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  • Genderofolie : médecin licencié pour avoir écrit « il » et non « elle » sur le certificat d’un transsexuel

     

    Nouvelle chronique de la genderofolie qui souffle sur le monde entier.

    En Grande-Bretagne, précisément dans la ville de Birmingham, après 26 ans de bons et loyaux services, un médecin a été licencié de l’hôpital pour une raison paradoxale : avoir écrit « il » et non « elle » sur le rapport médical d’un transsexuel.

    Le médecin a été renvoyé de l’hôpital et licencié sur le champ, après une discussion avec le transsexuel en question et un de ses supérieurs. Il a été accusé de discrimination envers celui qui se perçoit femme alors qu’il est homme !

    Le fait est arrivé l’an dernier mais la nouvelle, comme le rapporte la BBC, est en train d’être connue du grand public parce que seulement maintenant le docteur Mackeret a décidé d’intenter un procès au gouvernement britannique pour licenciement injuste.

    Le médecin, qui n’a jamais caché sa foi chrétienne, a déclaré à la télévision britannique avoir été pénalisé pour avoir, en vertu de sa foi mais aussi de sa conscience scientifique, reporté sur le certificat tout simplement la réalité :

    « Devant évaluer quelqu’un qui est un homme biologiquement mais qui demande à être une femme, je ne me sens pas en conscience […] d’user le terme ‘elle’ ou ‘mademoiselle’ ou ‘madame’ dans le rapport. »

    Mackeret a ajouté :

    « En conscience je crois que le genre est déterminé par la biologie et la génétique, et je ne vois pas de motif d’avoir honte de cela. Ni d’être licencié. »

    D’autant plus, que de la part d’un médecin il est normal d’attester d’une réalité biologique de facto, qu’il voit de ses propres yeux !

    La genderofolie n’a pas de limites, elle broie toux ceux qui s’y opposent…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Clermont-Ferrand (63) : Licencié parce qu’il refusait de serrer la main de collègues femmes, le chauffeur de bus gagne devant les prud’hommes et touche 27000 euros

    Publié par Guy Jovelin le 29 mars 2019

    Par  le 28/03/2019

     

    En 2016, un conducteur de la T2C était congédié pour « actes répétés de discrimination » envers des collègues féminines. Un licenciement « sans cause réelle et sérieuse », a tranché le conseil de prud’hommes, qui a condamné l’entreprise à payer une indemnité de 27.000 euros.

    « Pour moi, c’est une victoire morale. Ils ont voulu me faire passer pour la bête horrible, mais la vérité est enfin rétablie. La vraie discrimination, c’est moi qui l’ai subie… »

    Au bout du fil, ce mercredi, Brahim M. confie d’abord son soulagement. « Cette histoire a quand même pourri ma vie professionnelle, ajoute-t-il aussitôt. Je galère toujours pour retrouver un boulot stable. »

    (…) Musulman et pratiquant assumé, Brahim M. a toujours assuré que son attitude n’avait aucun lien avec ses croyances religieuses. « C’est plus un blocage lié à ma culture, à mon éducation. Même ado, j’étais comme ça, le contact physique avec les femmes me mettait mal à l’aise. Ça ne m’empêche pas de leur dire bonjour, de leur parler, d’être avenant », nous confiait-il, toujours en 2016.

    La juridiction a tranché ce 15 janvier (*). Le jugement, que nous avons pu consulter, stipule que la T2C n’a pas démontré l’existence « de griefs suffisants justifiant la rupture du contrat de travail ». Les conseillers estiment même que « l’acte discriminant reproché n’est pas établi ».

    « De nombreux témoignages de collègues de Brahim M. contredisent la thèse patronale, écrivent-ils. Les attestations, rédigées indifféremment par des hommes ou des femmes, relèvent le profond respect de ce salarié pour autrui. »

    Conclusion : le licenciement est abusif. La T2C devra en conséquence verser une indemnité de 27.000 € à son ex-employé.