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  • Huddersfield (Royaume-Uni): Grooming gang, 10 individus jugés pour exploitation sexuelle d’enfants

    Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2019

    Par  le 10/09/2019

    La sélection du jury commence dans le procès de Huddersfield, portant sur l’exploitation sexuelle d’enfants

    Dix personnes doivent être jugées pour avoir maltraité cinq filles

    Le processus de sélection du jury a débuté [lundi] dans le cadre d’un procès concernant l’exploitation sexuelle présumée d’enfants à Huddersfield .

    Dix accusés, neuf hommes et une femme, tous originaires de Huddersfield: doivent être jugés ce mardi à la cour publique de Leeds pour avoir avoir maltraité des jeunes filles.

    Les hommes font face à 25 chefs d’accusation, notamment de viol, de tentative de viol et de traite à des fins d’exploitation sexuelle, tandis que la femme fait face à deux chefs d’accusation d’avoir organisé ou facilité la commission d’une infraction sexuelle sur un enfant.

    Le procès devrait durer sept semaines.

    Le juge Geoffrey Marson, qui préside le procès, a déclaré aujourd’hui à un groupe de jurés potentiels: « Cette affaire concerne des allégations d’infractions sexuelles contre des enfants devenus adultes. » Le processus de sélection des jurés doit se poursuivre demain matin.

    Un homme de 42 ans, qui ne peut pas être nommé pour des raisons juridiques, nie une accusation de viol et deux accusations de traite à des fins d’exploitation sexuelle.

    Iftikar Ali, 38 ans, de Thornton Lodge, nie deux accusations de viol et une accusation de tentative de viol.

    Manzoor Akhtar, 30 ans, de Crosland Moor, nie deux accusations de viol et une accusation de traite à des fins d’exploitation sexuelle.

    Basharat Hussain, 32 ans, de Crosland Moor, nie deux accusations de viol.

    Fehreen Rafiq, 39 ans, de Crosland Moor, nie deux accusations portant sur l’organisation ou/et facilitation de la commission d’une infraction sexuelle sur un enfant.

    Mohammed Sajjad, âgé de 32 ans, de Lockwood, nie quatre accusations de viol, une accusation de viol sur une fille âgée de moins de 13 ans et une accusation portant sur le fait d’avoir organisé ou favorisé la commission d’une infraction sexuelle sur un enfant.

    Banaris Hussain, 36 ans, de Paddock, nie une accusation de viol.

    Umar Zaman, 31 ans, de Crosland Moor, nie deux accusations de viol.

    Mohammed Arif, 32 ans, de Oakes, nie une accusation de viol.

    Samuel Fikru, 31 ans, dont l’adresse ne peut être citée pour des raisons juridiques, nie deux accusations de viol.


    Traduction Fdesouche d’un article du Examiner Live

  • 50 nouveaux mots de novlangue pour décrypter le politiquement correct

    Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2019

    1984 orwellisé : la "novlangue" devient "néoparler" dans une nouvelle traduction déplorable

     

    Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples ♦ Il y a plus de 10 ans, Polémia publiait son premier Dictionnaire de novlangue. En 2013, le Nouveau Dictionnaire de novlangue était présenté à ses lecteurs, avec plus de 500 mots nouveaux. Deux ans plus tard, c’est un nouveau Dictionnaire de novlangue, consacré à Mille mots qui manipulent les Français. Aujourd’hui, Michel Geoffroy, notre lexicographe toujours vigilant, a répertorié 50 nouveaux mots ou nouvelles expressions qui envahissent les médias.
    Polémia


    Alerte (canicule, orage, tempête, pollution? etc…) : communication gouvernementale destinée à semer l’inquiétude dans la population et à justifier toujours plus d’écologie punitive.

    Altercation : euphémisme désignant une attaque à la voiture bélier contre un spectacle de Dieudonné pour BFMTV.

    Association : terme trompeur ne désignant plus un paisible rassemblement de citoyens autour d’un projet commun, comme dans la loi de 1901, mais des groupes de pression organisés et financés par les pouvoirs publics ou la super classe mondiale, pratiquant l’intimidation et le harcèlement judiciaire contre les ennemis du Système et agissant contre la souveraineté des Français et l’identité des Européens.

    Attaque (attaque au couteau) : euphémisme utilisé de préférence à attentat islamiste, dans la mesure où le gouvernement et donc les médias ont décidé de ne retenir dans cette catégorie que les actes revendiqués par une organisation islamiste et en général d’écarter les actes individuels, systématiquement qualifiés d’actes de « déséquilibré tenant des propos incohérents ». Les médias s’efforcent en outre de taire systématiquement l’identité des auteurs de ces « attaques ».

    Attentat : désigne pour le Premier Ministre le fait de tagger la permanence d’un député LREM.

    Bon enfant : expression destinée à minorer les violences commises en France par les supporters maghrébins à la suite de la victoire de l’Algérie à la coupe d’Afrique de football le 19 juillet 2019. Pour les médias il ne s’agissait que de manifestations de joie bon enfant ou de soirées festives.

    Canicule : il peut faire chaud en été ce qui est pour les médias de propagande la preuve indubitable de l’origine anthropique du réchauffement climatique. A noter que ces mêmes médias ne mettent jamais en avant les périodes où la température est plus froide qu’habituellement.

    Circulation différenciée : euphémisme désignant l’interdiction de circulation imposée par les bobos des grandes métropoles aux propriétaires de certaines automobiles issus de la France périphérique, au prétexte de lutter contre la pollution.

    Connu des services de police : délinquant multirécidiviste d’origine allogène et pour cette raison bénéficiant de la bienveillance de la justice. En général ceux qui sont connus des services de police le sont aussi des services de la justice.

    Coup de couteau à la gorge : euphémisme pour ne pas dire égorgement ou tentative d’égorgement.

    Crime raciste : crime dont la victime est uniquement d’origine africaine ou de religion musulmane. Car, par principe, le racisme antiblanc, antichrétien ou antifrançais ne saurait exister pour les juges et les médias.

    Délinquance d’acquisition : expression savante pour ne pas dire vol, cambriolage, vol à la tire ou vol avec violence, selon la direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne (DSPAP).

    Émoi : quand les médias affirment, sur tous les tons, que telle situation ou tel propos susciterait l’émoi, il faut comprendre que cela ne choque que les seuls bobos bien-pensants du microcosme parisien. On utilise aussi émotion dans le même sens.

    Ennemi de Macron : maire élu sans le soutien de LREM, selon le député européen macroniste Gilles Boyer (le 31 mai 2019 sur Europe 1).

    Engagement : terme valorisant pour désigner un militantisme politiquement correct uniquement.

    Enquête (une enquête est ouverte) : expression magique destinée à faire croire que des faits, en général politiquement incorrects, vont faire l’objet d’une action de la justice. Alors qu’une enquête n’est qu’un banal acte de procédure qui ne préjuge en rien de la suite qui lui sera donnée.

    Etat de droit : déni des violences policières selon le président de la république (« Ne parlez pas de répression ou de violences policières, ces mots sont inacceptables dans un Etat de droit » Emmanuel Macron le 7 mars 2019).

    Explosion : euphémisme pour ne pas dire attentat à la bombe, utilisé lors de l’attentat islamiste de Lyon perpétré juste avant les élections européennes de mai 2019.

    Factieux : personne manifestant contre Emmanuel Macron et sa politique, surtout si elle porte un gilet jaune, selon le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner.

    Fake news : information dont la divulgation déplaît au pouvoir ou qui va à l’encontre du politiquement correct.

    Forces de l’ordre : il convient de leur rendre hommage quand on appartient à l’oligarchie puisque la répression policière a permis de bloquer la révolte populaire des Gilets Jaunes et de sauver le quinquennat d’Emmanuel Macron.

    Forfait de post-stationnement : amende de stationnement.

    Galanterie : agression sexiste pour les furies féministes.

    Geste architectural contemporain : expression désignant en général une provocation de l’art moderne déraciné marchand, saccageant un endroit ou un immeuble traditionnel ; Emmanuel Macron promet donc un « geste architectural contemporain » pour la flèche de la cathédrale Notre Dame de Paris.

    Grand Débat : oxymore macronien puisqu’il s’agissait avant tout d’un long monologue présidentiel, devant un public sélectionné et acquis d’avance et ne portant que sur un nombre limité et orienté de questions.

    Haine : mot trompeur désignant le fait d’adopter des positions politiquement incorrectes ou hostiles à la politique suivie par Emmanuel Macron et son gouvernement (Emmanuel Macron a ainsi décrit les Gilets Jaunes comme une « foule haineuse »). Voir aussi « ennemi de Macron ».

    Homme : terme générique employé dans les médias pour ne pas donner plus de précisions, dans les faits divers, sur l’identité de la personne en cause (ex « un homme a été tué par balle à Marseille »).

    Inclusif : qualificatif valorisant la soumission au politiquement correct ; ne pas être inclusif est donc déjà une insulte et sans doute bientôt un délit.

    Jeune homme : litote très souvent utilisée pour désigner un délinquant d’origine immigrée.

    Journalisme circulaire : expression due à Charlotte d’Ornellas et désignant le fait pour un journaliste de tourner autour d’une vérité politiquement incorrecte, sans jamais oser l’aborder au fond ni la désigner.

    Maillot couvrant : oxymore désignant la tenue préconisée pour les femmes par les islamistes dans les piscines et à la plage, au mépris des règlements sanitaires applicables aux piscines.

    Mariage plural : polygamie pour le journal allemand Die Welt. On dit aussi « polyamour » dans le même sens.

    Mineur isolé (officiellement « mineur non accompagné ») : immigrant irrégulier en général majeur et pas isolé du tout puisque leur nombre ne cesse de croître et qui agissent en général en bandes.

    Mobilité(s) : expression trompeuse puisque le but de ces prétendues « mobilités » consiste en réalité à restreindre la liberté de choisir ses modes de déplacement et en particulier l’autonomie justement apportée par l’automobile.

    Partageons (la route ou la rue) : expression trompeuse signifiant que les automobiles individuelles doivent céder la place à tous les autres moyens de transport.

    Plan : catalogue d’annonces gouvernementales a posteriori, censées résoudre une crise que l’on n’a pas su prévoir ni prévenir.

    Poly-exclu : délinquant scolaire multirécidiviste pour le ministère de l’Education Nationale ; la référence au concept d’exclusion, utilisée à double sens, sert à transformer le coupable en victime.

    Preneur d’otage : enseignant gréviste lors des corrections des épreuves du baccalauréat selon Emmanuel Macron (interview du 7 juillet 2019).

    Progression : euphémisme pour ne pas dire augmentation, utilisé par BFMTV à propos de la hausse des tarifs de l’électricité en juin 2019.

    Rassemblement de soutien : expression trompeuse désignant en général un simple attroupement de sympathisants d’extrême-gauche venus défendre une cause ou une personne politiquement correcte, mais très médiatisé pour cette raison.

    Résident : expression utilisée par certaines municipalités pour réserver l’accès à certains services aux seules personnes domiciliées dans la commune.

    Responsable (adopter un comportement): se soumettre aux commandements de l’écologie punitive.

    Réunion racisée non mixte : réunion de personnes de couleur ou d’origine immigrée et interdite aux Français natifs et blancs. Ces réunions ne seraient pas racistes pour la commission nationale consultative des droits de l’homme, mais constitueraient une « nouvelle forme de l’antiracisme » !

    Saveur : terme publicitaire trompeur destiné à faire croire que des additifs chimiques peuvent remplacer des produits naturels (exemple : un yaourt « saveur vanille » correspond en réalité à un yaourt sans vanille naturelle).

    Solidaire : désigne la mise en œuvre d’une cause politiquement correcte uniquement.

    Street pooling : anglicisme désignant le fait de vandaliser des bouches d’incendie dans les banlieues de l’immigration, pour transformer les rues en piscines sauvages quand il fait chaud.

    Terrorisme machiste : violence conjugale selon Mme Schiappa et les furies féministes.

    Ultras : euphémisme pour ne pas désigner des casseurs d’extrême-gauche.

    Urgence climatique : prétexte à la mise en place de nouvelles taxes ou réglementations contraignantes écolo-punitives pour la France d’en bas.

    Usage disproportionné de la force : violences policières contre les Gilets Jaunes selon l’ancien ministre de l’Intérieur Gerard Collomb au micro d’Europe 1, le 30 juin 2019.

    Michel Geoffroy
    06/09/2019

    Source : Correspondance Polémia

  • Jean-Marie Bigard sur Muriel Robin : “Cette c*nnasse qui veut avoir des couilles comme les hommes” (VIDÉO)

    Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2019

    Par Eric Martin

     

    Source : ndf

  • Afrique du Sud : les cocus ayant cru à la fable de la nation arc-en-ciel peuvent sortir des rangs

    Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2019

    Suite aux massacres d’immigrés africains par des sud-africains, Bernard revient sur le mythe entretenu de la nation arc-en-ciel. Une fois débarrassé de l’occupant blanc, ce pays aux richesses souterraines colossales devait être la vitrine de l’Afrique libéré, le joyaux du continent noir… 25 ans après, c’est une catastrophe…

    Trouvé sur le blog de Bernard Lugan : « En Afrique du Sud, pays de Nelson Mandela, des Noirs massacrent d’autres Noirs. Qui plus est, des Noirs immigrés, des frères migrants venus de pays ayant jadis soutenu leur lutte contre le régime blanc…

    Comme en 2016, un peu partout, notamment au Natal et dans la région de Johannesburg, les étrangers noirs, qu’ils soient Malawites, Mozambicains, Somaliens, Zimbabwéens, Soudanais ou Nigérians, sont ainsi de nouveau pris pour cible, lynchés, brûlés vifs, cependant que leurs pauvres biens sont systématiquement pillés par des foules ayant échappé à tout contrôle policier. 

    Voilà de quoi déstabiliser ces cocus idéologiques qui, croyant au mythe-guimauve de la « nation arc-en-ciel », prétendaient que les maux du pays découlant de la domination blanche, une fois la majorité noire au pouvoir, les fontaines de la démocratie laisseraient couler le lait et le miel de la fraternité…

    La réalité est évidemment autre car ces tueries xénophobes illustrent l’échec de la « Nouvelle Afrique du Sud » dont les dirigeants ont dilapidé le colossal héritage reçu de l’ancien régime blanc. Résultat :

    – Le revenu de la tranche la plus démunie de la population noire est inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994 ;

    – 17 millions de Noirs vivent essentiellement des prestations sociales et 14 millions ne survivent que grâce au versement d’une allocation (Social Grant) qui leur assure le minimum vital ;

    – Le taux réel de chômage est de près de 35%, et celui des jeunes âgés de 15 à 34 ans de plus de 50%.

    En 25 années de pouvoir, l’ANC – le parti de Nelson Mandela -, a donc transformé la prospère Afrique du Sud en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences, réalité en partie masquée par les derniers secteurs ultraperformants  encore tenus par des Blancs. Un naufrage économique qui tient en trois points :

    1) La production minière nécessite une énorme modernisation et donc de gros investissements ; or, la main d’œuvre noire revendiquant des salaires plombant la compétitivité,  les investisseurs ont délocalisé.

    2) Les cadres blancs continuent à quitter le pays, chassés par la discrimination inversée, l’incroyable insécurité et le surfiscalisme.

    3) Le secteur agricole, le seul à être excédentaire a été littéralement assassiné par la décision de spoliation des fermiers blancs.

    Dans ce pays où un abîme s’est creusé entre une infime minorité de profiteurs noirs et des millions de chômeurs, d’assistés et de travailleurs sous-payés qui paralysent le pays avec de continuels mouvements de revendication, l’abyssal échec économique et social de l’ANC a donc débouché sur des violences xénophobes, les étrangers étant accusés de prendre le travail des plus pauvres.

    Au pied du mur, acculé par le bilan de ses détournements et de son incompétence, l’Etat-parti ANC n’a désormais plus que trois options :

    1) Chercher à redresser l’économie en empruntant une voie libérale, mais il provoquera alors une révolution.

    2) Accuser le bouc-émissaire blanc en tentant de faire croire que la situation est un héritage de l’apartheid et en nationalisant les mines et la terre. La « poule aux œufs d’or » sera alors définitivement  tuée, comme au Zimbabwe, et le pays sombrera encore davantage  dans la misère.

    3) Recourir à la « planche à billets », ce qui, comme au Zimbabwe, provoquera d’abord l’inflation, puis une hyperinflation et la ruine totale du pays. »

     

    Source : contre-info

  • Une trahison de plus : la France perd 24 hectares de son territoire au profit d’Andorre

    Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2019

    La République brade littéralement, et sans vergogne, le territoire de la nation qu’elle parasite…

    « La frontière entre la France et l’Andorre n’a été officiellement fixée qu’en 2017 et, dans ces négociations, Andorre a donc obtenu un petit rab de territoire, qui lui permettra notamment de sécuriser son alimentation en eau.
    Le bornage de cette nouvelle frontière s’est effectué en juillet dernier. Le maire de Porta, Marius Hugon, qui dit n’avoir jamais été consulté ne l’a appris que par la presse. Pire pour lui, la source de la rivière Ariège est désormais en Andorre. » (source)

    Voir aussi le scandale des Îles éparses.