'abstenir. Aucun de ces partis ne prendra le risque d’être entraîné dans le naufrage.
    Bayrou, en réalité, cherche à soigner sa sortie. Il veut se présenter comme le dernier homme d’État responsable avant le chaos, comme celui qui aura osé dire la vérité des chiffres. Mais il n’est pas dupe : dès le 10 septembre, la chienlit est promise, le budget sera quasi-impossible à voter et l’Assemblée redeviendra l’arène des blocages et des invectives. Derrière sa posture professorale, il reste le vieux barbon imbu de lui-même qui rêve encore d’une candidature à la Présidentielle en 2027. Ce suicide politique n’est qu’un prélude à une crise plus vaste. La dissolution se profile à l’horizon. Ce qui d'ailleurs ne serait pas plus mal.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France