Publié par Guy Jovelin le 11 novembre 2021
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Le 10 du mois, il reste 55 euros en moyenne pour les Français les plus modestes
Publié par Guy Jovelin le 11 novembre 2021
Les « dépenses contraintes » tombent majoritairement avant le 10 du mois, pour une grande partie de la population.
55 euros pour finir le mois
Le 10 octobre dernier, il ne restait plus que 55 euros en moyenne sur le compte en banque des foyers les plus modestes. C’est en tout cas ce que révèle le nouvel indicateur lancé conjointement par RMC et la société Finfrog, établi sur un panel de 7.500 personnes gagnant moins de 2.000 euros par mois.
Selon l’organisme de microcrédit Finfrog, deux tiers des dépenses qui sont réalisées par prélèvement tombent avant le 10 de chaque mois. En moyenne, il ne reste après cette date que 94 euros aux Français les moins rémunérés pour boucler la fin du mois. Ces « dépenses contraintes » qui plombent le budget peu de temps après la réception du salaire sont d’origines multiples : remboursement de crédit, factures de téléphone, d’assurance, de gaz et d’électricité… Également, le loyer représente aujourd’hui la plus forte dépense des Français, et peut même atteindre plus de 40% du budget d’un ménage.
Via : lemediapour
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Place de la Concorde : la plaque rappelant son histoire, dont les meurtres de Louis XVI et Marie-Antoinette, supprimée par la municipalité d’Hidalgo
Publié par Guy Jovelin le 11 novembre 2021
Le maire gauchiste de Paris, la folle furieuse Anne Hidalgo, raffole des plaques : elle en fait poser régulièrement (par exemple pour Cleews Vellay, l’obscur ancien président de l’antenne parisienne du groupuscule homosexualiste Act Up-Paris, ou encore Guy Hocquenghem, écrivain homosexualiste, journaliste à Libération et militant pédomane).
Mais elle en fait aussi supprimer. D’innocentes et précieuses. En douce…
Un Parisien raconte :
« Cette plaque était posée devant l’obélisque place de la Concorde côté sud. Elle fut enlevée. Je croyais que c’était pour un nettoyage. Elle fut remplacée par une plaque non gravée, comme une plaque pour boucher une canalisation, un trou. Une plaque très sobre et ambiguë fut posée au nord-ouest de la place entre les statues des villes Rouen et Brest.
Maintenant il n’y a plus rien nulle part sur la place.
Le manège a duré une dizaine de mois en 2020 commençant pendant le premier confinement.
J’étais sur place quasiment tous les jours car c’était mon lieu de promenade avec mon attestation. J’ai vu l’évolution. Mme la maire de Paris a profité des confinements pour gommer notre histoire. En 2021 ce fut bouché par du ciment et maintenant on ne distingue vraiment rien. Notre histoire gommée. » -
Sanglots post-apartheid en Afrique du Sud
Publié par Guy Jovelin le 11 novembre 2021
La chronique de Philippe Randa
L’apartheid a été officiellement aboli en Afrique du sud en février 1991 par le président (blanc) Frederik De Klerk. Nelson Mandela prenait alors les rênes du pays à la tête de son parti l’ANC (Congrès national africain)… et on allait voir ce qu’on allait voir, n’est-ce pas !
Après la disparition de son leader historique, l’ANC a toujours conservé le pouvoir, mais peut-être plus pour très longtemps. Il pourrait devenir minoritaire lors des élections municipales de ce début de mois.
Usure du pouvoir ? Pas seulement… Miné par la corruption, son bilan est explicite : selon Le Monde, « le chômage atteint des records à plus de 30 %, dans une économie déjà en récession avant la crise du Covid-19 (…) En juillet, le pays a connu une vague d’émeutes et de pillages qui ont fait plus de 350 morts (…) Des années de mauvaise gestion et de corruption généralisée ont laissé à l’abandon de nombreux services publics en Afrique du Sud, où se multiplient les délestages de courant ou de fourniture d’eau, au point d’en affecter même la campagne électorale. »
Situation que l’encyclopédie Wikipedia résume assez brutalement : « En 2019, l’économie sud africaine est à bout de souffle. Les indicateurs économiques sont dans le rouge. Les raisons sont une croissance économique nulle et des passifs considérables. Le chômage est au plus haut à 27,7 %. La monnaie est dévaluée et l’endettement croissant (à plus de 60 % du PIB). »
On se doute que si la situation devait continuer de se dégrader – et rien ne laisse supposer le contraire –, certains n’hésiteront sans doute pas à en rejeter la responsabilité sur les Blancs.
Et il sera sans doute vain de faire remarquer qu’ils ne dirigent plus le pays depuis trois décennies et que 800 000 d’entre eux l’ont quitté entre 1995 à 2005 (« Ces chiffres sont encore plus impressionnants si on les rapporte à la population sud-africaine : seulement 10 % des 49 millions de Sud-africains sont blancs », rapporte le site slate.fr).
Ils ne sont certes plus que 8,4 % de la population, mais ce sera sans doute amplement suffisant pour porter le chapeau… Comment pourrait-il en être autrement en ce XXIe siècle où l’homme blanc est coupable, forcément coupable, de tous les maux…
Source : synthesenationale
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Migrants : “En raison des risques de l’arrivée massive d’étrangers pour la cohésion de la société”, la Lituanie déclare l’état d’urgence pour la première fois depuis son indépendance
Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2021
La Lituanie a instauré l’état d’urgence pour un mois le long des 670 kilomètres de sa frontière avec la Biélorussie, par crainte d’un nouvel afflux de migrants organisé par le président biélorusse Alexandre Loukachenko.
À la quasi-unanimité, le Parlement a approuvé mardi [9 novembre] l’instauration de l’état d’urgence en Lituanie, “en raison des risques de l’arrivée massive d’étrangers pour la cohésion de la société, impossible à assurer […] sans appliquer de mesures concrètes exceptionnelles”, écrit le site 15min.lt en citant un document gouvernemental.
“L’état d’urgence, proposé par le gouvernement, est introduit pour la première fois dans l’histoire de la Lituanie depuis l’indépendance”, en 1991, souligne le média public LRT. Les déplacements seront limités dans les municipalités situées à proximité de la frontière. Dans les centres d’hébergement des migrants, “le réseau mobile et Internet seront bloqués”, précise 15min.lt.
Dès les premières heures de l’état d’urgence, Ingrida Simonyte, la Première ministre, s’est déplacée à Kapciamiestis, ville frontière du sud de la Lituanie. “Les sanctions qui toucheront les personnes et les entités organisant ce flux de migrants en Biélorussie sont une avancée très importante, et ce ne sera pas la dernière”, a déclaré la ministre, citée par LRT. Selon les gardes-frontières lituaniens, le nombre de personnes tentant de traverser la frontière augmente depuis plusieurs jours. […]