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Le mouvement animalier Almas Veganas est un collectif antispéciste, transféministe et libertaire qui se bat pour la libération des animaux et des terres. Des véganes pures et dures qui s’inquiètent de la condition des poules dans les poulaillers et ont décidé de séparer les gallinacées victimes d’abus sexuels, selon elles. Un sujet qui a fait polémique en Espagne.
Ce collectif Almas Veganas contre l’exploitation animale et installé à Gérone a fait le buzz après la diffusion d’une vidéo dans laquelle les responsables clament haut et fort « séparer les coqs et les poules pour ne pas qu’elles soient violées ».
Cette vidéo publiée sur le compte Twitter de l’association et sur YouTube a été en effet beaucoup commenté en Espagne où les véganes à l’origine de cette sortie ont fait l’objet de nombreuses critiques et railleries. Des réactions qui ont poussé le collectif à enfoncer le clou et à dénoncer davantage encore la situation des poules dans les poulaillers.
Je n’en peux plus de me lever chaque matin et de découvrir, horrifié, en faisant une revue de presse matinale, que certains de mes compatriotes se font violer, tabasser, tuer, égorger, pour un regard, pour une envie, pour une religion, par folie, par des individus qui, techniquement, pourraient ne pas être présents sur notre territoire (ou bien enfermés à double tour).
Ils s’appelaient Timothy, Mauranne, Laura, Florent… Je pourrais écrire des centaines de prénoms de ces jeunes Français, de Marseille, de Nantes, de Paris, d’Occitanie, qui meurent, qui se font violer ou agresser parce que l’État se montre défaillant, lui dont la fonction principale est normalement d’assurer leur protection et leur sécurité.
Qu’il y a aussi « des Français bien blancs qui tuent et qui violent » comme l’a encore déclaré ce week-end une membre du Modem (et là on a envie de répondre : « oui connasse, mais si en plus de nos assassins, on doit se coltiner ceux d’ailleurs, qui proportionnellement sont plus criminogènes et qui ont visiblement tout de même la culture du couteau un peu plus prononcée que chez nous, on fait comment ? »). Qu’il faut confier la gestion de l’immigration à des associations pilotées par des idéologues boomers, lunettes, air grave, cheveux gris et idées bien rouges, petits fonctionnaires à la retraite fascinés par l’Afrique du temps où Papa se comportait comme un colon là-bas.
La presse mainstream stigmatise sans arrêt « la désinformation », part en guerre contre « les fake news ». Mais si vous faisiez lire chaque matin une revue de presse comme celle du site Fdesouche à l’intégralité de la population française — qui verrait ce qui se passe quotidiennement partout en France — les responsables politiques seraient immédiatement déchus par la population, au minimum. Si aujourd’hui encore, le peuple ne se révolte toujours pas, c’est que chaque soir, sur les chaines du service public, on le désinforme et on lui parle si peu de Laura, Mauranne, Timothy, et de toutes ces victimes du laxisme d’État et d’une société de plus en plus violente et barbare. Ou quand on lui en parle, c’est toujours la même rengaine [« Pas d’amalgames ». « Ce sont des immigrés qui sont venus en aide aux victimes ». « Les populistes font de la récupération et jouent avec les peurs »].
Ces discours sont toutefois de moins en moins audibles. Le seul moyen utilisé par la population pour cracher au visage de tous ces petits fonctionnaires et magistrats zélés, de tous ces élus qui en croquent et qui font semblant de ne pas voir, de tous ces politiciens véreux qui ont fabriqué cette société ultra violente dans laquelle nous évoluons, c’est pour le moment le bulletin de vote, ou l’abstention. Pour le moment.
Car il ne faut pas être devin pour savoir qu’un jour viendra où des magistrats, des fonctionnaires, des élus, devront rendre des comptes, d’autres comptes, devant des tribunaux réellement populaires ceux-là, organisés par une population en colère et en souffrance. On sait ce que cela a donné il y a plusieurs décennies. On sait ce qui arrive quand on pousse un peuple à bout et que ce dernier commence à devenir plus barbare que les barbares qui l’ont asservi. Si on y rajoute la tribalisation, la communautarisation de notre pays, de notre continent, cela risque de ne pas être joli joli le jour où cela vacillera [la question n’est en effet pas de savoir si cela vacillera, mais quand…]
Les responsables de tout ce merdier ne sont pas les populistes. Ce n’est pas Salvini qui égorge un jeune homme en pleine rue parce qu’il a entendu des voix et qu’il n’aime pas les Blancs. Ce n’est pas l’électeur du Rassemblement national qui défouraille à la Kalachnikov dans une salle de concert pleine à craquer. Ce n’est pas Orbán qui balance à la flotte des migrants parce qu’ils sont catholiques et pas musulmans. Ce n’est pas le militant de Génération identitaire qui fouette, trie, esclavagise, des Africains de 15 ans en Libye parce que BHL et Sarkozy ont destitué le seul homme qui parvenait à gérer ce pays d’une main de fer. Ce ne sont pas les ouvriers, les artisans, les cadres français, qui sont responsables des guerres, des famines, du fait que les femmes africaines ne soient pas capables de se limiter à un ou deux enfants, ou que les réseaux d’eau et d’électricité soient minables sur ce continent.
Non. Les responsables de cette situation – qui amène à des tragédies diverses et variées – sont bel et bien ceux qui agissent au quotidien à la destruction d’une société, la nôtre, celle des Européens, que nos ancêtres ont façonnée durant des siècles et des siècles pour permettre à une majorité de nos peuples de tenter de vivre sereinement, en harmonie et en sécurité. Ceux qui libèrent des criminels. Ceux qui les autorisent à venir s’installer sur notre territoire et à agir contre notre population. Ceux qui s’indignent que l’on prétende fermer à clé la porte de notre maison commune. Ceux qui désarment les civils abandonnés à leur sort. Ceux qui font tout pour détruire la famille, socle de notre vie en société. Ceux qui, enfin, incitent à la haine de ce que nous sommes depuis des siècles et des siècles…
Ils s’appelaient Timothy, Mauranne, Laura, Florent… Morts abandonnés par les nouveaux gérants du vieux pays de leurs pères. Aujourd’hui, nos larmes sont remplies de rage et de colère.
Tweet hallucinant de Julien Odoul, Président du groupe Rassemblement National au Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, Membre du Bureau National, suite à l’audition des responsables religieux à l’Assemblée nationale. Pourquoi ne devraient-ils pas être entendus ? Julien Odoul a-t-il également désapprouvé l’audition des organisations maçonniques ?
Loi bioéthique : les représentants religieux entendus à l'Assemblée nationale
La loi bioéthique sera examinée à partir du 23 septembre par les députés. En attendant, la commission spéciale de l'Assemblée poursuit ses consultations.
[…] Concrètement, comment se fait le recrutement ?
Il y a deux voies possibles. La première consiste à écrire à une obédience nationale en exprimant la volonté d’entrer. C’est possible pour un certain nombre d’obédiences. Il y a une phase d’enquête, puis on vous rencontre. La procédure aboutit ou non, en fonction de votre profil. L’autre voie, la plus fréquente, c’est par une relation collègue de travail, de sport, ami qui est dans la franc-maçonnerie et ne vous le dit pas. Des liens se créent. Un jour, cette personne vous fait part de son appartenance et vous fait la proposition, après vous avoir étudié, vous jugeant « compatible » avec la démarche.
Cela s’est-il passé ainsi pour vous ?
Oui. Je ne soupçonnais pas que cette personne était franc-maçonne. Elle a utilisé un jour l’approche classique consistant à dire : vous y seriez bien, cela vous enrichira, vous y apporterez quelque chose. Quand on vous dit que vous pourriez apporter quelque chose à un ordre qu’on vous présente comme étant à l’origine d’une recherche de bonheur de l’humanité, cela flatte l’orgueil. Vous allez devenir quelqu’un qui va œuvrer dans l’ombre à l’amélioration matérielle et morale de l’humanité. Comment voulez-vous refuser ?
Dans les arguments employés, quels sont ceux qui vous ont convaincu ?
La vérité, c’est qu’il n’y a pas vraiment d’arguments. Il s’agit plutôt de ressorts. Le principal d’entre eux est la curiosité. On vous laisse entendre que vous allez comprendre des choses secrètes, que les profanes ignorent. Dans mon livre (voir encadré), je cite une phrase du rituel : « Nous ne nous cachons que pour susciter par l’attrait du mystère le désir de pénétrer parmi nous. » C’est un des éléments qui explique la pratique du secret.
Y a-t-il des « profils » considérés comme « favorables » au recrutement par les franc s-maçons ?
L’absence de convictions est un terrain favorable. Une recrue intéressante peut être le « maçon sans tablier », acquis à la doctrine maçonnique sans avoir été initié et sans même le savoir, qui trouve les valeurs maçonniques éminemment intéressantes, ou encore quelqu’un qui a un attrait pour l’ésotérisme, voyant les signes d’une puissance cosmique partout, imprégné d’une forme de panthéisme. Accessoirement, la franc-maçonnerie recrute essentiellement c’est un peu moins vrai pour le Grand-Orient dans les catégories socio-professionnelles aisées.
Quelle place ont la mondanité, le réseautage et le carriérisme dans l’attrait exercé par la franc-maçonnerie ?
On peut dire que 10 à 20 % des francs-maçons le sont devenus pour des raisons de réussite ou d’arrivisme. La Grande Loge nationale française a la réputation d’être porteuse pour les affaires, le Grand-Orient de France est plus politique. Alors que j’étais fonctionnaire dans la territoriale, j’ai pu rencontrer un préfet ; puis un architecte des Bâtiments de France lorsque j’étais directeur de l’urbanisme… Tout cela met de l’huile dans les rouages ! 30 à 40 % sont des révolutionnaires acharnés. Les autres 30 ou 40 % sont constitués de personnes attirées par une recherche spirituelle. J’ai rencontré beaucoup de gens qui cherchent sincèrement, mais qui cherchent dans le vide. […]
Avez-vous rencontré beaucoup de catholiques chez les francs-maçons ?
Dans l’obédience à laquelle j’ai appartenu, je n’en ai pas rencontré beaucoup. Tout dépend bien sûr de ce qu’on appelle « catholiques ». Au sens de « baptisés », il y en a. Si cela implique une pratique, une expérience profonde de Dieu, je n’en ai pratiquement jamais rencontré. J’en ai vu dans certaines obédiences comme la Grande Loge nationale française, lorsque j’y étais invité. Mais ce que j’ai observé, c’est que ces gens-là s’éloignent de l’Église. La franc-maçonnerie conduit inévitablement à l’apostasie même quand on a une expérience ou une pratique fervente.
En quoi la franc-maçonnerie est-elle un danger ?
Pour le dire de manière synthétique, la franc-maçonnerie est une œuvre ésotérique qui vise à l’anéantissement de la foi et de la morale chrétienne. L’essence de la franc-maçonnerie est le gnosticisme et l’ésotérisme. Elle propose le bonheur de l’humanité tout de suite et pour tous, et le salut pour quelques initiés. Le Christ, Lui, nous indique que la vraie vie est celle de l’Éternité, que nous devons tendre intensément au Salut, que nous recevons par sa grâce. Dieu est venu parler au plus petit d’entre nous, pas à une caste d’initiés.