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  • Migrants : l’aide au départ volontaire portée à 2500€ (et billet d’avion offert)

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2019

    Par  le 13/09/2019

    L’aide au départ volontaire pour les sans-papiers et les demandeurs d’asile déboutés en première instance est portée de 650 à 2 500 € jusqu’à la fin 2019 alors que les expulsions coûtent très cher et sont peu efficaces.

    Le gouvernement continue de manier la carotte et le bâton contre les migrants en France. Le ministère de l’Intérieur va accorder une prime exceptionnelle aux étrangers qui acceptent de rentrer volontairement dans leur pays d’origine.

    L’aide au retour d’un montant de 650 € qui peut déjà être portée à 1 850 € dans le cadre d’opérations ponctuelles passe à 2 500 € jusqu’à la fin de l’année.

    L’aide au départ volontaire pour les sans-papiers et les demandeurs d’asile déboutés en première instance est portée de 650 à 2 500 € jusqu’à la fin 2019 alors que les expulsions coûtent très cher et sont peu efficaces.

    Cette enveloppe exceptionnelle ne concerne que les ressortissants de pays soumis à visa. Les étrangers qui n’ont pas besoin de visa pour venir en France comme les Albanais ou les Roumains n’ont le droit qu’à 300 €. La France prend aussi en charge le billet d’avion. […]

    Le Dauphiné Libéré via fdesouche

  • Richard Ferrand mis en examen : la Macronie fait bloc

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2019

    Rédigé par notre équipe le 12 septembre 2019.

    Les affaires s’accumulent pour la Macronie. Quand les nouvelles chassent les anciennes, c’est pour mieux faire rebondir celles qui étaient censées être enterrées par la justice. Alors qu’il clamait sur tous les toits que les juges l’avaient blanchi, Richard Ferrand, président de l’Assemblée nationale a été mis en examen la nuit dernière. Son business juteux dans le monde des mutuels et de l’immobilier en l’occurrence suscite de sérieux doutes chez les magistrats. Le soupçon pèse fortement sur Ferrand, mais accroché comme une moule à son rocher, il restera au Perchoir contre vents et marées.

    Les jours se suivent et viennent ajouter une couche de saleté au monstre macronien. Après Jean-Paul Delevoye contraint de cumuler un salaire de ministre et une belle retraite d’élu local, voici Richard Ferrand qui ressort du bois pour être mis en examen par les juges. Quoi ?! Le président de l’Assemblée nationale encore une fois dans le collimateur de la justice ? La nouvelle est surprenante puisque le quatrième personnage de l’Etat assurait que la justice était passée, n’avait rien trouvé à redire si ce n’est bonne chance dans votre mission d’élu de la République. Il faut croire que Ferrand vit dans un monde parallèle ou est atteint d’une vision partielle de la réalité.

    La morale à géométrie variable de Ferrand

    La France se réveille ce 12 septembre 2019 avec un président de l’Assemblée nationale mis en examen. Ça fait tache, mais du côté du pouvoir on fait bloc. Une mise en examen n’est pas une condamnation et la présomption d’innocence fait loi. Tout cela est vrai. Il n’en reste pas moins que cette affaire fait tache surtout pour un pouvoir qui avait promis l’exemplarité. Une promesse envolée dès les premiers jours aux manettes avec Ferrand déjà et nombre de ministres, conseillers et faux policiers qui ont pour beaucoup été invités à quitter leur fonction une fois la pression trop forte.

    Richard Ferrand, lui, estime que tout va bien et que cette mise en examen ne change rien à son agenda politique personnel. Il continuera de distribuer les bons et les mauvais points à l’Assemblée nationale et surtout à jouir du faste qui a finalement fait chuter son prédécesseur, un certain François de Rugy. Une mise en examen pour prise illégale d’intérêts est une broutille à ses yeux et ce délire minimaliste atteint tous les caciques d’En Marche à commencer par Gilles Le Gendre, le patron des députés LREM qui s’est précipité pour afficher son soutien, clamer l’innocence de son ami et dire qu’il est normal qu’il reste à son poste.

    Il est déjà loin le temps où l’ex-porte-parole du Gouvernement assurait que bien évidemment, si un ministre était mis en examen, il serait mis sur la touche. Griveaux parlait alors de Muriel Pénicaud. Le boulet est passé à côté et de toute manière les déclarations d’hier faites par un has been ne concerne pas Ferrand, car il n’est pas ministre. L’homme n’est que président de l’Assemblée nationale et quatrième personnage de l’Etat…

    Bien calé dans son fauteuil, le président de l’Assemblée nationale a eu le temps de prendre ses marques, car c’est lui qui a demandé le dépaysement du dossier. De longs mois de gagnés ainsi avant une mise en examen qui aurait été plus difficile à faire avaler après seulement quelques semaines au Perchoir. Ferrand et la Macronie comptent sur la force de l’habitude et l’amnésie des Français. Richard Ferrand n’est-il pas celui qui tweetait que François Fillon avait perdu « toute autorité morale » avec sa mise en examen ? Apparemment, cela ne le concerne pas une fois les bottes crottées de l’ancien Premier ministre récupérées. Au fond, cela ne change rien sur le plan de la morale, car Ferrand en a-t-il déjà eu une ?

     

    Source : 24heuresactu

  • Trouver un milliard pour les hôpitaux ? Facile : il suffit de supprimer l'AME !

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2019

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Membre du Bureau Politique du Parti de la France
     
    Encore une arnaque. Les 750 millions d'euros prétendument déployés par Agnès Buzyn, ministre de la Santé, pour permettre de faire face à la crise des Urgences et enrayer la dégradation de nos services hospitaliers, dégradation continue malgré le dévouement, le courage et parfois l'abnégation des personnels soignants, ne seront pas financés en dépenses nouvelles mais en redéploiement de budgets auparavant dédiés à d'autres secteurs hospitaliers.
     
    Autrement dit, l'Exécutif déshabille Pierre pour habiller Paul, et des pans entiers de nos services médicaux auront à pâtir de ce tour de passe-passe comptable. 
     
    Il aurait pourtant été aisé de trouver ces 750 millions sans dommage: en supprimant totalement et définitivement l'Aide Médicale d'État (AME) dont bénéficient mécaniquement, pour un coût annuel avoisinant le milliard d'Euros payé par les contribuables, tous les étrangers présents sur notre sol y compris les clandestins, pour des soins qui, dans bien des cas, dépassent largement les situations vitales ou d'urgence. Un récent rapport indiquait que des implantations de prothèses mammaires à des migrantes avaient ainsi été prises en charge par l'État.
     
    Le Gouvernement se prépare, au contraire, à pérenniser l'AME pour la grande joie des migrants. À l'occasion du débat factice qui se déroulera à la fin du mois de septembre à l'Assemblée nationale, cette aide scélérate se verra confirmée par le Premier ministre dans sa forme, son coût, ses contours et son périmètre d'attribution. 
     
    Tandis que des milliers de nos compatriotes se voient obliger de renoncer à certains soins essentiels...
  • Marseille : « Il a dit qu’il fallait tuer tous les chrétiens. Ils l’ont déclaré fou mais quand il a crié Allah Akbar, il avait l’air de savoir ce qu’il faisait »

    Publié par Guy Jovelin le 12 septembre 2019

    Vendredi 6 septembre, un homme de 17 ans s’est introduit à l’aube dans une école marseillaise et l’a poignardée. Sandra, 44 ans, raconte pour la première fois.

    (…) « Il m’a arraché le téléphone des mains, a levé les bras au ciel, a commencé à dire qu’il faisait la prière, qu’il était musulman et qu’il fallait tuer tous les chrétiens. Il m’a étranglée si fort… J’ai tenté de me débattre, puis il m’a regardé avec ses yeux révulsés et m’a dit : Aujourd’hui, c’est toi qui vas mourir ! ».

    (…) « Il m’a frappée puis a attrapé des ciseaux sur mon bureau, m’a poignardée trois fois, dans l’abdomen. Puis une fois dans la jambe, avec un couteau de cantine attrapé sur un chariot. À chaque fois qu’il a lâché la gorge, j’ai crié, mais personne n’a entendu. Ça m’a paru une éternité. »

     

    (…) Dans l’école, « les ciseaux ont été retrouvés devant les toilettes, ça veut dire qu’il était tout près de moi », frissonne Sandra, qui ne comprend pas bien que le parquet antiterroriste ne se soit finalement pas saisi« OK, il a 17 ans. OK, ils l’ont déclaré fou. Mais quand il a crié Allahou Akbar et qu’il a attrapé des ciseaux plutôt qu’un des multiples crayons que j’avais sur mon bureau, là il avait l’air de savoir ce qu’il faisait », ironise-t-elle. Il a été hospitalisé en psychiatrie.

    (…) « Marseille, je ne peux plus, je ne veux plus ça pour mes enfants, on va partir ! », promet-elle en espérant pouvoir être mutée en Corse, dont elle est originaire.

    Le Parisien

    via fdesouche

  • Quand dix milliardaires détiennent et contrôlent les médias français

    Publié par Guy Jovelin le 12 septembre 2019

     

    Quand dix milliardaires détiennent et contrôlent les médias français

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    Michel Garroté  --  Cela ne dérange apparemment personne que dix milliardaires détiennent - et donc contrôlent - les médias français, ou tout au moins une très grande partie de ces médias. Et cela ne dérange apparemment personne que la très grande majorité de ces médias racontent tous la même chose ; y compris, sur leurs sites Internet, où l'on trouve, jour après jour, les mêmes salades à propos des mêmes personnalités et des mêmes sujets : les folies de Mister Trump ; la malédiction du Brexit ; le merveilleux look de Madame Macron (et la méchanceté des Brésiliens qui osent faire de l'humour à son égard) ; la mort lente, mais définitive (définitive, bien évidemment) de l'Amazonie, patrimoine universel de la verte humanité (patrimoine détruit au lance-flamme par de méchants Brésiliens, encore eux) ; les exploits de Super-Greta ; le racisme de vilains blancs contre d'innocentes victimes non-blanches ; le populisme qui va finir par plonger la planète entière dans une effroyable guerre (mondiale, bien évidemment).

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    A ce propos, l'essayiste français Arnaud Raffard de Brienne écrit notamment [extraits adaptés ; cf. source en bas de page] : Même si l’on peut légitimement s’interroger sur le bienfondé de telles fortunes aussi rapidement acquises  --  forcément au détriment des salariés de ces groupes industriels et financiers mais aussi de leurs fournisseurs trop chichement rémunérés et de leurs clients auxquels il est sans doute vendu trop cher  --  on ne peut que s’interroger sur l’engouement de ces milliardaires pour les entreprises de presse dont la rentabilité s’avère pourtant de plus en plus problématique.

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    Qu’une dizaine parmi ceux-ci, Bouygues, Xavier Niel, Dassault, Bernard Arnault, Bolloré, feu-Pierre Bergé, Patrick Drahi, François Pinault, Matthieu Pigasse et Lagardère détiennent la quasi-totalité des médias devrait quand même éveiller les soupçons des plus placides de nos contemporains. En effet, selon l’adage connu, "qui tient la presse tient l’opinion", et, dans ces circonstances, comment oser évoquer encore une liberté de presse et d’opinion lorsque l’ensemble des titres appartiennent à une caste microcosmique et pour le moins endogamique ?

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    Bernard Arnault, propriétaire, entre autres, des titres Les Échos, Le Parisien et Aujourd’hui en France, s’était fait la main, avec La Tribune, Investir, l’Expansion. Sa fille, Delphine Arnault, partage la vie de Xavier Niel, l’un des propriétaires du quotidien de gauche Le Monde, accessoirement milliardaire lui aussi et 18ème fortune française. Daniel Kretinsky, quant à lui, est entré au capital du Monde en octobre 2018 à la faveur d'une alliance avec Matthieu Pigasse ; Kretinsky a investi dans plusieurs médias français l'an dernier : les magazines Marianne, Elle, Version Femina, Art & Décoration, Télé 7 Jours, France Dimanche, Ici Paris et Public.

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    Avant de créer Free, Xavier Niel, géant d’Internet, avait bâti sa fortune dans la pornographie, notamment le Minitel rose, et, la création, de peep-shows et de sex-shops. Digne fille de son père, sa moitié, Delphine Arnault, cumule les fonctions les plus valorisantes au sein du groupe, dont celle de membre du conseil d’administration de LVMH. Cerise sur le gâteau, elle appartient aussi au puissant club Le Siècle, créé en 1944 par Georges Bérard-Quélin, membre du Grand Orient de France. Pour mieux appréhender l’idée que se font ces milliardaires de la liberté de la presse, il suffit juste de citer Xavier Niel, co-propriétaire du Monde, qui avait publiquement avoué que « quand les journalistes m’emmerdent, je prends une participation dans leur canard et après ils me foutent la paix ». Un style mais aussi tout un programme.

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    Quant à son beau-père, Bernard Arnault, il avait, fin 2017, retiré toute publicité au Monde dont un article le concernant lui avait déplu, soit un manque à gagner de 600'000 euros pour le quotidien dit « de référence ». On imagine l’ambiance des fêtes de famille qui s’ensuivirent. On imagine surtout les enjeux d’influence et de formatage des esprits des citoyens-consommateurs que permet pareille concentration de la presse dans les mains des magnats de l’économie et de la finance, ajoute Arnaud Raffard de Brienne [fin des extraits adaptés ; cf. source en bas de page].

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    Adaptation de Michel Garroté pour LesObservateurs.ch, 12.9.2019

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    Source : https://www.noussommespartout.fr/bernard-arnault-un-francais-deuxieme-fortune-mondiale/tour-dhorizon/

    -Cet article est initialement paru sur le site Présent, dans la rubrique réservée aux abonnés.

    via lesobservateurs