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  • Jean Dujardin, agent secret du conformisme

    Publié par Guy Jovelin le 22 juin 2019

    par Stéphane Germain - 

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    L'acteur de OSS 117 se fout de la gueule de la France d’avant

     

    Interrogé sur OSS 117, l’acteur joue les parangons de la France d’après… et se fout de la gueule de celle d’avant. Un pays raciste, antisémite, phallocrate donc répréhensible.


    Entendons-nous bien : les deux premiers opus d’OSS 117 dans lesquels Jean Dujardin redonne vie à Hubert Bonisseur de la Bath m’ont fait hurler de rire, comme quelques millions de Français. Ceci posé, la comédie cinématographique demeurant chose sérieuse, on a le droit de s’interroger sur les ressorts de ce rire, bien souvent perçu comme transgressif. Plus encore qu’au Caire – où OSS aborde l’Orient compliqué avec les idées simples d’une xénophobie débonnaire – Hubert se permet à Rio des sorties antisémites qu’on pensait réservées à Gaspard Proust. Pourtant, à la différence de films pré-soixante-huitards comportant des caricatures équivalentes, les blagues d’OSS ne sont pas là pour se moquer des Juifs ou des Arabes, mais au contraire pour ridiculiser celui qui profère de telles horreurs – tout en offrant au spectateur de jouir secrètement du premier degré de celles-ci.

     Dupont Lajoie au soleil

    Cette différence peut sembler relever du détail alors qu’elle constitue la clé de voûte de l’univers recréé par Dujardin et Hazanavicius. OSS 117, c’est Dupont Lajoie au soleil. Sans ce tour de passe-passe, pas de film. Hubert Bonnisseur de la Bath incarne le Français d’avant (avant quoi ? demandait Muray), c’est-à-dire – cliniquement parlant – un énorme connard raciste, antisémite, machiste, hostile à la jeunesse et au progrès. Il n’est certes pas méchant, mais navrant de préjugés douteux qui offriront au spectateur progressiste, par contraste, une pinte de bon sang. Le Français d’après, tolérant, ouvert à la diversité et totalement convaincu que l’indifférenciation des sexes relève désormais de la vérité scientifique, pourra se moquer de ses aïeux en toute bonne conscience. Vue sous cet angle, la série des OSS 117, loin d’être transgressive figure au contraire l’archétype d’un humour politiquement correct basé sur une repentance boulevardière. Jean Dujardin vient (enfin) de l’avouer à nos confrères du Point : « […] je pense que ce sont des films très politiquement corrects. […] Avec OSS 117, on sait de qui on rigole : un raciste, un idiot, un con, un réac, un candide, un abruti qui enfile les clichés comme des perles. On peut rire de sa connerie, de nos problèmes, de nos réflexes xénophobes. Je symbolise cette France crasse, idiote, basse de plafond. »

    Pauvre Bébel

    On a souvent voulu voir en Jean Dujardin le digne successeur de Jean-Paul Belmondo, et il est vrai que OSS et l’homme de Rio bondissent avec la même énergie tempérée par un œil rigolard. Mais leurs personnages n’ont rien en commun. On ne rit pas de la testostérone de Bébel, on se moque de ceux qui pâtissent de son trop-plein. Gabin, Ventura, Delon ne semblaient pas non plus particulièrement prédisposés au comique de repentance. La filiation entre Dujardin et ses glorieux devanciers s’apparente ainsi à une méprise ou à un habile détournement de notre mémoire collective cinématographique.

    En cours d’écriture, le troisième volet de cette série d’humour progressiste – que je verrai avec enthousiasme et sur lequel je n’ai aucune information exclusive – pourrait utilement prêter à OSS des propos stigmatisant les homosexuels, faisant peu de cas de l’écologie ou du climat. Il pourrait même fumer des clopes et rouler au diesel (avec une interdiction aux moins de 16 ans ?). Dans quelques décennies, Hubert s’étonnera de trouver du quinoa dans sa salade, mangera du pain au gluten et fraternisera avec un boucher. On va bien rigoler.

     

    Source : causeur

  • Montpellier. Un squat d’extrême gauche hébergeait un réseau de cambrioleurs albanais

    Publié par Guy Jovelin le 22 juin 2019

     21 juin 2019

     

    albanais
     

    21/06/2019 – 17h20 Montpellier (Lengadoc Info) – L’opération de gendarmerie menée cette semaine dans le quartier des Arceaux à Montpellier contre un réseau de cambrioleurs albanais a permis de révéler que certains des membres de ce réseau étaient, en fait, logés dans un squat tenu par des militants d’extrême gauche.

    Quatre interpellés au squat CSA Bonnard

    C’est un important coup de filet qui a eu lieu ce mercredi dans le quartier des Arceaux à Montpellier. La gendarmerie appuyée par le GIGN et la police nationale a mené une opération pour démanteler un réseau de cambrioleurs albanais qui sévissait dans le département de l’Hérault depuis un certain temps.

    Cette opération a eu lieu dans deux squats. Le premier, situé rue du Faubourg Saint Jaumes a été expulsé et une dizaine de personnes ont été interpellées. Mais le deuxième squat, situé rue Bonnard, était en réalité un squat tenu par des militants d’extrême gauche : le Centre Social Autogéré (CSA) Bonnard.

    Dans un communiqué publié sur leur page Facebook les squatteurs expliquent comment des policiers se sont présentés à l’entrée du CSA avec « un des habitants du CSA menotté car interpellé peu de temps avant pour une histoire de cambriolage afin de perquisitionner sa chambre ». Lors de cette perquisition ce sont en tout quatre squatteurs qui ont été interpellés, « essentiellement des Albanais » précise le communiqué.

    Le CSA Bonnard, un squat militant et antifa

    Le « Centre Social Autogéré Bonnard » n’est pas un simple squat de SDF et de migrants comme il en existe plusieurs à Montpellier. Avec la disparition du squat le Royal, le CSA Bonnard est un squat « politique », c’est à dire qu’il sert de lieu d’habitation mais également de lieu de réunion pour certaines organisations d’extrême gauche.

    Le CSA a, par exemple, servi de lieu pour des soirées des groupes antifa « Montellier Antifasciste et Populaire » et « Groupe Révolutionnaire Antifasciste et Populaire de l’Hérault ». Le lieu a également servi à une soirée « contre la répression » organisée, entre autres, par l’Assemblée des Gilets Jaunes 34, une structure « gilet jaune » particulièrement infiltrée par des militants d’extrême gauche.

    Photos : DR/ CSA Bonnard

     

    Source : lengadoc-info

  • Un policier toulousain met fin à ses jours

    Publié par Guy Jovelin le 22 juin 2019

     
    policier
    Un policier toulousain s’est suicidé à son domicile, jeudi 20 juin 2019. Il s’agit du 34esuicide depuis le début de l’année dans la profession. 

    Un policier du commissariat central de Toulouse s’est donné la mort, jeudi 20 juin. Âgé de 45 ans, père de famille et « très apprécié de ses collèges », selon La Dépêche, s’est pendu à son domicile. Ce sont les pompiers qui ont découvert le corps de l’officier de police judiciaire, affecté à la brigade territoriale centre.

    Lire aussi : Agriculteurs : 5 suicides en deux mois dans le Gers

    Le fonctionnaire de police avait fait l’objet, deux jours auparavant, d’une comparution paritaire disciplinaire. Une cellule psychologique a été ouverte pour les policiers toulousains. 

     

    Source : infos-toulouse

  • Le gouvernement italien finance la reconstruction de 600 églises

    Publié par Guy Jovelin le 21 juin 2019

     

    Le 3 juin dernier, le président du Conseil italien, Giuseppe Conte, a rencontré, au siège de la Conférence Épiscopale italienne, les évêques des régions ébranlées en 2016 par de terribles tremblements de terre.

    A cette occasion, le chef de l’exécutif italien s’est engagé à signer une ordonnance qui établit les normes pour la restauration de 600 églises sur les 3 000 frappées par le séisme du 24 août 2016 dans la région de Rieti (Lazio) et d’Ascoli Piceno (Marche) causant la mort de 298 personnes et provoquant d’immenses dégâts matériels.

    Après l’immobilisme des gouvernements de gauche précédents, ceux de Renzi et Gentiloni, l’actuel gouvernement italien, formé d’une coalition entre La Ligue de Salvini et le Mouvement 5 Étoiles, débloquera pour ces restaurations 300 millions d’euros.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Les ministres Muriel Pénicaud et François de Rugy épinglés pour leurs fake news !

    Publié par Guy Jovelin le 21 juin 2019

    Ecrit par Léo Kersauzie

    Le gouvernement d’Emmanuel Macron voulait une loi sur les fake news. Mais en la matière, il serait temps de nettoyer les écuries d’Augias. Deux ministres viennent en effet d’être pris en flagrant délit de fake news.

    Il y a d’abord eu la fake news de François de Rugy, ministre de la Transition écologique, qui, le 17 juin sur Europe 1, a déclaré qu’en 2018 ces émissions de gaz à effet de serre s’étaient réduites de 4% «pour la première fois» en France. Mais, selon l’AFP Factuel citant les chiffres du Citepa (le Centre interprofessionnel technique d’études de la pollution atmosphérique), il ne s’agit pas d’une première. Le média indique qu’entre 2013 et 2014, il y avait déjà eu une baisse de près de 6,2%. Et entre 2010 et 2011, les émissions françaises de gaz à effet de serre ont baissé de 5,1%.

    Il y a eu ensuite Muriel Pénicaud, ministre du Travail, qui avait déclaré le 19 juin sur BFM TV qu’il y avait 37 millions d’offres d’emploi par an en France. Ce chiffre a été rapidement remis en cause par un internaute qui s’est adressé à CheckNews. Selon lui, la ministre du Travail confondait le nombre de nouveaux contrats et celui d’offres d’emploi. Sollicité par CheckNews, l’entourage de Mme Pénicaud a reconnu cette «confusion». En réalité, d’après le média, Pôle emploi n’a diffusé que 7,4 millions d’offres en 2018.

    Comme disent les mauvaises langues, dans gouvernement, il y a “ment”.

     

    Source : medias-presse.info