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  • Suède : une femme condamnée pour avoir eu des relations sexuelles avec un migrant mineur qui vivait chez elle

    Publié par Guy Jovelin le 21 décembre 2019

    Par  le 20/12/2019

    Suède – Une femme de 30 ans avait régulièrement des relations sexuelles avec un mineur étranger non accompagné qui vivait avec elle. Elle est condamnée pour exploitation sexuelle d’enfants.

    Comme le montre le jugement du tribunal d’Attunda, la femme loue depuis plusieurs années son domicile pour accueillir des migrants mineurs non accompagnés.

    La femme a admis qu’elle avait eu des relations sexuelles avec le demandeur d’asile pendant la période où il a vécu chez elle jusqu’en mars 2017, date à laquelle il a été placé dans une nouvelle maison. Cependant, elle affirme que le jeune l’a forcée et qu’elle ne savait pas qu’il était âgé de moins de 18 ans.

    Les deux conviennent qu’il s’agissait de rapports sexuels vaginaux, anaux et oraux. « Tout indique que les rapports sexuels étaient volontaires des deux côtés », écrit le tribunal.

    (…) Nyheter Idag via fdesouche

  • Conte de Noël : les juges donnent 1 million d’euros à 25 clandestins maliens

    Publié par Guy Jovelin le 21 décembre 2019

     

    20 décembre 2019 - par 

    5 Maliens, sans papiers et donc en situation irrégulière, étaient employés sur un vaste chantier situé avenue de Breteuil, face aux Invalides, dans le 7e arrondissement de Paris.

    L’affaire débute le 6 septembre 2016.

    Un manœuvre est blessé à un œil parce qu’il était dépourvu de lunettes de protection. Trois jours plus tard, un ouvrier chute lourdement sur le sol car il était posé sur un échafaudage rafistolé avec des câbles électriques.

    Les responsables du chantier refusent d’appeler les secours pour la raison, bien entendu, que ces ouvriers ne sont pas déclarés.

    Ces 25 Maliens se mettent en grève et occupent le chantier de l’avenue de Breteuil, ce qui gêne terriblement l’avancement des travaux entrepris par l’entreprise de sous-traitance « MT Bât Immeubles », leur employeur.

    « Si vous n’êtes pas contents, rentrez chez vous. Il y en a plein d’autres pour prendre vos places »

    Soutenus par la CGT, les conditions dans lesquelles étaient employés ces Maliens sont dénoncées. L’inspection du travail et le défenseur des droits, autorité administrative en charge de la lutte contre les discriminations, ouvrent une enquête et dans leur rapport sont énoncées les conditions de travail, humainement indignes, de ces 25 Maliens : payés de la main à la main, sans contrat et sans protection, bien évidemment (ni gants, ni chaussures de sécurité, ni casques, ni lunettes) et assignés aux tâches les plus pénibles du chantier, dans des conditions souvent très dangereuses.

    Ces migrants clandestins et sans papiers sont exploités comme « une force de travail interchangeable. »

    Ce mardi, le Conseil des prud’hommes de Paris a accordé des dommages et intérêts à chacun de ces 25 Maliens : chacun recevra une somme de 34 000 euros et environ 3 000 euros de salaire en retard, soit un total d’environ 1 million d’euros.

    Bien entendu, ce n’est pas l’entreprise qui les « exploitait » qui paiera, elle a été placée en liquidation judiciaire au mois d’août 2018 et n’était ni présente, ni représentée à l’audience de prud’hommes. Ces sommes seront versées par l’AGS, financé par les cotisations patronales.

    Cette décision est appelée à faire grand bruit, car il s’agit d’une première en France. Elle marquera sans aucun doute un sérieux arrêt dans l’exploitation de cette main-d’œuvre illégale, corvéable à merci.

    Ne revenons pas sur ce jugement mais tout de même, certaines questions se posent, et doivent être posées !

    Ces 25 Maliens, clandestins et sans papiers, ont tous été régularisés et embauchés par une autre entreprise du bâtiment.

    Il suffira donc, dorénavant, à de très nombreux migrants clandestins et sans papiers, de se faire embaucher avec des salaires misérables par certaines entreprises, puis d’imiter le scénario décrit plus haut, prévenir la CGT et attendre de percevoir des dommages et intérêts puis d’être régularisés officiellement, et le tour est joué !

    Fort heureusement cette décision, qui fera jurisprudence, va faire réfléchir les « employeurs esclavagistes » qui savent, à présent, à quoi s’en tenir.

    C’est fort généreux, comme l’est, et l’a toujours été, la France, mais si ces migrants n’avaient pas pénétrés illégalement en France, ils n’auraient pas servi de main-d’œuvre bon marché exploitable par certaines entreprises. Et s’ils avaient été renvoyés dans leur pays d’origine non plus !

    Alors qui sont les véritables responsables ?

    Manuel Gomez

    source: via lesobservateurs

  • Dijon (21) : la crèche de l’église Notre-Dame vandalisée deux fois en quelques jours

    Publié par Guy Jovelin le 21 décembre 2019

    Par  le 21/12/2019

    Pour les fêtes de fin d’année, une crèche a été installée devant l’église Notre-Dame de Dijon.

    Mauvaise surprise ce vendredi matin : des dégradations ont été signalées sur l’installation. D’après Emmanuel Pic, prêtre à Dijon, « des sacs poubelles ont été jetés sur la crèche et des détritus ont été déposés devant la grille ».

    D’après le prêtre, c’est la deuxième fois que cette crèche est prise pour cible. Dans la nuit du 18 au 19 décembre, des sacs poubelles auraient déjà été jetés.

    Emmanuel Pic@Emmanuelpic

    Pour la deuxième fois, la crèche de l’église a été vandalisée cette nuit : sacs poubelles et ordures courageusement déversés sur une famille innocente. . Merci à tous ceux qui font la guerre au christianisme.

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    Bien Public via fdesouche

  • Agression barbare à Roissy-en-Brie : le réfugié suspecté aurait dû être expulsé depuis 2006

    Publié par Guy Jovelin le 21 décembre 2019

    Résultat de recherche d'images pour "coma femme"

    Samedi dernier, une femme a été retrouvée dénudée et inanimée dans un bois de Roissy-en-Brie. Elle est toujours dans le coma.

    C’est normal, c’est la « France d’après ».

    Nous n’avons même pas eu le temps de vous parler, par exemple, de ce paisible couple de Français, Sylviane et Jean-Claude Muller (50 et 58 ans), découverts par une de leurs filles dans leur domicile de Gironde, les corps gisant dans une mare de sang. Ils avaient été lardés de coups de couteau et égorgés, et la femme violée…

    Revenons à Roissy.
    Un « réfugié politique congolais » a été arrêté et inculpé de « tentative de meurtre » (source Le Parisien) pour l’attaque de cette malheureuse Française.
    Son casier est « long comme le bras », notamment pour des agressions sexuelles.
    Il est sous le coup d’une mesure d’expulsion depuis vingt ans.
    Il venait d’être condamné huit jours avant les faits à six mois de prison pour vol et port d’arme blanche. Sans être incarcéré.

    Y a-t-il encore des commentaires à faire ?
    Les Français, en particulier la génération des boomers, ont accepté et acceptent encore que la France devienne un pays du tiers-monde sanglant où les indigènes sont les premières victimes…

    Bonus : alors qu’il était assigné à résidence, Mike Kasenga Mulenga a été relaxé de « défaut de justification d’adresse ».

     

    Source : contre-info

  • Dette de la France: la dérive mortelle.

    Publié par Guy Jovelin le 21 décembre 2019

    Aucune description de photo disponible.

    Malgré des taux d'emprunts en baisse constante, voire négatifs, et alors même qu'elle détient le triste record européen du niveau des prélèvements obligatoires (48,4 % contre 40,4 % en moyenne pour l'ensemble de l'Europe), la France vient de franchir le seuil des 100 % d'endettement (100,4 % du PIB) pour atteindre 2 415 milliards au troisième trimestre 2019 (+200 milliards sur l'année).

    À l'origine de cette dérive mortelle pour l'économie réelle du Pays et pour son indépendance, on trouve les dépenses vertigineuses de fonctionnement de l'Etat, la fraude fiscale et sociale, les gaspillages, les mille feuilles administratifs et territoriaux, les sinécures diverses pour amis, les subventions indues à des associations et organisations à entretenir, et, bien sûr, le poids de l'immigration. Tout cela a un coût que les déficits publics aussi abyssaux soient ils ne suffisent pas à couvrir. Il faut donc emprunter.

    Les conséquences en sont connues: mesure de rigueur anti sociales, réduction des effectifs et des budgets dans les services régaliens de l'Etat, épée de Damoclès sur les générations futures, et dépendance de la France au bon vouloir des marchés. Qui paye commande. Qui commande enchaîne.

    Pas plus que ses predécesseurs, Macron n'est en mesure de faire face. Ni n'en a la volonté.

    Un vaste chantier de plus pour la droite nationale lorsque viendra le temps de son arrivée aux responsabilités.

     

    Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France