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  • Blanquer à l’Éducation nationale, la dictature en marche

    Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2021

    Blanquer à l’Éducation nationale, la dictature en marche
     

    Par Claude Meunier-Berthelot, enseignante, essayiste ♦ C’était couru d’avance ! Pour qui s’était penché sur le cas Blanquer dès sa nomination au poste de ministre de l’Éducation nationale et ne s’était pas laissé prendre à son enfumage permanent, il était clair que la dictature était en marche au sein même de l’Éducation nationale.

    C’est ainsi que ce 19 octobre 2021, il a déclaré sans ambages : « Les enseignants doivent transmettre les ‘valeurs de la république’ ou ‘sortir de ce métier’. »
    Pas moins !

    À cet effet, il prévoit un « vaste plan de formation sur 4 ans des personnels, à la laïcité et aux valeurs de la république », prenant appui sur les hommages rendus à Samuel Paty, assassiné pour avoir illustré la liberté d’expression – au programme – par la présentation d’une caricature de Mahomet. C’est précisément pour avoir appliqué la politique du gouvernement qu’il a été assassiné.
    C’est ce qui explique que, pour masquer leur responsabilité, non seulement ceux qui nous gouvernent lui rendent un hommage retentissant mais qu’en plus Jean-Michel Blanquer prend abusivement appui sur cette tragédie pour imposer une politique dictatoriale, qui plus est, non pas aux fauteurs de troubles mais aux victimes réelles ou potentielles.

    Quid des valeurs dites « de la république » ?

    La république est un mode de gouvernement – la res publica – et non un catalogue de valeurs. Néanmoins, celles dont se recommandent ceux qui nous gouvernent pourraient être louables – liberté, égalité, fraternité – si elles n’étaient outrageusement interprétées et mises en œuvre.
    Dans les faits, quelles sont-elles ?

    Vincent Peillon nous dit : « La laïcité consiste à placer le bien commun, l’égalité des droits et le respect de la personne humaine au-dessus des coutumes et des traditions… Il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel… »
    Autrement dit, il faut le dépouiller de toute attache pour en faire un zombie sans défense afin d’anéantir notre civilisation et faire un homme nouveau.

    Par ailleurs, Dominique Schnapper, à la tête d’un prétendu « Comité des sages » (sic), affirme la « nécessaire défense des valeurs républicaines pour dépasser les sentiments d’identification à des identités particulières » (notons au passage que notre « identité particulière » n’est qu’un sentiment !)

    L’homme n’ayant plus d’attaches, tous les hommes sont égaux.
    L’égalité est donc la « valeur phare » de la république de ceux qui nous gouvernent avec toutes les dérives que nous connaissons : idéologie du genre déversée aux enfants sans état d’âme, éducation sexuelle dès la maternelle « sans finalité normative de telle sorte que l’élève puisse construire son choix », lutte contre le racisme avec son corollaire, l’ouverture des frontières sans réserve, lutte contre l’antisémitisme, contre le colonialisme assassin, les traites négrières… bref ! Tous les délires mondialistes déversés à haute dose par des associations type LGBT, LICRA, SOS racisme et autres imams qui ont leur entrée pleine et entière dans les établissements dits encore scolaires, lieux où « les intervenants extérieurs ont le droit de manifester ostensiblement leurs convictions philosophiques ou religieuses » en vertu du vade-mecum de la laïcité produit pat Jean-Michel Blanquer en 2017 et auquel tout établissement doit se référer, quand dans le même temps, les enseignants qui n’enseignent plus sont condamnés au silence par le fameux « devoir dit de réserve » qui leur est imposé.

    Exit le savoir… mais uniquement pour nos enfants !

    Pour nos enfants, il n’est donc plus question de transmettre des savoirs – exit le français, la littérature française, l’histoire de nos rois, la géographie de la France et du monde… tout cela est révolu ! Nous sommes aux antipodes des recommandations de Jean Jaurès aux instituteurs dans laquelle il soulignait l’importance de connaître la géographie et l’histoire de la France, « son corps et son âme » disait-il.

    Mais cette éradication des savoirs concerne uniquement nos enfants car, dans le même temps, des structures d’excellence se développent dans les banlieues depuis plus de vingt ans, du primaire à l’université incluse, bénéficiant à plusieurs centaines de milliers d’immigrés répartis dans 1 200 réseaux d’éducation prioritaire, en métropole et outre-mer, dans des banlieues où Jean-Michel Blanquer a couronné le système par la création de 126 « cités de haute qualité éducative » bénéficiant à 700 000 enfants et jeunes de 0 à 25 ans, et également par la création de 13 000 nouvelles places d’internats d’excellence réservées aux élèves « issus de milieu modeste résidant en zone sensible » (sic) qui viennent s’ajouter aux 20 000 places créées par Jean-Michel Blanquer soi-même en 2007 lorsqu’il était recteur de l’académie de Créteil et aux 6 000 créées par Vincent Peillon en 2013 dans une implacable continuité politique, afin de procéder au grand remplacement des élites et accompagner le grand remplacement de population.

    Se soumettre ou se démettre…

    C’est le programme de Jean-Michel Blanquer à l’égard des enseignants qui éprouvent la volonté coupable de transmettre des connaissances et d’assurer en même temps une formation intellectuelle aux enfants qui leur sont confiés dans le cadre de leur métier dans la soi-disant « Ecole de la république » qui n’a plus rien d’une Ecole, à l’égard de ceux qui ne se résignent pas à la dénaturation de leur métier et de leur mission auprès des enfants et des jeunes qui leur sont confiés.

    Il faut « transmettre les valeurs de la république ou sortir de ce métier ».

    Parfait ! Monsieur le ministre ! Seulement voilà, faut-il vous rappeler qu’au fronton des mairies, trônent trois « valeurs – dites – de la république » dont la première affichée est la LIBERTE.

    Alors, nous sommes d’accord ! Appliquez, appliquons les « valeurs de la république » : rendez aux professeurs et aux parents la liberté d’éduquer, d’instruire comme ils l’entendent, rendez la liberté à ceux qui veulent réellement enseigner et qui souffrent de l’effondrement du système, dit encore scolaire, refusant d’y apporter leur caution !

    Allez jusqu’au bout de la mise en œuvre des « valeurs de la république » : donnez à ces enseignants la liberté d’enseigner dans des écoles indépendantes, donnez à chaque famille la liberté de choisir l’école de leurs enfants, la liberté leur est due : ce sont des républicains, ce principe doit leur être appliqué.

    Or vous, qu’avez-vous fait ? Vous avez fait voter en 2018, la loi Gatel dans le but d’assujettir les écoles libres, les écoles indépendantes dites « écoles hors-contrat » aux contenus et méthodes de l’Education nationale autrement dit vous voulez leur faire perdre leur liberté et leur spécificité, c’est-à-dire la marque de leur excellence car c’est ce que vous combattez plus que tout : l’excellence pour nos enfants.

    Si vous ne consentez pas à cette liberté par l’attribution du « chèque éducation », par la liberté des programmes et des méthodes, alors, Monsieur le ministre, nous sommes en droit de vous dire, nous aussi : « Laissez transmettre le savoir à nos enfants ou sortez de ce métier ! »

    Claude Meunier-Berthelot
    24/10/2021

     

    Source : polemia

  • La Pologne légalise le refoulement des migrants à ses frontières et l’expulsion immédiate des migrants illégaux (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 28 octobre 2021

    27/10/2021

    Mardi, une réforme urgente de la loi polonaise sur les étrangers entre en vigueur qui permet l’expulsion immédiate des migrants illégaux, sans même examiner leurs demandes d’asile.

    La réforme juridique permet à l’agent de l’autorité qui détient une personne entrée illégalement en Pologne depuis l’extérieur de l’Union européenne (UE) de décider de l’expulser instantanément, à l’exception des parents accompagnés d’enfants mineurs.

    Agence EFE


    14/10/2021

    Le parlement polonais a approuvé jeudi 14 octobre un amendement à la loi nationale sur les étrangers qui légalise la pratique controversée de refoulement à la frontière et permet d’ignorer une demande d’asile formulée après le passage illégal de la frontière. Un étranger interpellé à la frontière ne pourra pas entrer en Pologne et dans la zone Schengen pendant une période allant «de six mois à trois ans».

    Le parlement a aussi donné son feu vert au projet gouvernemental de construire un mur pour empêcher les migrants de franchir la frontière, un projet estimé à 353 millions d’euros. Des milliers de migrants, originaires pour la plupart du Moyen-Orient, tentent ces derniers mois, de franchir, depuis la Biélorussie, la frontière de l’UE vers la Lettonie, la Lituanie et la Pologne.

    Les autorités polonaises se sont gardé le droit «de laisser sans examen» la demande de protection internationale déposée par un étranger interpellé immédiatement après le passage illégal de la frontière (…) à moins qu’il soit arrivé directement d’un territoire où sa vie et sa liberté sont menacées.

    […]

     

    Le Figaro

  • Indépendance des juges : la Pologne condamnée à une astreinte d’1M€ par jour par la Cour de justice de l’UE

    Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2021

    Varsovie a été condamnée mercredi 27 octobre à payer une astreinte d’un million d’euros par jour pour ne pas avoir mis fin aux activités de la chambre disciplinaire de la Cour suprême, institution clé d’une réforme controversée de la justice polonaise, a annoncé la justice européenne.

    […]

    Le chef du gouvernement conservateur nationaliste polonais, Mateusz Morawiecki, s’est engagé à abolir la chambre disciplinaire, dont la suppression avait déjà été annoncée en août par Varsovie mais qui continue à fonctionner. Cet organe est accusé par Bruxelles de saper l’autonomie des magistrats.

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    Le 14 juillet, la Cour de justice de l’UE (CJUE) avait ordonné à la Pologne de faire cesser immédiatement les activités de cette chambre. Cette décision n’ayant pas été respectée, l’exécutif européen avait réclamé à la CJUE d’imposer des sanctions, estimant que «les systèmes judiciaires de l’UE doivent être indépendants et équitables». «Le respect des mesures provisoires ordonnées le 14 juillet est nécessaire afin d’éviter un préjudice grave et irréparable à l’ordre juridique de l’Union européenne ainsi qu’aux valeurs sur lesquelles cette Union est fondée, notamment celle de l’État de droit», a affirmé mercredi la CJUE, basée au Luxembourg.

    Le Figaro via fdesouche

  • Suède : Une chercheuse découvre par hasard que la plupart des viols sont commis par des immigrés, le procureur ouvre une enquête préliminaire

    Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2021

    Au début de l’année, le professeur Kristina Sundquist a déclaré à Samnytt qu’elle avait peur des représailles après avoir découvert – par hasard – que la plupart des viols en Suède sont commis par des immigrés. Aujourd’hui, après la pression exercée par le Conseil d’examen de l’éthique, un procureur a lancé une enquête préliminaire et Kristina Sundquist risque d’être poursuivie pour sa découverte, celle-ci étant considérée comme contraire à l’éthique.

    • L’affaire concerne les infractions sexuelles commises par des personnes nées à l’étranger. Elle n’a pas reçu l’autorisation de le faire, déclare à Samnytt Jörgen Svidén, chef du comité d’éthique.
    • “C’est déplorable”, s’exclame Ardavan Khoshnood, l’un des chercheurs à l’origine du rapport.

    Cela peut ressembler à un très mauvais poisson d’avril, mais pour le professeur Kristina Sundquist et le professeur associé Ardavan Khoshnood de l’université de Lund, il n’y a pas lieu de rire. Leurs recherches ont fait l’objet de poursuites, dans lesquelles ils sont accusés de mener et de publier des recherches illégales.

    En février de cette année, le rapport Swedish rape offenders – a latent class analysis. Son auteur principal est Ardavan Khoshnood, professeur associé de médecine d’urgence à l’université de Lund. L’étude est dirigée par la professeure émérite Kristina Sundquist, la chercheuse médicale la plus citée de l’université.

    Après avoir étudié plus de 3 000 condamnations pour viol prononcées entre 2000 et 2015, les chercheurs ont fait une découverte frappante : la plupart des auteurs condamnés sont des immigrés.

    • Un constat bipartisan. “L’objectif de l’étude était d’inclure tous les violeurs et de les caractériser en utilisant une analyse de classe latente. À l’époque, l’origine immigrée n’était pas incluse en tant que variable dans cette analyse, mais nous voulions voir s’il y avait d’autres facteurs tels que la criminalité, la mauvaise santé sociale, les prestations sociales, etc.”, a déclaré le professeur Kristina Sundquist à Samnytt au début de cette année.
    • “Les immigrants n’étaient qu’une variable, et c’était un résultat assez remarquable dans la mesure où il y avait beaucoup d’immigrants et de personnes nées à l’étranger dans ce groupe.”

    Le rapport suscite des réactions. Le mois suivant, le professeur Kristina Sundquist, le professeur associé Ardavan Khoshnood et leur rapport sont signalés à la Commission d’appel pour l’examen éthique (Överklagandenämnden för etikprövning). Il s’agit d’une autorité distincte relevant du ministère de l’éducation.

    La notification est faite par une doctorante de l’université de Göteborg. Le doctorant se demande, entre autres, si les chercheurs ont reçu l’autorisation éthique de traiter des “données sensibles” telles que la criminalité et l’origine afin de tirer des conclusions sur les immigrants et les viols.

    “Je ne vois nulle part qu’une approbation éthique est demandée pour étudier l’hypothèse selon laquelle les immigrants sont surreprésentés dans les statistiques des violeurs condamnés”, écrit le doctorant.

    Après avoir reçu plusieurs plaintes, le Conseil d’appel en matière d’éthique a décidé ce printemps de lancer une enquête sur les chercheurs. Kristina Sundquist et ses collègues sont soupçonnés d’avoir violé les bonnes pratiques de recherche.

    L’enquête reproche également aux chercheurs de ne pas être suffisamment évaluatifs lorsqu’ils expliquent comment leurs recherches permettront de “réduire l’exclusion et d’améliorer l’intégration”.

    Le 14 juin, l’enquête sur Kristina Sundquist et ses recherches sera confiée au ministère public.

    Jörgen Svidén est le chef du comité d’éthique. Selon lui, Kristina Sundquist n’a pas l’autorisation de mener des recherches sur les violeurs immigrés.

    • En Suède, certaines recherches nécessitent un permis d’examen éthique. Par exemple, si vous utilisez des données personnelles sensibles et que cela a été fait dans ce cas, explique-t-il à Samnytt.
    • Elle a reçu une évaluation éthique dans cette affaire, mais pas une qui couvre les données qu’elle a utilisées dans certains articles.

    Quelles données n’était-elle pas autorisée à utiliser ?

    • Il y en a plusieurs, il est donc difficile de s’y attarder. Elle n’a pas demandé ni reçu l’autorisation d’utiliser ce que nous avons soumis à l’accusation. Il s’agit de délits sexuels chez les personnes nées à l’étranger. Elle n’a pas été autorisée à le faire.

    Jörgen Svidén souligne qu’il n’est pas interdit de mener des recherches sur la criminalité des immigrants, mais que dans ce cas, il faut demander une autorisation préalable afin de pouvoir évaluer si la recherche est éthique ou non.

    • Certains se demandent si ces recherches ne devraient pas être interdites. Ce n’est pas de cela dont il s’agit. Il s’agit d’un examen éthique dans le cadre de la loi sur l’examen éthique, et selon cette loi, vous devez avoir la permission d’utiliser certaines données, et nous ne pensons pas qu’elle l’ait eue, dit-il.

     

    (…) Samnytt via fdesouche

  • Autriche : le passeport sanitaire devient obligatoire pour travailler

    Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2021

    Autriche – Suite à l’accord des sociaux-démocrates assurant une majorité gouvernementale au Bundesrat (chambre haute), l’Autriche va à son tour – comme l’Italie voisine – introduire l’obligation du passeport sanitaire au travail, et ce à partir du lundi 1er novembre – avec en pratique une période transitoire jusqu’au 15 novembre.

    Passeport sanitaire pour travailler 

    Dans la pratique, cela signifie, en vertu du décret d’application, que

    « les salariés, propriétaires et exploitants ne peuvent pénétrer sur les lieux de travail où le contact physique avec d’autres personnes ne peut être exclu que s’ils disposent d’un passeport sanitaire »,

    tandis que lesdits contacts « ne comprennent pas les cas consistant au maximum en deux contacts physiques par jour ayant lieu à l’extérieur et ne durant pas plus de 15 minutes chacun ». À partir du 15 novembre, les personnes ne disposant pas du passeport sanitaire pourront perdre leur emploi.

    Un passeport sanitaire à géométrie variable 

    Ce passeport sanitaire – appelé communément 3G en Autriche et en Allemagne (3G = Geimpft, Genesen, Getestet – Vacciné, Guéri, ou Testé négativement), peut néanmoins le cas échéant évoluer de la 3G vers la 2,5G ou la 2G en fonction du nombre de lits de réanimation occupés par des patients atteints du covid.

    Dans le cas de la 3G – actuellement en vigueur –, les autotests (Wohnzimmertests) et les tests antigéniques sont valables pour avoir le passeport sanitaire. Ces autotests, dont 10 sont délivrés gratuitement en pharmacie tous les mois à toutes personnes ayant la sécurité sociale, ont une validité de 24 heures mais n’ont pas la moindre valeur scientifique dans la mesure où personne ne peut vérifier s’ils ont été effectués comme il se doit. Dans le cas de la 2,5G, les autotests ne sont plus valables et des tests PCR sont obligatoires. Dans le cas de la 2G, seules les personnes vaccinées ou guéries ont accès au passeport sanitaire. Les tests effectués sur le lieu de travail seront gratuits,  grâce à un aménagement obtenu par les sociaux-démocrates en échange de leur accord ayant permis d’obtenir une majorité.

    Un reconfinement des non-vaccinés est envisageable

    La 3G sera en vigueur jusqu’à 300 patients covid en réanimation dans toute l’Autriche. Au-delà et jusqu’à 400 patients covid en réanimation, les autotests ne seront plus valables. De 400 à 500 patients en réanimation, les tests antigéniques ne seront plus valables (2,5G). Au dessus de 500 patients covid en réanimation, la 2G s’appliquera, et, dans ce cas, les non-vaccinés n’auront plus le droit de travailler, ni d’aller au restaurant, à l’hôtel, etc. Enfinà partir de , 600 patients covid en réanimation, les non-vaccinés seront confinés chez eux comme au printemps 2020.