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  • Genderofolie : médecin licencié pour avoir écrit « il » et non « elle » sur le certificat d’un transsexuel

     

    Nouvelle chronique de la genderofolie qui souffle sur le monde entier.

    En Grande-Bretagne, précisément dans la ville de Birmingham, après 26 ans de bons et loyaux services, un médecin a été licencié de l’hôpital pour une raison paradoxale : avoir écrit « il » et non « elle » sur le rapport médical d’un transsexuel.

    Le médecin a été renvoyé de l’hôpital et licencié sur le champ, après une discussion avec le transsexuel en question et un de ses supérieurs. Il a été accusé de discrimination envers celui qui se perçoit femme alors qu’il est homme !

    Le fait est arrivé l’an dernier mais la nouvelle, comme le rapporte la BBC, est en train d’être connue du grand public parce que seulement maintenant le docteur Mackeret a décidé d’intenter un procès au gouvernement britannique pour licenciement injuste.

    Le médecin, qui n’a jamais caché sa foi chrétienne, a déclaré à la télévision britannique avoir été pénalisé pour avoir, en vertu de sa foi mais aussi de sa conscience scientifique, reporté sur le certificat tout simplement la réalité :

    « Devant évaluer quelqu’un qui est un homme biologiquement mais qui demande à être une femme, je ne me sens pas en conscience […] d’user le terme ‘elle’ ou ‘mademoiselle’ ou ‘madame’ dans le rapport. »

    Mackeret a ajouté :

    « En conscience je crois que le genre est déterminé par la biologie et la génétique, et je ne vois pas de motif d’avoir honte de cela. Ni d’être licencié. »

    D’autant plus, que de la part d’un médecin il est normal d’attester d’une réalité biologique de facto, qu’il voit de ses propres yeux !

    La genderofolie n’a pas de limites, elle broie toux ceux qui s’y opposent…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Les autres avant les nôtres : 100 millions d’€ supplémentaires sur 3 ans pour les enfants de 80 enclaves allogènes

    Publié par Guy Jovelin le 08 septembre 2019

    L’argent coule à flot lorsqu’il s’agit des rejetons de l’immigration… Pour les Français, c’est 400 fermetures d’école rien que pour la rentrée 2019 (voir ici).

    Trouvé sur Le Monde : « Tarterêts, Minguettes, Grand Mirail… Le gouvernement a dévoilé jeudi 5 septembre à Clichy-sous-Bois la liste des 80 quartiers défavorisés labellisés « cités éducatives », un dispositif issu du rapport Borloo et visant à améliorer la réussite à l’école en intensifiant notamment la prise en charge extrascolaire.

    Ces territoires vont se partager une enveloppe de 34 millions d’euros de crédits par an et sur trois ans, pour financer des actions scolaires et périscolaires, ont confirmé les ministres de l’éducation Jean-Michel Blanquer et de la cohésion des territoires Julien Denormandie lors d’une conférence de presse dans la commune de Seine-Saint-Denis tout entière labellisée « cité éducative ». »

     

    Source : contre-info

  • Algérie : la situation économique s’aggrave…

    Publié par Guy Jovelin le 08 septembre 2019

    Dans l’éditorial de sa revue l’Afrique Réelle n°117, Bernard Lugan dresse un rapide bilan de l’économie algérienne. la mèche de cette bombe démographique musulmane, à quelques encablures de nos côtes, se consume doucement. A moins de maintenir le pays sous perfusion à nos frais, des millions d’arabes supplémentaires taperont bientôt à nos portes…

    Trouvé sur le blog de Bernard Lugan : « Avec certains des principaux patrons emprisonnés, des banquiers qui n’accordent plus de crédits et des transferts de fonds problématiques, l’économie algérienne est en détresse.

    Les ¾ des entreprises sont ainsi incapables de verser les acomptes prévisionnels au titre de l’impôt sur les bénéfices pour l’année en cours. Quant aux faillites, elles ont eu pour résultat la mise au chômage de 200 000 travailleurs depuis le 1er janvier 2019… Dans un pays où le taux réel de chômage atteint déjà des records.
     
    Seule source de revenus de l’Etat, le secteur des hydrocarbures décline année après année. Au 1er trimestre 2019, il a ainsi reculé de 7,7% en raison de la baisse de production due à l’épuisement des nappes pétrolières. Nous avons également là, la confirmation de ce que l’Afrique Réelle écrit depuis plusieurs années, à savoir que les réserves de l’Algérie ont été volontairement surestimées.
     
    Résultat, les réserves de change n’étaient plus que de 72,6 milliards de dollars fin avril 2019, soit une baisse de 7,2% par rapport à décembre 2018 (source : Ministère des finances juillet 2019). Cette baisse est d’autant plus dramatique que le pays doit acheter à l’étranger les ¾ des matières premières et des équipements indispensables à ses entreprises, tant publiques que privées. Il doit également importer de quoi habiller, soigner et équiper ses 43 millions d’habitants.
    Avec une priorité qui est de les nourrir. Or, comme l’agriculture algérienne et ses dérivés ne permettant de satisfaire qu’entre 40 et 50% des besoins alimentaires du pays, il est donc nécessaire de faire de colossales importations.
    C’est ainsi que près de la moitié (40%) de la facture de tous les achats faits à l’étranger – soit le quart (!!!) des recettes tirées des hydrocarbures -, est consacrée à l’importation de produits alimentaires de base dont l’Algérie était exportatrice avant l’indépendance de 1962… N’en déplaise à l’ONM (Organisation nationale des Moudjahidine) qui, pour tenter de faire oublier sa colossale responsabilité dans la faillite de l’Algérie, ose demander le vote d’une loi criminalisant la colonisation française… (Voir mes communiqués des 18, 21 et 29 juillet 2019).
     
    Vomis par la rue, les vampires du « Système » gavés de leurs détournements peuvent-ils encore refuser de reconnaître que si l’Algérie est désormais le premier importateur africain de biens alimentaires pour un total annuel moyen de 12 milliards de dollars (Centre national de l’informatique et des statistiques-douanes-CNIS), cela est la conséquence à la fois de leur incompétence et de leurs détournements ?
     
    Les millions de manifestants qui, vendredi après vendredi, battent la chaussée, en sont, eux, parfaitement conscients et ils attendent de pouvoir leur faire rendre gorge.
    Or, c’est précisément parce qu’il sait qu’il est face à une véritable révolution et que la survie de ses membres est en jeu, que le « Système » fait la « sourde oreille ».

    Source : contre-info

  • Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 07/09/19

    Publié par Guy Jovelin le 08 septembre 2019

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    Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 07/09/19

    Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 07/09/19
    Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 07/09/19
    Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 07/09/19
    Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 07/09/19
    Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 07/09/19
    Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 07/09/19
    Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 07/09/19
    Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 07/09/19
    Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 07/09/19
    Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 07/09/19
    Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 07/09/19
    Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 07/09/19
    Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 07/09/19
    Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 07/09/19
    Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 07/09/19
    Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 07/09/19
    Compte-rendu du Bureau politique du Parti de la France du 07/09/19
     
     

    Ouvrant la séance, Carl Lang, président du parti, a dressé un large panorama de la situation politique française : une Macronie dont les assises n'ont été que peu entamées par la crise des Gilets jaunes et qui entend bien profiter des faiblesses de la droite, du centre et de la gauche pour puiser de nouvelles ressources électorales lors des Municipales et des Régionales. Un Rassemblement National devenu cartel électoraliste, allant de reniements en reniements mais bien décidé à jouer le jeu complice voulu par Macron : installer la bande des deux (LAREM + RN) dans la perspective de la Présidentielle de 2022.

    Dans ces conditions, la vraie droite nationale doit s’organiser et se dynamiser pour être le moment venu un recours.

    Le Parti de la France entend bien être dans les années à venir un pôle de rassemblement tant sur le plan militant que sur celui de la compétition électorale. Un rassemblement auquel la jeunesse militante de France, nationale et identitaire, est conviée dans une vision politique de l'action publique.

    Pour les élections Municipales de l’année prochaine, le PdF présentera des listes dans plusieurs villes et en soutiendra des dizaines d'autres. Nous communiquerons dans les mois à venir sur les villes concernées.

    Une grande partie de cette réunion studieuse fut consacrée à la préparation du Congrès du parti qui se déroulera mi novembre à Paris. Ce sera un congrès de renouvellement et de redémarrage.

    Le Parti de la France participera, par ailleurs, à la grande manifestation parisienne du 6 octobre contre la PMA sans père et la GPA.

  • France. Prise en charge des « mineurs non accompagnés » : 41.000 jeunes, 95% d’hommes, 2 milliards d’euros par an

    Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2019

     

    La prise en charge des mineurs isolés étrangers en chiffres

    La prise en charge des « mineurs non accompagnés » (MNA) –à 95% de jeunes hommes étrangers qui se trouvent en France sans adulte responsable– concerne 41.000 jeunes et coûte 2 milliards d’euros par an, selon les départements qui en assument la charge.

    Voici les principaux chiffres liés aux mineurs isolés étrangers, ancienne dénomination des MNA:

    – 41.000

    Plus de 41.000 mineurs non accompagnés sont pris en charge au titre de l’aide sociale à l’enfance (ASE), indique l’Assemblée des départements de France (ADF).

    La prise en charge « a considérablement augmenté depuis 2015 », notamment avec une « forte accélération » de 74% entre 2016 et 2017, dans « des proportions très hétérogènes » selon les départements.

    Il s’agit à 95%, de garçons, principalement originaires d’Afrique subsaharienne.

    Ils représentent entre 15 à 20% de l’ensemble des mineurs qui bénéficient de l’aide sociale à l’enfance.

    – 2 milliards

    […]

    Fin 2018, la prise en charge représentait un coût de 2 milliards d’euros à la charge des départements, selon cette source.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Bourse Direct

    Via Fdesouche