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  • Katalin Novak, ministre hongrois de la Famille, un exemple de combat politique

    Publié par Guy Jovelin le 27 décembre 2019

    La Hongrie est une véritable source d’espérance. Un nouvel exemple nous en est donné avec Katalin Novak. Après de brillantes études multilingues (avec un passage à l’Université de Nanterre), cette femme née en 1977, mariée, mère de trois enfants, est devenue en 2017 la vice-présidente du Fidesz, le parti de Viktor Orban. Elle est aussi l’actuelle ministre de la Famille du gouvernement hongrois.

    Dans l’entretien qu’elle a accordé à Catholic News Agency le 5 décembre 2019, Katalin Novak justifie les nombreux efforts consentis par le gouvernement de Viktor Orban envers les familles, au nom de la survie de l’identité chrétienne du pays, et aussi de l’Europe. Des propos également martelés par Viktor Orban en personne.

    A titre de comparaison, souvenons-nous que le 29 novembre 2019, Jean-Paul Delevoye, encore haut-commissaire à la réforme des retraites, appelait de ses vœux l’arrivée de « 50 millions de populations entre guillemets ‘étrangères’ (sic) pour équilibrer la population active en 2050 en Europe ». Il relayait ainsi un rapport de l’ONU datant de l’an 2000 et déjà cité à diverses reprises sur MPI, qui faisait explicitement la promotion de l’immigration de grand remplacement, estimant à 47,4 millions « le nombre d’immigrants nécessaires pour éviter un déclin de la population » de l’Union européenne et » pour faire face au vieillissement des populations.
    Aux antipodes du discours suicidaire français, Katalin Novak, ministre hongroise de la famille, déclarait quelques jours plus tard : « nous avons un défi démographique devant nous. Si nous renonçons à notre christianisme, nous perdrons alors notre propre identité, en tant que Hongrois, en tant qu’Européens ».
    Ces paroles étaient prononcées à Washington lors de la deuxième conférence annuelle sur la politique familiale, en présence des responsables de l’administration Trump, des membres du Congrès et de représentants d’organisations non gouvernementales réunis pour envisager la manière dont les gouvernements peuvent promouvoir les politiques favorables à la famille.

    La Hongrie a d’ailleurs signé avec la Pologne, les Etats-Unis et le Brésil un “Partenariat pour les Familles” au sein des Nations Unies afin d’agir ensemble pour y défendre les initiatives en faveur des familles.

    Le défi de la Hongrie, comme du reste de l’Europe, est démographique. La politique hongroise favorable aux familles porte des fruits mais pas assez vite. Les résultats sont néanmoins encourageants avec une hausse de 20% du nombre des mariages sur les 9 premiers mois de l’année 2019. Mais le taux de natalité de la Hongrie, bien que remonté à 1,48, demeure insuffisant puisque inférieur au taux de remplacement (2,1).
    Cette dénatalité hongroise est la conséquence directe d’une politique délibérée imposée par le communisme soviétique après l’insurrection hongroise de 1956. L’avortement fit alors des ravages en Hongrie.

    Malgré ce passif, le gouvernement hongrois, loin de baisser les bras, a complètement rompu avec la politique malthusienne encore en vigueur en Europe de l’Ouest.

    Le gouvernement hongrois a ainsi pris des mesures audacieuses et exemplaires :
    – les femmes qui se marient avant leur 40e anniversaire peuvent bénéficier d’un prêt sans intérêt de 31 000 euros de la part de l’Etat.
    – Un tiers du remboursement de ce prêt peut être annulé lorsque le couple a deux enfants.
    – A partir de la naissance du troisième enfant, le prêt n’a plus besoin d’être remboursé.
    – Toujours à partir du troisième enfant, la famille bénéficie d’une subvention afin d’acheter une voiture d’au moins sept places.
    – A partir du quatrième enfant, les couples mariés sont exonérés à vie de l’impôt sur le revenu.

    Convaincue que « notre avenir repose sur des familles fortes », Katalin Novak estime que les mesures gouvernementales en faveur des familles ne doivent pas être que financières. « L’Etat vise plutôt à créer par ce biais une culture plus accueillante pour les familles », explique-t-elle avant d’ajouter :

    « La Hongrie était historiquement un pays chrétien depuis son premier roi saint Etienne ; les politiques de l’Etat favorables à la famille sont censées refléter cela en établissant une identité forte ».

     

    Auteur : 

    Source : medias-presse.info

  • Ces 10 chiffres qui illustrent la montée en puissance du rap

    Publié par Guy Jovelin le 27 décembre 2019

    Par  le 27/12/2019

    Le rap se porte très bien en France, au point de doper la croissance de l’industrie musicale. De nombreux rappeurs battent de nouveaux records, à l’instar du duo PNL… Le genre musical s’est imposé ces vingt dernières années, au point de supplanter le rock.

    Les deux frères du duo PNL ont battu de nombreux records avec la sortie de leur clip « Au DD », Gims a été le premier rappeur francophone à s’offrir le Stade de France, quant à Diam’s, elle s’impose comme LA rappeuse de ces vingt dernières années. […]

    Un an plus tôt, en juillet 2017, le dernier rapport Nielsen sur la musique aux Etats-Unis souligne que le rap représente désormais 25% de la consommation totale de musique, contre 23% pour le rock. Une première. Cela s’explique notamment par la chute des ventes des disques et l’explosion du téléchargement et du streaming.

    En France, même constat. Dans son rapport de 2017, le Syndicat national de l’édition phonographique (Snep) note que le hip-hop compte 86 morceaux dans le top des 200 chansons les plus écoutés en streaming en 2016, contre 70 pour l’ensemble du rock, de la pop et de la variété.

    Le Dauphiné Via fdesouche

  • Marchais reviens ! Ils sont devenus fous !

    Publié par Guy Jovelin le 27 décembre 2019

    georges marchais,ils sont devenus fous

    Il est parfois amusant de regarder les archives.

     
  • Colonisation : l’épopée européenne qui a changé le monde

    Publié par Guy Jovelin le 27 décembre 2019

    Colonisation : l’épopée européenne qui a changé le monde

    Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ Ainsi, pour le président Macron, la colonisation est une erreur doublée d’une faute. On le savait déjà. Après son infamante sortie algérienne sur les « crimes contre l’humanité » prétendument commis par la France outre Méditerranée, il a cru bon d’en remettre une couche à Abidjan le 21 décembre.

    La colonisation est une mondialisation

    Juger moralement un mouvement historique inévitable, et sur lequel il est impossible de revenir, est stupide. Le monde a été colonisé par les Européens tout simplement parce qu’il ne pouvait pas ne pas l’être. L’énergie de la « race blanche » dans sa volonté de découverte et d’expansion a changé le monde pour toujours et à jamais, comme celle de la Horde d’or mongole avait changé la Russie. Il n’y a eu en fait dans l’histoire qu’une seule véritable mondialisation : la colonisation. Parfois, il est vrai, cruelle et prédatrice. Mais aussi porteuse de progrès et de santé pour les populations soumises, en même temps qu’elle faisait reculer l’esclavage, le cannibalisme et la sauvagerie. Son histoire, notamment pour la France, a révélé des hommes d’un courage exceptionnel mais également d’une grande humanité, et donné lieu à des épopées qui participent à la fierté de notre histoire.

    Des générations de petits Français ont été élevées dans la gloire de l’empire, ils voyageaient devant les cartes de territoires immenses et éloignés réunis dans un rêve civilisateur et même multiracial. La repentance obligatoire fait partie de la perte de notre conscience nationale qui est à la base de notre déclin.

    On rendra justice à l’homme qui renonce à son régime spécial de retraite d’avoir souligne que c’était une erreur de la République : « Trop souvent aujourd’hui la France est perçue avec un regard d’hégémonie où les oripeaux d’un colonialisme qui a été et qui fut une erreur profonde, une faute de la République…»

    Le paradoxe de l’ex-colonisé

    Macron croit à nouveau (adieu de Villiers !) que tout commence avec la République. C’est son droit mais c’est une ânerie incontestable. On retiendra donc que c’est plus l’erreur d’un système politique trahissant ses valeurs que d’un pays assumant son histoire. L ‘« erreur » de la République est souvent une page de gloire de la France. D’ailleurs c’est la République universelle qui a transformé la colonisation en un nivellement idéologique ; la France n’en demandait pas tant.

    Que pense le président de notre premier empire, du Canada à l’Inde en passant par les Antilles et puis le Sénégal et l’Algérie ? La France a été, derrière son ennemi héréditaire l’Angleterre qui gouvernait les mers, la deuxième puissance coloniale du monde. Il lui reste la francophonie et un empire maritime gigantesque et prometteur autour d’archipels oubliés. Il est une génération de Français qui par la lâcheté de nos dirigeants, sont nés dans un empire et se préparent à mourir dans un hexagone. Un hexagone qui vit une ancienne fierté comme une honte.

    Il est vrai que cette République ressemble peu à la France impériale de Faidherbe et Gallieni. Quand on voit les conséquences démographiques et humaines de la colonisation, on peut comme Macron penser que c’était une erreur — qui pourrait nous être fatale. S’il y a grand remplacement, c’est la fille bigarrée de la colonisation et de l’échec des colonisés à vivre mieux chez eux sans nous. Fuir son pays pour se réfugier chez l’oppresseur dont on se vante de s’être débarrassé, quel paradoxe !

    Mais cette erreur était malgré tout inévitable. Pourquoi Colomb a-t-il découvert Amérique ? Parce qu’il en avait les moyens techniques et surtout le courage humain. La colonisation est la conséquence d’une supériorité matérielle, mais aussi d’un sentiment naïf d’apporter le progrès — une nouvelle « pax romana ». La colonisation est une conquête et toute conquête est une brutalité comme l’auraient dit les Gaulois acceptant cependant le terme de civilisation gallo-romaine. Une colonisation subie puis acceptée dans ses conséquences irréversibles. Voilà, avec l’acquisition de la langue française, le chemin de la vraie indépendance des colonisés qui ne seront plus jamais ce qu’ils ont été. L’Amérique latine ne retournera jamais à l’époque des Aztèques et des Incas, n’en déplaise aux indiens, et le Maroc n’effacera jamais Lyautey et Casablanca. Les pourfendeurs de la colonisation sont souvent des obscurantistes qui confondent régression et authenticité et qui ont trouvé le moyen de justifier leurs échecs pitoyables depuis 70 ans.

    Pour eux comme pour nous, il n’y a finalement qu’une chose pire que la colonisation et c’est la décolonisation. Car la première était peut être une erreur, toutefois inscrite inévitablement dans la marche du monde, mais la seconde a multiplié les fautes évitables. Le « temps béni des colonies » est peut être un fantasme mais le temps maudit des décolonisations est, pour certains pays, une indiscutable réalité.

    Pierre Boisguilbert
    24/12/2019

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Domaine public

  • +216% d’arrêts maladie à la RATP, l’autre grève qui ne dit pas son nom

    Publié par Guy Jovelin le 27 décembre 2019

    Selon le quotidien Le Parisien, le nombre d’arrêts maladie à la RATP a explosé depuis le début de la grève, avec jusqu’à quatre fois plus de conducteurs malades par rapport à la même période en 2018. L’arrêt maladie permet de ne pas se rendre au travail, donc de faire grève, tout en étant rémunéré par l’Assurance maladie :