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  • Les avocats de la djihadiste Mélina Boughedir, condamnée à 20 ans de prison en Irak, appellent Macron à la rapatrier

    Publié par Guy Jovelin le 27 août 2021

    Ses avocats exhortent vendredi dans un courrier Emmanuel Macron à organiser son retour en France. Ce week-end, le chef de l’Etat doit participer à Bagdad à une conférence régionale. « Rien ne nous semble faire échec à ce que Mélina Boughedir, âgée d’une trentaine d’années, soit remise aux autorités françaises et prise en charge par la justice », écrivent Mes William Bourdon et Vincent Brengarth, dans ce courrier consulté par l’AFP.

    Originaire de Seine-et-Marne, Mélina Boughedir avait quitté la France avec son mari pour la zone irako-syrienne en octobre 2014. Elle avait été arrêtée durant l’été 2017 à Mossoul, « capitale » durant trois ans du « califat » autoproclamé en Irak, au moment de la reprise de la ville par les troupes irakiennes. Son époux est mort lors de ces combats.

    Cette mère de quatre enfants, alors âgée de 27 ans, a été condamnée le 3 juin 2018 à Bagdad à la prison à perpétuité, équivalente à vingt ans de prison en Irak, pour avoir rejoint l’EI. Quatre mois auparavant, elle n’avait été condamnée qu’à sept mois de prison pour « entrée illégale » en Irak et déclarée libérable. Ses quatre enfants ont été rapatriés d’Irak avec son accord.

    Rappelant « ses conditions de détention particulièrement difficiles », les avocats estiment « indispensable que soit maintenu le lien entre Mélina Boughedir et ses enfants, qui sont encore mineurs, ce que ne permet pas son incarcération actuelle en Irak ». « Des raisons humanitaires militent donc en faveur de son retour, tout en permettant son jugement sur notre territoire », ajoutent-ils.

    […]

    Le Parisien via fdesouche
  • Se vacciner pour protéger les autres, c’est fini !

    Publié par Guy Jovelin le 27 août 2021

    Iris Bridier Journaliste Auteur

    On aurait presque commencé à culpabiliser, à se demander si, comme tout le monde, il ne faudrait pas finir par y passer, que sans la piqûre, on ne pourrait plus vivre en société, tels des parias.

    À quelques jours de la rentrée, on commençait à refaire peser la pression de la vaccination sur les plus jeunes dès douze ans et pourquoi pas trois ou même bébé ? Mais, enfin, les langues commencent à se délier et le temps donner un peu de recul. La bombe vient de tomber et nous vient de Martin Blachier, cet épidémiologiste star des plateaux télé toujours prompt à militer pour la vaccination obligatoire. Il y a deux mois, il affirmait, sur  : « Vous devez vous faire vacciner pour les autres […] S’il y a une petite vague épidémique en septembre ou octobre, ces gens que vous fustigez feront refermer le pays et ils y arriveront. »

    Et ce mercredi, volte-face, il reconnaît que « l’immunité collective dont on nous parle est quasiment inatteignable » et, maigre consolation sur la « vie de merde » qu’on nous avait promise, « vacciner les gens pour protéger les autres, c’est fini ». Martin Blachier ne devrait pas tarder à être rappelé à l’ordre, puisqu’il contredit le fameux mantra.

    Ce gouvernement aura définitivement faux sur toute la ligne. Ce qui était inédit, outre le fait qu’on ne devrait pas vacciner en pleine épidémie, c’était la vaccination pour les autres, mais le  n’empêche pas la transmission. Et l’on recommence à évoquer la fameuse balance bénéfice/risque individuelle… Jean-Michel Blanquer osera-t-il encore évincer des classes les élèves non vaccinés ? Les soignants seront-ils encore accusés de contaminer leurs patients ? Vraisemblablement. Mais alors que, chaque jour, le  témoigne de son inutilité voire de sa dangerosité, il devient définitivement caduc. Il faudra faire le dos rond jusqu’au quinze novembre à coups de cotons-tiges dans le nez, mais le maintenir au-delà de cette date sans aucune justification sanitaire s’avérerait encore plus totalitaire.

     

    Source : bvoltaire

  • DIMANCHE 5 SEPTEMBRE 2021 : VOUS AVEZ TOUS RENDEZ-VOUS À LA FÊTE DU COCHON PRÈS DE RENNES

    Publié par Guy Jovelin le 27 août 2021

    fête du cochon,pdf bretagne

    Comme chaque année à la rentrée, se déroulera dimanche 5 septembre, à Teffendel près de Rennes, la traditionnelle fête du cochon organisée d'une main de maître par notre ami Jean-Marie Lebraud, responsable du Parti de la France en Bretagne.

    En plein air, dans un parc privé et sécurisé, cette fête réunira toutes les forces patriotiques et non conformistes de la région. Prendront la parole, outre Jean-Marie Lebraud, Pierre Cassen, président de Riposte laïque, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, et Thomas Joly, président national du PdF.

    Une occasion rêvée de se retrouver encore plus nombreux que l'an passé cliquez ici, dans une ambiance festive et amicale, au moment où nos libertés fondamentales sont de plus en plus menacées et que se dessine un espoir nouveau à quelques mois de la présidentielle de l'an prochain.

    Nous espérons avoir aussi le plaisir de vous recevoir sur le stand de Synthèse nationale.

    S N

    fête du cochon,pdf bretagne

  • Afghanistan : une délégation française a rencontré des représentants talibans au Qatar selon leur porte-parole

    Publié par Guy Jovelin le 27 août 2021

    Une rencontre entre une délégation française et des représentants talibans a eu lieu ce jeudi 26 août 2021 à Doha, au Qatar, a annoncé le porte-parole Suhail Shaheen sur Twitter. C’est la première fois qu’une telle rencontre se produit, depuis la prise de pouvoir du mouvement islamiste en Afghanistan, il y a bientôt deux semaines.

    L’envoyé français François Richier et sa délégation ont « discuté en détail » de la situation de l’aéroport de Kaboul avec une délégation menée par le directeur adjoint du bureau politique des talibans, Sher Abbas Stanikzai, a précisé le porte-parole. Contacté, le Quai d’Orsay n’a pas encore réagi. « Chaque Afghan en possession de documents légaux pourra voyager à l’étranger et des installations appropriées seront fournies à tous les Afghans pour leurs déplacements après l’ouverture de la partie civile de l’aéroport », a insisté Suhail Shaheen, répétant une promesse déjà faite à plusieurs pays. « La paix est établie dans tout le pays, filles et garçons sont retournés à l’école et les médias fonctionnent », a-t-il encore déclaré.

    Les talibans se sont efforcés depuis leur retour d’afficher une image ouverte et modérée. Mais beaucoup d’Afghans, souvent urbains et éduqués, craignent que les islamistes n’instaurent le même type de régime fondamentaliste et brutal que lorsqu’ils étaient au pouvoir entre 1996 et 2001. Depuis leur prise de Kaboul, des milliers de personnes se massent quotidiennement devant les portes de l’aéroport afin de leur échapper. […]

    Le Point via fdesouche

  • « Nous sommes des Hongrois, pas des idiots ! »

    Publié par Guy Jovelin le 27 août 2021

    lesobservateurs

    Extrait de la conférence de presse de Péter Szijjártó au sujet de l’accueil des Afghans

    Szijjártó, ministre des Affaires étrangères, sur la question de l’accueil des migrants extra-européens, a éclairé ceux qui auraient encore eu des doutes :

    « Nous sommes des Hongrois, pas des idiots ! »

    Péter Szijjártó : En ce qui concerne les Afghans, nous n’allons accepter aucune redistribution de réfugiés, la Hongrie ne participera à aucun mécanisme de répartition.

    La Hongrie va exclusivement accueillir les Afghans qui ont servi dans les troupes hongroises. L’armée hongrois a une liste fermée d’Afghans qui ont été leurs camarades, dont la vie pourrait être en danger, nous avons décidé de les faire venir avec leurs familles. Mais personne d’autres ne viendra en dehors de cette liste.

    Lorsque l’OTAN  a déclaré qu’il fallait se retirer d’Afghanistan, Szijjártó et plusieurs autres ministres des Affaires étrangères ont demandé :

    1) Il faut faire tout le possible pour qu’après le retrait, l’Afghanistan ne devienne pas un repaire de terroristes.

    2) Il faut tout mettre en œuvre pour empêcher une nouvelle vague migratoire massive vers l’Europe.

    Il suffit de regarder une carte du monde pour comprendre ce qui va se passer. Comprendre que personne, aucun pays ne pourra stopper cette vague.

    Depuis la Turquie, il n’y a qu’un saut pour arriver aux Balkans. Et de là, un pas vers la Croatie et la Hongrie. Le souvenir de 2015 est encore frais, et il faut se rappeler qui a suivi cette période, cette pression des foules de migrants illégales. Car certains pays ont inspiré, encouragé, favorisé que ces masses se mettent en marche vers l’Europe.

    Le point de vue de la Hongrie n’a jamais changé: il faut empêcher les vagues de déferler, il faut empêcher l’arrivée des Afghans. Pour cette raison, nous ne participerons à aucun quota ou accueil obligatoire ou volontaire, nous aiderons exclusivement ceux qui nous ont aidés et l’affaire est close. Nous avons toujours été clairs à ce sujet.

     

    En ce qui concerne la défense des frontières de l’UE :

    Qui se souvient encore des réactions des pays européens, de l’UE, lorsque nous avons bâti en 2015 nos barrières à la frontière pour stopper les clandestins en 2015 ?

    Il  a une raison pour laquelle plus personne ne s’en souvient. C’est que partout des clôtures se dressent aujourd’hui. La Pologne, la Lituanie, la Grèce... tout le monde trouve maintenant que c’est la bonne décision.

    Nous n’attendons pas que les bureaucrates de Bruxelles ou les ministres des pays voisins encore en poste se souviennent, car c’est ça la politique. Mais ils pourraient s’excuser d’avoir qualifié les Hongrois d’une manière indécente, avec des termes dégradants. Ils pourraient reconnaître que avions raison.
    Nous ne pouvons pas attendre des mots d’excuse, mais les faits sont les faits.

    Et si, en 2015, Bruxelles n’avait pas été surtout préoccupé de harceler et de salir le gouvernement hongrois parce qu’il construisait cette clôture, mais avait été d’accord de faire le nécessaire avec nous pour stopper les vagues de migrants illégaux, nous ne serions pas face à de pareils problèmes aujourd’hui.

    Bruxelles a oublié ses prises de position de 2015 sur la Hongrie, mais hélas, elle n’a pas oublié les quotas obligatoires de répartition des clandestins. Ils ont juste été rebaptisés « Pacte migratoire » ou « Répartition dynamique obligatoire des migrants »...

    Mais nous sommes des Hongrois, pas des idiots, nous comprenons ce qu’il y a derrière ces bravoures grammaticales pour ne pas appeler un chat un chat.

    Les quota des réinstallation obligatoire sont toujours à l’agenda de l’UE.

    Pensons seulement à la masse que cela représente, à la foule des illégaux qui veulent débarquer. Ce ne sont pas seulement des migrants afghans. Il y a aussi toutes les régions de conflits extra-européennes, toute la région subsaharienne. De tous ces territoires ils partent massivement et se rajoutent aux vagues qui vont nous arriver dessus.

    Et en plus, Bruxelles veut encore imposer des quotas !
    Quelle sera la pression sur les frontières hongroises ?

    Nous les Hongrois, nous parlons clairement. La clôture est en place, nous allons défendre nos frontières, personne ne pourra entrer illégalement.

     

    Source: Szijjártó : « Nous sommes des Hongrois, pas des idiots ! » Le ministre des Affaires étrangères a éclairé ceux qui auraient encore eu des doutes.

    Traduction Albert Coroz pour LesObservateurs.ch