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  • Ecologie : «Le nouveau projet collectif des Occidentaux : disparaître sans laisser de trace»

    Publié par Guy Jovelin le 30 décembre 2019

    Par  le 30/12/2019

    Sous couvert de vouloir diminuer notre empreinte carbone, l’idée même de laisser une trace de sa vie se trouve dévaluée dans les pays occidentaux, s’inquiète l’essayiste Olivier Babeau, président du think-tank l’Institut Sapiens.

    Le nouveau mobilier urbain de la ville de Paris tranche résolument avec les colonnes Morris et les élégants lampadaires d’antan. Les bancs sont constitués d’un tronc d’arbre à peu près brut étendu sur l’asphalte comme le reliquat surréaliste d’une coupe forestière en pleine ville. Un choix qui n’est pas seulement esthétique, mais aussi philosophique.

    L’idée est bien sûr de voir le banc se dégrader rapidement, ce qui permettra au bout d’une ou deux années de le transformer en compost ou de l’employer à un quelconque usage écologiquement vertueux. Quel est le message en filigrane derrière le choix de ces laids bouts de bois? Il s’agit de s’inscrire en opposition frontale à tous les artefacts créés par l’homme. Les éléments naturels sont choisis pour minimiser la trace que nous laissons. La préoccupation environnementale prend aujourd’hui la forme du souci constant de minimiser son «empreinte». Au-delà du carbone, ce sont plus généralement toutes les traces […]

    Le Figaro via fdesouche

  • Pays ayant les plus hauts taux de viols en 2019

    Publié par Guy Jovelin le 30 décembre 2019

    contre-info

    Et n’oubliez pas : les hommes blancs sont des ordures.

    PS : à propos de la Suède :
    ► Suède : 92% des viols sont le fait d’extra-Européens.

    Source

  • 30 décembre 2006 : Saddam Hussein est pendu haut et court

    Publié par Guy Jovelin le 30 décembre 2019

    L’image contient peut-être : 1 personne, gros plan

    30 décembre 2006. Trois jours après que sa condamnation à mort prononcée par un tribunal fantoche supervisé par Washington ait été confirmée, Saddam Hussein est pendu haut et court.

    L'oeuvre de déstabilisation de l'Irak et du Proche Orient entreprise seize ans plus tôt à l'instigation des néoconservateurs s'achevait. Et c'est l'Occident tout entier qui continue d'en subir les conséquences.

    Les États Unis, ce n'est pas seulement Donald Trump. C'est aussi — et c'est surtout — celà.
    JFT

     

    Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France

     
     
     
     
     
  • Le 31 décembre 2019 à 20h éteignez votre télé

    Publié par Guy Jovelin le 29 décembre 2019

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  • La tragédie sans fin des chrétiens d’Orient

    Publié par Guyb Jovelin le 29 décembre 2019

    De l’Irak à la Syrie en passant par la Terre sainte, de plus en plus de membres de la communauté chrétienne émigrent, sous l’effet de l’instabilité et de l’islamisme radical.

    Du pont futuriste qui enjambe le Shatt el-Arab à la confluence du Tigre et de l’Euphrate, quelques clochers hérissent encore le ciel de Bassora. Mais dans le grand port du Sud irakien, comme plus au nord à Bagdad et à Mossoul, ou encore à Damas, Jérusalem et au Caire, la présence chrétienne au Moyen-Orient ne cesse de s’étioler.

    «Nous ne sommes plus que 2000, regrette l’archevêque de Bassora, Habib Jajou. Nous étions 20.000 il y a quinze ans, nous avons pourtant quatorze siècles de présence», ajoute le responsable de l’Église chaldéenne dans ce coin d’Irak, peuplé à majorité de chiites.

    Deux mille chrétiens disséminés parmi trois millions d’habitants de Bassora! La présence chrétienne se réduit comme une peau de chagrin. Mais dans l’ancienne Mésopotamie, certaines statistiques sont encore plus alarmantes.

    [...]

    Le Figaro


    Pendant que Le Figaro rend hommage aux chrétiens persécutés durant la période des fêtes, Claude Ansermoz, rédacteur en chef du 24 Heures, n'a rien trouvé de mieux que d'humilier les chrétiens tout en faisant l'apologie de la socialiste Ada Marra. Et cela, le jour même de Noël.

    Notez également qu'il est bien conscient de sa provocation :

    "… trois petits points. Trois petits points pour prévenir que le blasphème potentiel du titre de l’édito mérite une suite."