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  • Longuenesse (62) : « Quand je rentrerai en Irak, je rejoindrai Daech, je tuerai des Français », un passeur irakien relaxé

    Publié par Guy Jovelin le 20 novembre 2020

    Longuenesse : poursuivi pour apologie de terrorisme, un Irakien relaxé. […] Un ressortissant irakien, incarcéré au centre pénitentiaire de Longuenesse après avoir été condamné à plusieurs reprises pour ses activités de passeur, était jugé mardi 17 novembre pour apologie d’un acte de terrorisme. Lors d’un entretien avec une conseillère d’insertion et de probation en septembre 2019, il aurait tenu des propos menaçants et insultants envers la police aux frontières et la justice française : « Quand je rentrerai en Irak, je rejoindrai Daech, je tuerai des Français. Je les mettrai sous terre avec une balle dans la tête. » […]

    La Voix du Nord via fdesouche

  • Plorec-sur-Arguenon (22) : la justice ordonne le démontage d’un calvaire vieux de 74 ans

    Publié par Guy Jovelin le 20 novembre 2020

    Plorec-sur-Arguenon : un calvaire vieux de 74 ans condamné à être démonter

    En application de la loi de 1905, le tribunal administratif de Rennes, saisi par la fédération départementale de la Libre Pensée, a condamné le département des Côtes d’Armor jeudi 18 novembre à démonter d’ici trois mois un calvaire situé sur le domaine public, à Plorec-sur-Arguenon.

    Pierre Allory, président de l’Association pour la Conservation du Patrimoine de Plorec-sur-Arguenon est le premier concerné par cette décision. C’est son association qui avait décidé de prendre soin de ce calvaire en 2017 en le restaurant à ses frais. A l’époque, toutes les autorisations nécessaires avaient été sollicitées: celle du département, propriétaire du bord de route sur lequel était construit l’édifice religieux, Dinan agglomération, tout comme la mairie de la commune. A l’époque, personne ne s’y était opposé. “Nous n’aurions jamais démarré le chantier si on avait su qu’on serait attaqué. Nous avions confiance dans notre administration. Nous étions en règle.”

    france3-regions.francetvinfo.fr via fdesouche

  • Hamza Abbou, le plus gros dealer de Toulouse, condamné à 14 ans de prison

    Publié par Guy Jovelin le 20 novembre 2020

    L’ancien "patron" de Varèse, plus gros dealer de Toulouse, condamné à 14 ans de prison

    Considérée comme l’ancien patron de Varèse, Hamza Abbou, alias le Botch, a été jugé hier par le tribunal correctionnel pour deux affaires de drogues et d’armes.

    “Mes trois ans de cavale m’ont fait réfléchir. Lorsque j’aurais purgé ma peine de prison, vous ne me verrez plus jamais dans ce box”, promet Hamza Abbou, à la barre du tribunal correctionnel de Toulouse. Survêtement noir, cheveux bruns et bouclés, petite moustache, Hamza Abbou la voix légèrement nasillarde, s’est longuement exprimé devant le président et le procureur de la République.

    www.ladepeche.fr via fdesouche

  • Comment la Turquie a éradiqué ses minorités chrétiennes

    Publié par Guy Jovelin le 20 novembre 2020

    […] Joseph Yacoub, spécialiste de l’histoire des chrétiens d’Orient, raconte comment le régime turc a progressivement effacé jusqu’à la mémoire culturelle de cette minorité persécutée.

    […] Aujourd’hui, ils ne représentent pas plus de 100 000 personnes, soit moins de 0,2 % d’une population de 84 millions d’habitants. On remarque que les écoles chrétiennes sont en nette baisse et on observe des cas d’expropriation d’églises et de répression à l’encontre de prêtres, tout cela accentué par la politique islamo-nationaliste du président turc Erdogan, qui transforma la Basilique Sainte Sophie en mosquée.

     

    […] À partir de 1906, des étincelles préludaient 1915, qui portait dans ses germes 1918. Cette politique visait, selon des objectifs arrêtés, à homogénéiser l’Empire ottoman et turquifier le pays, en éradiquant tout groupe ethniquement non turc et non musulman. Ce fut aussi un ethnocide. Des Églises ont été pillées et souillées, des vieillards, des femmes et de jeunes gens abattus. D’autres ont succombé à la maladie ou à la faim, ou ont été transportés en exil, et des jeunes filles outragées et réduites en esclavage. Cette tragédie est bien représentée dans leur littérature mémorielle en araméen, la langue du Christ.

     

    […] Le phénomène d’annihilation culturelle s’est ensuite accentué. Les noms des villages ont été turquisés, ainsi que les noms patronymiques. […] Tout a été fait pour effacer la mémoire. […]

    Le Figaro via fdesouche

  • Grâce au lobby homo, l’UE est paralysée

    Grâce au lobby homo, l’UE est paralysée

    explique la Fondation Polémia :

    “Les deux démocraties dites « illibérales » refusent que les aides pour sortir de la crise sanitaire soit dépendantes d’une soumission à l’idéologie européiste. Le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán, et dans une moindre mesure Mateusz Morawiecki, son homologue polonais, avaient prévenu dès le printemps, quand les négociations entre les Vingt-Sept ont commencé, qu’ils ne soutiendraient pas un tel mécanisme de conditionnalité. Il faut bien voir la nature du mécanisme que Varsovie et Budapest auraient dû accepter. C’est un ensemble de 8 articles obligeant les signataires à renoncer à toute particularité nationale sur la justice ou l’immigration. La Commission européenne évaluait ensuite la conformité des pays au dogme et pouvait sanctionner les « rebelles » à la majorité qualifiée. Or, pour le moment, ce qui sauve les pays plus nationaux qu’européistes, c’est la règle de l’unanimité.

    La Hongrie rappelle qu’elle était d’accord, en juillet, au Conseil européen, pour une clause budgétaire a minima qui conditionne le versement des fonds européens à leur bon usage effectif, sans interférence politique. Elle estime que l’ajout d’une clause « État de droit » est contraire au droit européen dans la mesure où elle contourne l’article 7 qui prévoit déjà un mécanisme de sanction. Il faudrait donc récrire les traités — ce qui exige l’unanimité. Pour Budapest comme pour Varsovie, il s’agit d’un « chantage politique » contre deux régimes qui, au nom de leur conception des valeurs chrétiennes et historiques de leur pays, affrontent la doctrine des valeurs « droits de l’hommesque » issue de l’article 2 du traité de l’UE.

    « Une solution sera trouvée dans les toutes prochaines semaines, la France y est pleinement engagée », réagit Clément Beaune, secrétaire d’État aux Affaires européennes. Mais concrètement, il ne faut rien espérer avant le printemps, voire l’été prochain, de toute façon… En attendant, chaque État membre s’endettera à son propre compte. La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, pourrait penser que finalement la relance économique post-Covid , le plan dit « Next Generation UE » vaut bien une messe. Ce qui n’est pas le cas de ceux qui veulent imposer une « next generation UE » métissée et garante des droits de toutes les minorités, notamment sexuelles. Ce qui se passe en Pologne et en Hongrie les rend fous.”

    Merci le lobby homo !

     

    Source : ndf