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  • La France serait le 3ème pays hébergeur de contenus pédopornographiques dans le monde

    Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2020

    Auteur : Pierrot

    Le gouvernement de Macron préfère prendre le prétexte de la traque aux contenus « racistes» pour bâillonner les patriotes que de lutter contrer les ordures qui diffusent des images ignobles d’enfants abusés… A noter que si la France est 3ème dans ce sombre classement, c’est probablement aussi à cause du manque de données fiables dans beaucoup de pays du monde.

    Trouvé sur Le Parisien : « Sombre constat : la France était en 2019 le troisième pays hébergeur de contenus à caractère pédopornographique dans le monde derrière les Pays-Bas et les Etats-Unis, selon l’association Point de Contact, premier pourvoyeur de signalements auprès des autorités françaises.

    Point de Contact, qui s’appuie sur les statistiques du réseau international INHOPE (International Association of Internet Hotlines) dont elle est membre, affirme mercredi avoir signalé 11 268 URL menant à des contenus d’exploitation et d’abus sexuels sur mineurs, soit 75 % de ses contenus illégaux repérés en 2019, selon un communiqué.

    « Une URL (adresse d’un site web, NDLR) pouvant contenir d’une à plusieurs centaines d’images et/ou de vidéos. Quatre victimes sur cinq étaient des enfants de moins de 13 ans », précise l’association. »

     

    Source : contre-info

  • Plan de relance de l'UE : qui paye commande !

    Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    L'annonce faite mercredi par la présidente de la commission européenne Ursula von der Leyen (NDLR : photo ci-dessus) de la mise en oeuvre d'un plan de relance communautaire destiné à mutualiser les dettes engagées par les pays membres pour faire face aux conséquences économiques et sociales de la crise sanitaire du COVID-19, plan de 750 milliards d'euros, soit 250 de plus que ce que proposaient Macron et Merkel la semaine dernière, constitue un pas de plus sur la voie du fédéralisme et de l'effacement des Nations au profit de la technostructure mondialisée  bruxelloise.
     
    C'est une très mauvaise nouvelle pour les peuples européens et en particulier pour la France.
     
    D'abord parceque ces sommes vertigineuses empruntées directement par l'UE en bénéficiant des taux actuels, faibles, voire négatifs, devront un jour être remboursées. Elles le seront par les États non pas en fonction de ce qu'ils auront reçu, mais par rapport à leur PIB. À ce jeu, la France sera nécessairement confrontée à une perte sèche qui pèsera lourdement sur les contribuables le moment venu.
     
    Ensuite parce que, ce faisant, la Commission renforce son pouvoir. Qui paye, commande. Comme ce fut le cas il y a dix ans avec la Grèce, l'UE disposant des fonds et des leviers de leurs distribution, sera à la fois arbitre et acteur principal, pesant sur les orientations, intervenant et décidant des budgets nationaux, imposant ses choix politiques et ses lois d'austérité.
     
    Une Europe nouvelle, puissante, identitaire et libérée des tutelles intercontinentales, est pour nous, nationalistes, qui ne ne nous reconnaissons pas dans le souverainisme  moisi, un objectif majeur, mais encore lointain. Sa construction ne se fera que par les victoires politiques des mouvements nationaux au sein de chaque Etat, victoires qui ouvriront alors la voie à des changements de paradigmes permettant des transferts structurels librement consentis. Nous n'y sommes pas.
     
    Le fédéralisme globaliste, antagoniste à toutes nos aspirations et négateur des volontés des peuples européens, vient malheureusement, quant à lui, de marquer un point décisif. 
  • 28 mai… 1794 : la République massacrait encore des Français, rasait un village (et pour quel motif !)

    Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2020

    Nous aimons rappeler aux républicains – donneurs de leçons impénitents -, l’histoire de leur Régime.

    Ce 28 mai donc, Étienne Christophe Maignet, chargé de la lutte contre la « contre-révolution » en Auvergne, fit incendier le village de Bédoin, au pied du mont Ventoux, et massacrer une bonne partie de sa population.

    Quel acte extraordinaire pouvait-il justifier de telles représailles ?

    Simplement l’arrachage, quelques semaines plus tôt, d’un « arbre de la liberté »…

    Maignet avait alors ordonné à la commune d’indiquer les coupables et y avait envoyé le 4e bataillon de l’Ardèche, le logis et la nourriture étant aux frais des habitants. Par ailleurs, il avait ordonné l’arrestation des membres de la municipalité et du comité de surveillance, des nobles, des prêtres et de tous les suspects, « comme auteurs ou complices présumés du complot », et chargé le tribunal criminel du département d’instruire et de juger l’affaire « révolutionnairement ».

    Les coupables n’ayant pas été retrouvés, Maignet prit un second arrêté le 20 floréal (9 mai) dans lequel il ordonnait le transfert, dans les plus brefs délais, du tribunal criminel à Bédoin pour y instruire la procédure et y faire exécuter immédiatement les jugements rendus. De même, il prévint tous les habitants non détenus qu’après l’exécution des principaux coupables, ils auraient vingt-quatre heures pour quitter leur maison avec tout leur mobilier, avant que le village ne soit livré aux flammes.

    Le tribunal révolutionnaire prononce 66 condamnations à mort exécutées aussitôt par la guillotine. La population doit payer une nouvelle taxe révolutionnaire par habitant, les maisons sont incendiées, les terres agricoles stérilisées au sel, le village appelé « Bédoin l’infâme » est rayé de la carte, le reste des habitants déporté dans les villages voisins et assigné à résidence.

     

    Source : contre-info

  • McDonald’s : du Big Mac au Big scandale !

    Publié par Guy Jovelin le 28 mai 2020

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    La chronique de Philippe Randa

    Décidément, le temps n’est pas au beau fixe pour les multinationales ; après Amazon – l’ogre du commerce électronique – dont les conditions de travail ont été sévèrement recadrées, jusqu’à obliger ses centres de distribution en France à fermer, faute de conditions sanitaires satisfaisantes – c’est au tour de McDonald’s – le monstre de la malbouffe – d’être dans le collimateur de la justice : il est poursuivi devant  l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) depuis le 18 mai pour « harcèlement sexuel systématique ». Qui l’eût imaginé ?

    Les conditions de travail des célèbres « restaurants » (sic !) dans plusieurs pays ne sont pas les seules en cause, puisque la plainte déposé par une coalition internationale de syndicat vise également deux banques d’investissement : la néerlandaise APG Asset Management et la norvégienne Norges Bank, actionnaires de McDonald’s.

    Le Monde rapporte que « les syndicats ont rassemblé des témoignages, avec des allégations allant de “commentaires vulgaires à des agressions physiques” à l’encontre de salariés en Australie, au Brésil, au Chili, en Colombie, en France, au Royaume-Uni et aux États-Unis. »

    Un premier coup de semonce avait pourtant été donné il y a deux ans lorsqu’en 2018 « à l’heure du déjeuner, les employés des McDonald’s de dix villes américaines vont cesser le travail, afin de pousser leurs directions à prendre des mesures plus énergiques contre le harcèlement sexuel au travail » selon le Time Magazine.

    Pour se défendre, l’enseigne argue que 90 % de ses restaurants étant franchisés, elle n’est en rien responsable des conditions de travail des employés… et ce sera donc à des juges néerlandais – les pays-Bas sont le « centre nerveux » du groupe en Europe et le siège de la banque APG – de décider si « la violence et le harcèlement basés sur le genre font partie de la culture de McDonald’s. »

    On pensait pourtant qu’en s’aventurant chez McDo, les seules craintes à avoir se situaient au niveau du palais et de l’estomac… pas de la chute de rein !

    Lire EuroLibertés cliquez ici

     
  • Des masques « de production locale et nationale » fabriqués… au Pakistan

    Publié par Guy Jovelin le 27 mai 2020

    masques
    Les masques distribués par la Métropole, le Département et la Région auraient été fabriqués au Pakistan. © Pixabay

    Des millions de masques ont été distribués dans les boîtes aux lettres de la région et du département. Mais malgré les promesses, ils proviennent finalement du Pakistan, de quoi faire rire… jaune. 

    La crise du coronavirus a fait émerger de nombreuses critiques sur la perte de souveraineté de la France en matière de santé, d’industrie et de décisions politiques. Cette polémique ne fera qu’accentuer ces accusations. Les masques distribués dans les boîtes aux lettres de Toulouse, du département et de la région sont fabriqués au Pakistan, révèle Actu.fr.  

    Pourtant, les trois collectivités avaient annoncé des « productions locales et nationales ». Alors quand les 900.000 masques distribués par la métropole de Toulouse sont arrivés chez leurs destinataires, les critiques ont été vives sur leur provenance. En première ligne, l’opposition de Jean-Luc Moudenc et la gauche qui citaient pour exemple le Département et la Région. Problème, ces collectivités ont eu recours aux mêmes masques ! 

    Le Département rejette la faute sur la Région

    Georges Méric et Carole Delga se vantaient pourtant d’avoir passer commande auprès de trois fabricants français, situés dans le Tarn, le Lot et l’Allier, et un italien. Au final, une partie, au moins, de la livraison vient du Pakistan. 

    Pris la main dans le masque, le Département s’est défendu en rejetant le choix des fournisseurs sur le dos de la Région, « qui avait, à notre connaissance, sélectionné des filières de production française et européenne », a-t-il déclaré à Actu.fr. Du côté de la Région Occitanie, on répond que c’est l’entreprise basée dans l’Allier, Gedivepro, qui a sous-traité sa production au Pakistan. Pour la collectivité, seule une partie de ces masques proviennent du Pakistan, ceux provenant du Tarn seraient bien issus d’entreprises locales. 

     

    Source : infos-toulouse