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  • L'anisette des Pieds-noirs : aujourd'hui elle aura une saveur particulière...

    Publié par Guy Jovelin le 09 novembre 2021

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  • L’acteur Jim Caviezel : « Ils ne nous ôteront jamais notre liberté ! »

    Publié par Guy Jovelin le 09 novembre 2021

    Il a interprété, avec beaucoup d’âme, Jésus dans le célèbre film du réalisateur Mel Gibson, La Passion du Christ. Et a gardé de cette expérience hors du commun indubitablement une empreinte profondément chrétienne dans sa vie.

    L’acteur américain Jim Caviezel est catholique et fier de l’être. Il est aussi, dans ce monde pourri du cinéma, une star libre, qui ne cache pas sa foi.

    Le week-end dernier, à un colloque du mouvement QAnon à Las Vegas, intitulé For God & Country: Patriot Double Down, il a fait référence à un autre film fameux de Mel Gibson. Il a repris, devant la foule, la légendaire tirade de William Wallace, le héros de Braveheart, lorsqu’il s’adresse aux soldats écossais avant d’affronter l’envahisseur anglais au péril de leur vie.

    « Battez-vous et vous mourrez peut-être. Fuyez et vous vivrez, quelque temps du moins. Et un jour, sur vos lits de mort, bien des années auront passé et peut-être regretterez-vous de ne pouvoir échanger toutes vos tristes vies épargnées pour une chance, une petite chance de revenir ici et tuer nos ennemis, car ils peuvent nous ôter la vie, mais ils ne nous ôteront jamais notre liberté ! », lance celui qui, en septembre 2020, affirmait haut et fort que les catholiques américains étaient persécutés, car le confinement les empêchait d’aller à la messe.

    Au cours de ce discours, il a également déclaré :

    « Nous allons au devant de la tempête de toutes les tempêtes. Oui, la tempête est parmi nous. »

    Caviezel faisait partie des 40 orateurs qui sont montés sur scène pendant cet évènement de quatre jours qui se tenait à Las Vegas fin octobre. Parmi les autres figuraient Jason Sullivan, un ancien assistant de Roger Stone connu pour avoir travaillé sur la campagne présidentielle de Donald Trump en 2016, et le Dr Stella Immanuel, qui a fait la une des journaux après avoir affirmé que l’ hydroxychloroquine avait guéri le covid-19.

    Ferme opposant à l’avortement, Jim Caviezel milite également contre toute forme de recherche sur les cellules souches embryonnaires. « Tant pis si être pro-vie nuit à ma carrière », dit-il lors d’une conférence à Boston en 2016. « Je ne peux pas garder le silence sur la mort de tant d’enfants. » Une des raisons pour lesquelles il ne milite pas pour les injections Pfizer.

    Un cœur de brave !

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info

  • Pas de blancs dans la « pub » !

    Publié par Guy Jovelin le 09 novembre 2021

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    De Bernard Antony :

    Imaginons un pays d’Afrique noire dans lequel la publicité ne présenterait que des personnes de race blanche.

    « Impossible ! », diriez-vous : « cela n’a peut-être existé que dans des journaux de la minorité blanche de l’Afrique du Sud au temps de l’apartheid ».

    Or voici qu’hier, dimanche soir, parcourant les journaux des derniers jours, mon attention est attirée par les publicités sur pleine page dans le Figaro.

    Dans celui daté du 5 novembre consacré à la marque de vêtements et de divers colifichets  « Dolce et Gabbana », c’est la photographie du visage d’un africain noir, plutôt jeune, qui occupe toute la surface.

    Quatre pages plus loin, il s’agit d’une publicité d’État, estampillée en haut à gauche « République Française » et en haut à droite de « Santé publique – France ».

    Le texte de la « pub » consiste en une question sans doute très fondamentale, en haut à gauche : « Légumes en morceaux ou en purée ». En effet, « that is the question ! » comme dirait Shakespeare !

    En bas de page, cette sublime invitation : « Parents et futurs parents, trouvez des réponses sur « 1000 premiers jours.fr ».

    La photographie sur pleine page est celle d’un charmant bambin, tenant dans chacune de ses deux menottes un morceau brocolis ou de quelque chou-fleur, et se demandant semble-t-il dans lequel mordre en premier.

    Ce sympathique mouflet est lui aussi de race noire.

    J’ouvre ensuite le Figaro daté du 6 novembre dans lequel est une publicité sur pleine page aussi de la fondation Francis Bouygues. Là, c’est une composition toute de rouge et de noir avec la photographie d’une souriante jeune femme noire en robe rouge. Une phrase d’elle est mise en exergue : « La fondation m’a permis de réaliser mon rêve ». Et c’est signé Claire, au-dessus de quelques lignes de présentation de son brillant parcours universitaire. Claire, quoiqu’ainsi prénommée, est elle aussi de race noire.

    Je me suis alors demandé si ces trois exemples ne relevaient pas d’une stratégie publicitaire générale, fondée sur la conviction qu’il serait plus judicieux d’utiliser des personnes noires parce qu’elles s’avèreraient plus « vendeuses » que des personnes de race blanche.

    Aussi ai-je interrogé quelques-uns de mes amis bien plus compétents que moi en matière de « marketinge ». Ils m’ont affirmé qu’il s’agissait en effet d’un choix assez général de préférence ethnico-raciale, non pas du fait des journaux mais de celui des agences de publicité.

    Et ce, non pas tant en raison de ce qu’il serait prouvé que l’utilisation de photos de personnes africaines serait commercialement plus bénéfique mais bel et bien pour des raisons idéologiques. Et c’est ainsi que dans la publicité aussi le grand remplacement est en cours !

    Et ce, au nom de l’antiracisme !

    Ce choix de nature idéologique serait sans doute à rattacher au grand phénomène de la révolution transatlantique « woke » pour laquelle il y a un ennemi principal : l’homme blanc et hétérosexuels et ayant de surcroît l’audace de ne pas avoir honte de cette condition.

    Que dire de cela ? On le sait, catholique et français, je réprouve fondamentalement tous les racismes. Je professe à l’école de Jacques Bainville et de Pierre Gaxotte que « la France n’est pas une race mais une nation ». Et je rappelle quand nécessaire ( ?) qu’il y a eu de grands français de race noire ou mulâtres. Contentons-nous ici d’évoquer d’abord la haute figure de Léopold Sedar Senghor, premier président de la République du Sénégal, fier de sa nationalité française et qui fut élu à l’Académie française, écrivain ardent défenseur de la langue française et qui choisit de passer en France les dernières années de sa vie.

    Mentionnons au moins encore la grande figure de notre ami le sociologue Jules Monnerot, mulâtre guadeloupéen, qui fut un grand défenseur de l’Algérie française et qui siégea au bureau politique du Front National le plus brillant des penseurs de l’anticommunisme.

    Et faut-il dire ici que nous sommes parmi les centaines de milliers de catholiques à préférer l’admirable cardinal africain Robert Sarah au pape régnant de race blanche mais ayant odieusement trahi les catholiques de Chine ?

    À la vérité, sous le masque de l’idéologie antiraciste, c’est bien, dans la publicité un véritable « racisme en sens contraire » que l’on nous inflige par une discrimination-élimination de plus en plus systématique contre le mâle blanc si honni par les camarades islamo-gauchistes, Houria Bouteldja ou Assa Traoré.

    Avec l’AGRIF, nous combattons ainsi les racismes du temps présent : le racisme antichrétien, le racisme antifrançais et le racisme antiblanc.

     

    Source : lesalonbeige

  • Le gouvernement israélien très satisfait des services du CRIF…

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2021

    Le vice-premier ministre israélien et ministre des Affaires étrangères, Yaïr Lapid, a reçu la semaine dernière une délégation du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF).

    « Heureux de ma rencontre avec le CRIF. Une organisation importante qui représente les juifs de France, combat l’antisémitisme et contribue à renforcer les liens entre la France et Israël. Nous continuerons à agir ensemble afin de renforcer les liens entre la diaspora et Israël », a tweeté le vice-premier ministre israélien. Le gouvernement hébreu est visiblement très satisfait des services du CRIF.

    L’ambassade de France en Israël et le Consul Général de France à Jérusalem ont naturellement déroulé le tapis rouge pour accueillir cette délégation du CRIF reçue comme une mission diplomatique.

    On notera pourtant que plusieurs médias communautaires amenés à faire écho de cette visite se sont montrés très critiques à l’égard du CRIF qualifié de « controversé »  par Le Monde Juif. « Depuis plusieurs années le CRIF est contesté au sein de la communauté juive. De nombreuses voix juives (…) accusent l’organisation de confisquer la voix des Juifs à des fins politiques pour ses propres intérêts. », a notamment précisé Le Monde Juif. Ce qui n’a pas l’air de gêner le gouvernement français.

     

    Source : medias-presse.info

  • Vers une monnaie mondiale unique

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2021

    http://view.robothumb.com/leblogalupus.com/

    L’évolution vers les monnaies numériques des banques centrales (CBDC) est-elle réelle ? Et, si oui, est-ce la première étape vers une monnaie de réserve mondiale qui remplacera le dollar et l’euro comme monnaies de choix dans les positions de réserve des grandes économies ?
     

    Eh bien, oui et non.

    Avant de développer cette réponse et d’expliquer l’impact que les monnaies numériques des banques centrales auront sur le monde plus familier du change, il est utile d’en dire un peu plus sur ce que sont les monnaies numériques des banques centrales (CBDC).

    Les CBDC ne sont pas des crypto-monnaies. Les CBDC ont une forme numérique, sont enregistrées sur un grand livre (tenu par une banque centrale ou un ministère des finances) et le trafic des messages est crypté. Pourtant, la ressemblance avec les crypto-monnaies s’arrête là.

    Les grands livres de la CBDC n’utilisent pas la blockchain et les CBDC n’adoptent absolument pas le modèle d’émission décentralisée salué par la foule des cryptomonnaies. Les CBDC seront hautement centralisées et étroitement contrôlées par les banques centrales.

    Les CBDC ne sont pas de nouvelles devises. Ce sont les mêmes monnaies que vous connaissez déjà (dollars, yuans, euros, yens, livres sterling) sous une nouvelle forme, utilisant de nouveaux canaux de paiement. Elles constituent une avancée technologique, mais elles ne remplacent pas les monnaies de réserve existantes.

    Les CBDC sont actuellement introduites par les principales banques centrales du monde entier. Les pays en sont à des stades différents de déploiement. La Chine est le pays le plus avancé. Elle dispose d’un prototype fonctionnel de yuan numérique qui sera présenté lors des Jeux olympiques d’hiver de Pékin en février 2022.

    Si vous y êtes et que vous voulez acheter des billets, des repas, des souvenirs ou payer une chambre d’hôtel, vous devrez payer avec le nouveau yuan numérique en utilisant une application pour téléphone portable ou un autre canal de paiement numérique.

    La Banque centrale européenne a également avancé rapidement sur une version CBDC de l’euro. Elle n’en est pas encore au stade du prototype, mais elle a fait des progrès importants et s’en rapproche. Le Japon et les États-Unis sont en queue de peloton.

    La Fed a un projet de recherche et développement en cours avec le MIT pour étudier comment un dollar numérique pourrait s’entrecroiser avec le système de paiement en dollars existant (qui est déjà numérisé, mais sans grand livre de comptes centralisé), voire le remplacer.

    Les États-Unis ne disposeront probablement pas de leur propre CBDC avant plusieurs années, au mieux.

    Donc, oui, l’évolution vers les monnaies numériques des banques centrales est réelle. Quel est le lien avec ce que l’on appelle parfois la grande réinitialisation ? Il s’agit du mouvement vers une monnaie de réserve mondiale unique.

    Ce mouvement serait nominalement dirigé par le Fonds monétaire international, qui agirait comme une sorte de banque centrale mondiale. Toutefois, le FMI ne peut pas prendre de décisions de cette ampleur sans l’approbation des États-Unis. (Les États-Unis ont juste assez de pouvoir de vote au FMI pour opposer leur veto à toute décision importante qu’ils n’aiment pas).

    L’approbation des États-Unis nécessiterait à son tour un consensus mondial entre les principales économies, notamment la Chine, le Royaume-Uni, l’Allemagne, la France, l’Italie et d’autres membres du G7 et du G20.

    Cette volonté de créer une véritable monnaie mondiale impliquerait la création d’un droit de tirage spécial (DTS) numérique. Les DTS sont émis par le FMI aux nations membres et peuvent être émis à d’autres institutions multilatérales telles que les Nations Unies.

    En fait, le FMI dispose d’une presse à imprimer aussi puissante que celles de la Fed et de la BCE et peut inonder le monde de sa monnaie mondiale. Le remplacement du dollar impliquerait une réunion et un accord similaires à l’accord original de Bretton Woods de 1944. Cet accord pourrait prendre de nombreuses formes. Néanmoins, le processus serait conforme à ce que beaucoup appellent le Grand Reset.

    Ce processus est en cours depuis 1969, date à laquelle le DTS a été créé. Plusieurs émissions de DTS ont été distribuées entre 1970 et 1981, puis aucune n’a été émise jusqu’en 2009, à la suite de la crise financière mondiale de 2008. Une nouvelle émission a été distribuée au début de cette année.

    Les élites mondiales considèrent la pandémie de COVID et l’alarme climatique comme un cheval de Troie à deux têtes qui peut être utilisé pour imposer les DTS à une population mondiale qui s’est soudainement habituée à suivre les ordres du gouvernement.

    La récente réunion COP26 de l’élite des alarmistes climatiques et des chefs d’État à Glasgow a mis en évidence l’utilisation des banquiers centraux et de la réglementation financière pour faire avancer le programme alarmiste en supprimant les services de prêt et de souscription aux entreprises énergétiques qui ne font pas la promotion des énergies renouvelables ou qui poursuivent l’exploration pétrolière et gazière .

    Donc, oui, la tendance vers une monnaie mondiale unique est réelle aussi.

    Cependant, les choses ne se passent pas si vite dans les cercles élitistes. Même Bretton Woods a mis plus de deux ans à être conçu et cinq autres années à être mis en œuvre, même sous la contrainte de la Seconde Guerre mondiale. Le passage de la livre sterling au dollar américain comme principale monnaie de réserve a pris trente ans, de 1914 à 1944. Comme on dit, c’est compliqué.

    À un certain niveau, il n’y a pas de changement immédiat. Un dollar CBDC reste un dollar. Un euro CBDC reste un euro. En l’absence d’un nouveau régime de taux de change fixe de type Bretton Woods, ces monnaies continueraient à fluctuer les unes par rapport aux autres. Nos analyses se poursuivraient comme avant.

    Néanmoins, trois changements majeurs pourraient résulter du grand reset.

    La première est qu’un nouveau régime monétaire mondial serait l’occasion de dévaluer toutes les grandes monnaies afin de favoriser l’inflation et de voler la richesse des épargnants. Toutes les monnaies ne peuvent pas être dévaluées par rapport à toutes les autres monnaies en même temps ; c’est une impossibilité mathématique.

    Pourtant, toutes les monnaies pourraient être dévaluées simultanément par rapport à l’or. Cela pourrait facilement faire grimper le prix de l’or à 5 000 dollars l’once ou beaucoup plus pour atteindre l’inflation souhaitée. L’EUR/USD pourrait rester autour de 1,16 $, mais l’EUR et l’USD vaudraient beaucoup moins lorsqu’ils seraient mesurés en poids d’or. Il s’agirait d’une version accélérée de ce qui s’est produit par étapes entre 1925 et 1933, entre 1971 et 1980, et à nouveau entre 1999 et 2011.

    Le deuxième changement serait que les CBDC permettent d’imposer beaucoup plus facilement des taux d’intérêt négatifs, des confiscations et des gels de comptes à certains ou à tous les titulaires de comptes. Cela peut être utilisé à de simples fins politiques ou comme un outil de l’État de surveillance totale. La surveillance des comportements incorrects tels que définis par le Parti communiste est le véritable moteur du yuan numérique, plus que toute aspiration à un rôle de monnaie de réserve du yuan.

    Le troisième changement serait l’émission généralisée de DTS et leur adoption comme seule monnaie de réserve mondiale. Un nouveau Bretton Woods pourrait obliger les pays à détenir 100 % de leurs réserves en DTS, et les grandes entreprises pourraient être contraintes de tenir leurs comptes en DTS. Cela pourrait conduire à un régime de taux de change fixes avec une parité basée non pas sur l’or mais sur les DTS.

    Tous ces changements sont en cours. Il reste à voir s’ils se dérouleront sur des années ou sur quelques mois seulement. Les résultats exacts sont incertains. Ce qui est certain, c’est que je suivrai de près l’évolution de la situation et que je vous garderai en tête de la courbe du pouvoir alors que les élites poursuivent leur poussée vers la monnaie numérique, la monnaie mondiale et la fin de l’argent liquide.

    Traduction du Daily Reckoning par Aube Digitale

    « Il n’est pas une idée née d’un esprit humain qui n’ait fait couler du sang sur la terre. » — Charles Maurras, La Dentelle du Rempart (1886-1936)