Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 22

  • « Pierre Ménès dérape en parlant du racisme anti-blanc dans le football français » selon ‘La Dépêche’

    Publié par Guy Jovelin le 08 septembre 2019

    Par  le 08/09/2019

    Malaise sur le plateau de Cnews ce samedi. Pierre Ménès est interrogé par les journalistes au sujet des propos de Lilian Thuram qui a dit qu’il fallait prendre conscience du racisme  » plus généralement dans la culture blanche ». Le chroniqueur sportif y est allé aussi de son commentaire.  » Le problème en France dans le foot c’est le racisme anti-blanc. J’invite les gens à prendre leurs voitures et aller faire le tour des matches en banlieue parisienne le week-end et à compter les blancs sur le terrain, à la limite il n’y a que le gardien et l’arrière-droit ».

    Il poursuit :  » J’ai essayé de mettre mon fils au foot au bout de deux fois il m’a dit : Papa j’y vais plus, on ne me parle pas, on ne me dit pas bonjour, on ne me passe pas la balle et on ne veut pas prendre sa douche avec moi ».

    Depuis les propos de Lilian Thuram, les débats s’enchaînent au sujet du racisme anti-blanc. La ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme, la Licra a dénoncé une  » dérive du combat antiraciste dans lequel Lilian Thuram s’est toujours investi ».

    Ce n’est pourtant pas la première fois que Pierre Ménès agite la toile en évoquant la discrimination dans le foot. En 2010, lors de la Coupe du monde, il avait dit que le vestiaire était particulièrement marqué par  » le racisme anti-blanc ».

    La Dépêche via fdesouche

  • Le football français vient en aide aux migrants

    Publié par Guy Jovelin le 08 septembre 2019

    Par  le 08/09/2019
    […] Alors que la problématique d’accueil des migrants a pris une nouvelle dimension en Europe depuis la crise migratoire de 2015, un certain nombre de clubs de football se porte volontaire pour accueillir et intégrer les réfugiés à leur équipe. Ces actions sont portées par un fond de dotation «FondaCtion pour le football», soutenu par les grandes instances du football français (Fédération française de football, Ligue de football professionnel, Première Ligue etc.). Ainsi plus de 580.000 euros ont déjà été reversés au club participant.

    Porté par l’UEFA, le dernier projet de «FondaCtion pour le football» nommé «football et réfugiés» vise à favoriser l’intégration des demandeurs d’asile et des réfugiés via le football, en intégrant simplement un club partenaire afin de participer à des entraînements, des matches ou encore y occuper un poste de bénévoles.

    Le projet prône les «bonnes valeurs du football», accessible à tous, peu importe la nationalité, la position sociale ou encore la religion. Conscient que le football a parfois une mauvaise image, le Président de la fondation, Patrick Braouezec, donne sa version : «source de plaisir et de partage pour ses millions de pratiquants, le football est aussi malheureusement tributaire et révélateur de certaines dérives de notre société. C’est pourquoi la fondaction s’applique à promouvoir et à restaurer une vision citoyenne du sport français le plus populaire. A travers les actions mises en œuvre, elle s’évertue à exploiter les qualités éducatives de ce sport pour nourrir les projets d’utilité publique et encourager la recherche sur l’innovation sociale dans le football». […]

    Sport24 via fdesouche

  • Lille (59) : des terroristes islamistes sortant de prison placés en plein cœur de la ville, « pour favoriser leur ré-affiliation sociale »

    Publié par Guy Jovelin le 08 septembre 2019

    Un quatrième centre du programme Pairs, qui suit les détenus condamnés pour des faits de terrorisme, va ouvrir le 7 octobre dans le centre-ville de Lille près de la Grand-Place.

    Un programme d’accueil individualisé et de ré-affiliation sociale (Pairs) doit ouvrir le 7 octobre en toute discrétion. […] Il s’agit d’un dispositif de suivi en milieu ouvert. […]

    Le Journal Du Dimanche via fdesouche

  • «Celui qui ne tabasse pas sa femme n’est pas un homme», déclare à la télé le chanteur marocain Adil El Miloudi

    Publié par Guy Jovelin le 08 septembre 2019

    Maroc – Durant l’émission télévisée Kotbi Night de la chaîne Chada TV, le chanteur marocain Adil El Miloudi a fait l’apologie des violences conjugales.

    «Celui qui ne tabasse pas sa femme n’est pas un homme», déclare tranquillement Adil El Miloudi. Le chanteur revient, fièrement, sur son arrestation en Espagne pour des faits de violences conjugales sur son épouse. «Elle a dit aux flics que je ne lui ai rien fait, ils m’ont relâché 24 heures après», dit-il, suscitant les rires du public sur le plateau.

    La séquence avait été initialement diffusée le 29 juin, sans susciter de controverse, mais elle vient de refaire surface sur les réseaux sociaux, relayée par le Huffington Post Maghreb.

    Moment hallucinant, quand le chanteur ajoute :

    «Au Maroc, cela est normal, chacun peut faire ce qu’il veut de sa femme, la frapper, la tuer»

     

    Source : medias-presse.info

  • Au Congo, on aime Tintin et on en vit

    Publié par Guy Jovelin le 08 septembre 2019

     

    L’album Tintin au Congo suscite régulièrement quelque grotesque controverse en Europe, parfois à la demande d’un immigré africain qui croit avoir flairé une bonne occasion de sortir de l’ombre, plus généralement sous la pression de cercles ethno-masochistes qui réclament la repentance permanente de l’homme blanc à l’égard de tous les maux de la planète.

    Mais celui qui a l’occasion de voyager en Afrique noire en général, et au Congo en particulier, pourra rapidement vérifier que le héros de Hergé y est très aimé. Les Africains vivant en Afrique, dans leur très grande majorité, conservent assez de bon sens pour ne voir aucun racisme dans Tintin au Congo. Bien au contraire, au Congo, mais aussi dans beaucoup d’autres pays africains, nombreux sont les artisans qui vivent uniquement de la réalisation de statuettes et de peintures à l’effigie de Tintin et des autres personnages d’Hergé.

    Et tant pis pour le politiquement correct qui sévit dans les capitales européennes.