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  • Le laisser-passer macroniste met fin à l’Etat de droit

    Publié par Guy Jovelin le 06 août 2021

    Le pass-sanitaire, autrement dit le laisser-passer macroniste, a donc été validé par la clique de débris politiques qui constitue ce pathétique Conseil constitutionnel.

    Il y a désormais en France deux types de citoyens honnêtes : ceux qui acceptent de se faire vacciner contre une maladie qui ne les tuera pas, et ceux qui refusent de se faire vacciner contre un virus qu’il est possible de traiter comme n’importe quelle autre maladie sans passer par la radicale case vaccination.

    En effet, les Français qui ont choisi la voie de la vaccination vont avoir plus de droits que les Français qui font confiance en leur système immunitaire et dans les traitements efficaces et connus (hydroxychloroquine, azithromycine, ivermectine, etc.).

    Il s’agit d’une authentique politique de discrimination entre citoyens honnêtes, ce qui est une première. Et cette discrimination est fondée sur un seul critère : choisir comme le chef de l’Etat et le Gouvernement la voie de la vaccination contre la voie du traitement. Il est donc normal, et non pas outrancier, de parler d’une dictature sanitaire, car nous ne sommes plus dans un Etat de droit, nous sommes dans un régime où soit l’on est d’accord avec Emmanuel Macron, soit l’on perd nos libertés individuelles.

    C’est d’autant plus injuste, que les traitements connus et peu chers que je viens de citer sont efficaces, alors que les chers vaccins, qui sont la seule réponse autorisée par la dictature macroniste, sont non seulement controversés (le professeur Christian Perronne parle de « thérapie génique » aux effets indésirables « variés », « non maîtrisés » et « graves »), mais en plus on ne sait même pas encore comment ils fonctionnent sur notre organisme, Emmanuel Macron ayant déclaré lui-même qu’une « troisième dose » sera « vraisemblablement » nécessaire mais « pas pour tout le monde » et qu’ « à ce stade » « on apprend à chaque étape ». Voilà un discours bien vaseux et imprécis, à contresens de la rigidité législative qui vient de séparer les Français en deux face à leurs libertés individuelles. La fameuse déclaration d’Emmanuel Macron du 14 octobre 2020, « on s’était progressivement habitués à être une société d’hommes libres », prend désormais tout son sens le plus abject.

    Au-delà du volet vaccinal, la brutalité et la radicalité de l’instauration du pass-sanitaire est absolument l’inverse de la brutalité et de la radicalité du Covid-19. Le professeur Raoult explique par exemple que « 90% des patients décédés avaient une probabilité de 85% de décéder dans l’année » et que « leur âge moyen était de 82 ans ». On a donc affaire à un virus dont la réponse médicale doit être exactement la même que d’habitude : détecter la maladie le plus tôt possible pour passer ensuite à la phase de traitement, ces fameux traitements dont il n’est absolument et remarquablement jamais question dans la bouche de nos gouvernants depuis l’apparition de ce coronavirus, piqûre et restriction des libertés étant les seules réponses auxquelles nous avons droit depuis mars 2020.

    Enfin, et c’est peut-être le plus scandaleux dans cette histoire la plus scandaleuse qu’ait connu notre pays depuis son occupation par les Anglais au XVème siècle, malgré les vaccins et les rappels qui devraient être nécessaires environ tous les 9 mois, les vaccinés ne sont pas protégés contre la transmission du Covid-19 et peuvent même continuer à le transmettre…

    Mon propos n’est pas de faire du Pfizer-bashing pour discréditer ce vaccin, et cela serait d’ailleurs à mille lieues de mes compétences professionnelles, mais de mettre en exergue l’absolue absurdité de l’instauration d’un pass vaccinal avec ce type de vaccin et avec ce type de virus.

    Heureusement, la France n’est pas un pays de godillots et des personnalités comme le docteur Raoult, comme le professeur Perronne et bien d’autres, des personnalités syndicales et politiques, etc., s’élèvent contre cette absurde politique de discrimination des Français non vaccinés et se mettent en marche – certains l’ont fait dès mars 2020 comme le Parti de la France avec une communication d’hostilité aux mesures de confinement – contre cette nouvelle société pseudo-hygiéniste que la Macronie essaie de nous imposer au forceps.

    Contrairement au vœu d’Emmanuel Macron, je vous encourage à rester des hommes libres, à continuer d’organiser vos vies en dehors de ce qui nécessite la possession du laisser-passer macroniste, et à militer, dès que c’est possible, notamment lors des manifestations du samedi, contre ce régime qui utilise le prétexte sanitaire pour étendre son pouvoir et nous traiter comme du bétail bien discipliné. Courage, on les aura !

     

    Bruno Hirout :  secrétaire général du Parti de la France

  • Antiracisme contre véganisme : le gauchisme idéologique en panique !

    Publié par Guy Jovelin le 06 août 2021

    Rififi chez les gauchos.

    Un article récent du Daily Mail repris par Valeurs actuelles fait état d’une querelle idéologique qui ébranle le petit monde du  : la Vegan Society britannique est secouée par des démissions en masse de plusieurs de ses administrateurs qui accusent l’antique organisation de pratiquer… l’appropriation culturelle et le racisme institutionnel.

    antiracisme,gauchisme idéologique,véganismeLe tofu, le blé chinois, le houmous, mets abondamment utilisés dans la cuisine végane, auraient été volés à la cuisine de l’Asie et du Moyen-Orient. Le concept d’appropriation culturelle – dont personne, soit dit en passant, ne voit la contradiction avec le projet  de métissage et de  -, fort en vogue chez les militants antiracistes les plus radicaux, interdit que des « Blancs » (entendez les dominants) osent s’emparer des  culinaires orientales ou africaines au prétexte que ce serait une forme détournée de néo-colonialisme. Un péché mortel, moral et social.

    Certes, il est difficile de suivre les méandres tortueux de cerveaux ramollis par des années d’épidémie gauchiste.

    Essayons d’y voir un peu clair.

    La Vegan Society a été fondée dans les années quarante par Donald Watson : inventeur du terme « végan », il expose la finalité du mouvement en 1944 dans The Vegan News : « Notre civilisation actuelle est construite sur l’exploitation des animaux, tout comme les civilisations passées ont été construites sur l’exploitation des esclaves, et nous croyons que le destin spirituel de l’homme est tel qu’avec le temps, il verra avec horreur l’idée que les hommes se sont nourris autrefois des produits du corps des animaux. Même si les preuves scientifiques peuvent manquer, nous soupçonnons astucieusement que le grand obstacle au développement moral de l’homme peut être qu’il est un parasite des formes inférieures de la vie animale. »

    80 ans plus tard, Eshe Kiama Zuri, activiste de 25 ans, démissionne avec fracas du conseil d’administration de l’antique Vegan Society : « La Vegan Society n’est pas un endroit sûr pour les jeunes, pour les Noirs, pour les personnes queer ou pour toute autre personne marginalisée. »

    D’un projet à l’autre, il n’y a pas, on le voit, de différence essentielle : l’un est la suite logique de l’autre, projet politique fondé sur le rejet de tout ce qui ressort de l’ordre naturel des choses. On ne parle pas ici, évidemment, de l’ mais du rapport de l’homme à l’animal considéré comme tel. Or, comme l’écrit fort justement Mathieu Bock-Côté, dans le FigaroVox« il y a dans le véganisme un rapport abstrait à l’animal, qui le coupe de son inscription dans l’ humaine et qui l’arrache à la longue histoire de la civilisation. C’est au nom de cette dernière qu’il faut s’opposer à lui et du rapport fécond qu’ont noué les hommes avec les animaux, infiniment plus riche que celui proposé par ceux qui instrumentalisent la cause animale pour maudire l’humanité. »

    Maudire l’humanité : le trait commun de l’antiracisme dans ce qu’il a de plus radical et de plus absurde, de plus incohérent, car il n’est qu’une forme de racisme inversé, et le monde du véganisme, dernière lubie d’une gauche bobo, celle des centres-villes et des rabat-joie.

    Naufrage des idéologies folles : l’antiracisme comme le véganisme, l’ ou le « wokisme » signent le naufrage de la gauche. Comme l’explique Pascal Bruckner dans le FigaroVox : « Plutôt que de défendre les classes populaires et les conquêtes sociales, elle préfère brandir le thème de la race comme bouée de secours, mais cette bouée va surtout la couler. En reprenant une rhétorique délétère, cette gauche-là dresse le décor de son propre suicide. »

     

    Marie d'Armagnac

    Journaliste
    Journaliste et auteur
  • Le conseil constitutionnel décide de piétiner le droit international en validant l'”obligation” de se faire injecter un produit expérimental ayant déjà provoqué au moins des dizaines de milliers de morts en Europe

    Publié par Guy Jovelin le 06 août 2021

    Auteur : 

    Le conseil Constitutionnel, en plus de violer le code de Nuremberg de 1947 et le traité 164 de la Convention d’Oviedo, qui d’après le site internet du Conseil de l’Europe, a une valeur juridique contraignante pour tous les pays membres du Conseil de l’Europe dont la France fait partie, ne tient pas compte des articles 7.3.1 et 7.3.2 de la résolution 2361 de l’Assemblée parlementaire du conseil de l’Europe qui demande aux Etats-Membres :

    7.3.1 “de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement;

    7.3.2 de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner.

    L’utilisation du verbe “informer” montre bien que le fait que la vaccination contre le sars-cov 2 ne puisse pas être obligatoire dans les pays membres du Conseil de l’Europe est un fait acquis et certain.

    Elle piétine aussi de nombreux principes du droit français. Parmi ceux-ci, il y a notamment les principes suivants:

    1) Violation du droit à l’emploi (Alinéa 5 du préambule de la constitution de 1946, préambule repris par la constitution actuelle, celle de 1958; article 8 de la déclaration de 1789) puisque les personnes non “vaccinées” ne pourront plus être rémunérés si elles occupent les emplois (environ 80 types d’emplois) prétendument visés par la loi votée le 25/7/2021. Le droit à l’emploi est reconnu en France depuis des siècles, bien avant la révolution dite française. Le droit à l’emploi signifie qu’on peut proposer sa candidature pour n’importe quel type d’emploi sans que des critères non liés aux compétences professionnelles ou à la formation reçue ne puissent entrer en compte.

    2) Non respect de la protection de la santé puisque que tout médicament ou vaccin, à fortiori un “vaccin” expérimental, a des effets indésirables qui varient d’ailleurs beaucoup selon les personnes. En ce qui concerne les vaccins utilisés en France, 1/4 de ces effets sont graves et avaient déjà tué environ 1000 personnes au 22/7 (à cause de la sous-déclaration, le nombre réel de victimes est beaucoup plus élevé)

    3) Non respect du droit à l’intégrité physique et à la dignité 

    4) Non respect de l’égal accès aux emplois publics, puisque de nombreux emplois publics sont concernés par la prétendue “obligation vaccinale”

    5) Absence de proportionnalité

    Toutes les statistiques officielles, dans tous les pays du monde, montrent que le taux de mortalité du sars-cov 2 est très faible. Au 31/12/2020, après plus d’un an d’épidémie, celle-ci ayant commencé en septembre ou octobre 2019 en Chine, il y avait 1 798 120 morts, soit 0,02% de la population mondiale. Même en France, où la mortalité a été augmentée du fait du manque de places dans les hôpitaux et notamment en réanimation, et de l’utilisation criminelle du rivotril (contre-indiqué pour les maladies respiratoires comme le sars-cov 2), elle n’a été officiellement en 2020 que de 0,1% (64 632 morts). En réalité beaucoup moins car l’INSEE n’a comptabilisé qu’environ 56 000 morts supplémentaires en 2020 (environ 669 000) par rapport à 2019 (613 000 morts), dont 2 000 environ dus à la journée supplémentaire (l’année 2020 était bissextile), 4 000 environ à la canicule d’août-septembre et plusieurs milliers (voire plus) dus aux cancers et aux maladies cardio-vasculaires, à cause des reports de soins et de diagnostics dus aux règles restrictives adoptées par le gouvernement pendant les différents confinements.

    Il en résulte qu’on ne peut imposer le choix entre le maintien des revenus et la mise en danger de sa santé d’un côté et la perte de revenus pour ne pas jouer à la roulette russe avec sa santé de l’autre. Roulette russe qu’il vaut mieux appeler désormais roulette “constitutionnelle”.

    Une seule réponse: ne pas tenir compte de l’avis du conseil constitutionnel car par cet avis, le dit conseil a failli à sa mission. Au lieu d’appliquer la constitution, le droit du Conseil de l’Europe et le droit international, il en a modifié le sens de manière arbitraire et sophistique.

    En tout état de cause, comme n’importe quel étudiant en droit le sait, le droit international est supérieur au droit français et ceux qui voudront appliquer la décision du conseil constitutionnel s’exposent à des poursuites devant les tribunaux internationaux.

    Ils s’exposent encore plus au jugement de Dieu.

    Continuer à prier pour le renversement de ce régime totalitaire. Bon courage à tous.

    Gontran Paume

     

    Source : medias-presse.info

  • Nouvelle médaille d’or pour la France

    Publié par Guy Jovelin le 06 août 2021

    Auteur : 
    Ignace - Nouvelle médaille d'or pour la France
    Ignace – Nouvelle médaille d’or pour la France

    Source : medias-presse.info
  • L’OMS milite pour la modification du génome humain. Un commencement avec les vaccins à ARNm ?

    Publié par Guy Jovelin le 06 août 2021

    En plein débat et manifestations massives de par le monde contre les injections anti-covid à ARNm des laboratoires Pfizer et Moderna, l’OMS publie de nouvelles recommandations concernant la modification du génome humain. Comme pour les nouveaux ’vaccins’ covid-19 expérimentaux et aux effets secondaires majeurs, parfois mortels, l’excuse justifiant la modification du génome humain consisterait à faire progresser la santé publique.

    Dans un communique de presse, l’OMS déclare qu’elle présente « les premières recommandations mondiales visant à faire de la modification du génome humain un outil de santé publique, en mettant l’accent sur la sécurité, l’efficacité et l’éthique ». Les génomes concernés sont les « génomes somatique, germinal et héréditaire humains ».

    « Les thérapies géniques somatiques », précise l’OMS, « reposent sur la modification de l’ADN d’un patient pour traiter ou guérir une maladie ».

    « Cependant, admet l’organisation supranationale, elle comporte certains risques, comme dans le cas de la modification des génomes humains germinal et héréditaire, où les modifications du génome des embryons pourraient être transmises aux générations suivantes et modifier les caractéristiques des descendants. »  

    La généticienne Alexandra Henrion-Caude s’interroge sur twitter au sujet de ces nouvelles recommandations :

    « Alors que nous réclamons toujours de savoir si l’ARNm injecté Pfizer et Moderna modifie le génome de l’homme de façon : -uniquement transitoire (épigénétique) ? -permanente et/ou transmissible (épigénétique et/ou génétique) ? Nous sommes particulièrement inquiets que l’OMS ose des recommandations “mondiales” “visant à faire de la modification du génome humain un outil de santé publique”.

    « A tous les niveaux de la société, l’éthique est un mot vidé de toute substance… »

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info