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  • [VIDEO] Le témoignage poignant d’Éric Lefèvre, dont l’épouse est décédée après avoir été vaccinée

    Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2021

    L’animateur de CNews confesse recevoir des milliers d’appels de Français voulant témoigner. Invité ce matin sur Cnews dans l’émission L’Heure des pros, voici le témoignage poignant d’Éric Lefèvre, dont l’épouse Stéphanie, 48 ans, est décédée après avoir été vaccinée.

    Stéphanie âgée de 48 ans était en pleine santé selon son mari, une semaine après avoir reçu la deuxième dose du vaccin, des symptômes des effets secondaires se sont apparues, et après un mois, elle est décédée.

    « Je suis sous le choc, cela a été très rapide, très violent. Mon épouse était en pleine forme. On rentrait de vacances et tout s’est passé très vite. Quand on voit qu’il y a très peu de cas en France et que là on constate, puisqu’on se réunit avec un collectif, qu’en quelques jours on a identifié cinq cas. Je trouve qu’il est raisonnable d’avoir un doute et de se poser la question de savoir si cela est lié au vaccin. L’autopsie est en cours à la Pitié-Salpêtrière. »

  • Rapport fracassant de l’ATIH : les patients covid n’ont représenté que 2% des patients hospitalisés en 2020

    Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2021

    L’Agence technique de l’Information sur l’Hospitalisation (ATIH) a publié le 28 octobre 2021 un rapport édifiant concernant le poids des patients covid sur les hospitalisations en France en 2020. Et le résultat est sans appel : ils n’ont représenté que 2% des patients totaux !

    C’est un véritable coup de tonnerre dans le narratif officiel asséné depuis maintenant 18 mois. En effet, l’officielle agence ATIH vient de publier un rapport très instructif dans lequel on découvre que les patients covid n’ont pas pesé autant en 2020 sur les services hospitaliers que le gouvernement et les médias mainstream ont bien voulu nous faire croire.

    Le narratif officiel concernant la gravité du Covid est-il en train de s’effondrer ? C’est ce que suggère ce rapport de l’ATIH, organisme public officiel en charge de tous les système d’information des hôpitaux du pays.

    Qu’est-ce que l’ATIH ?

    L’ATIH c’est l’agence qui gère tous les systèmes d’information des hôpitaux français, elle est au courant de toutes les hospitalisations qui ont lieu sur le territoire et de leurs raisons. Sur sa page de présentation, on apprend que l’ATIH est « un établissement public de l’État à caractère administratif placé sous la tutelle des ministres chargés de la santé, des affaires sociales et de la sécurité sociale ».

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    Dans son rapport intitulé « Analyse de l’activité hospitalière 2020 – Covid-19 » on apprend que le poids des patients covid dans l’activité hospitalière n’a été que de 2% ! On apprend également que « au cours de l’année 2020, les patients COVID représentent 5% de l’ensemble des patients pris en charge en service de soins critiques ».

    Voir dans cet extrait, Martin Blachier sur LCP (à partir de 56mn) expliquer les contours de ce rapport devant un plateau de journalistes médusés :

    Après 2 confinements, des mesures sanitaires drastiques, et 200 milliards d’euros de coûts à cause de toutes ces décisions prises, l’ATIH nous confirme que le Covid n’a pas été l’épidémie catastrophique qu’on a voulu nous faire croire. Les médias se gardent bien de mettre cette information à la Une de leurs journaux. Le poids de la désinformation continue de s’exercer dans le paysage audiovisuel français…

    source : https://www.nexus.fr

  • Le district de Waterford-City est le plus contaminé d’Irlande avec 99,7% de « vaccinés »!

    Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2021

    Auteur : 

    Va t-il bientôt falloir changer le slogan « Se vacciner, se protéger » pour « Se vacciner, se contaminer »?

    C’est ce que peut faire penser un article du Irish Times du 21/10/2021, ainsi que la consultation des données les plus récentes.

    La zone électorale sud de la ville de Waterford avait le 21/10/2021 le taux d’incidence du coronavirus le plus élevé d’Irlande sur les 14 jours précédents (1 486 cas pour 100 000 habitants) soit 743 pour une semaine et presque 4 fois le seuil d’alerte en France) alors que l’ensemble du comté avait le taux de « vaccination » le plus élevé d’Irlande, soit 99,7% de la population adulte totale.

    Plus étonnant encore, le comté de Waterford (116 176 habitants lors du recensement de 2016), auquel appartient la ville, a été auparavant (avant la « vaccination » de masse) l’un des comtés les moins infectés d’Irlande. Il n’est donc pas illogique de penser que la « vaccination » a fortement augmenté le taux de contamination. Et pourquoi tant « vacciner » un comté qui avait été l’un des plus épargnés de l’ Irlande?

    Ce n’est guère mieux dans le district adjacent de Tramore-Waterford City West qui avait un taux de contamination de 1 121 cas pour 100 000 habitants sur 14 jours, contre 493 pour 100 000 habitants pour l’ensemble de l’Irlande.

    Waterford City East avait un taux de 918 nouveaux cas pour 100 000 habitants. Les trois autres zones électorales du comté de Waterford avaient tous un taux d’incidence supérieure à la moyenne irlandaise sur cette période. Sur l’ensemble du comté, il y a eu 1086 cas sur les 14 jours précédents, soit un taux de 934,8 pour 100 000 habitants.

    A la date du 11/11/2021, la situation s’est encore aggravée sur l’ensemble du comté avec 1394 cas sur les 14 derniers jours, soit un taux de 1199,9 pour 100 000 habitants.

    En résumé: protégez-vous… ne vous faites pas « vacciner » avec ces faux vaccins mal conçus et mal testés!

    Et prions pour que les tribunaux s’ouvrent enfin pour juger les coupables.

    Il est grand temps.

    Gontran Paume

     

    Source: https://opendata-geohive.hub.arcgis.com/datasets/27d401c9ae084097bb1f3a69b69462a1_0/explore?location=53.243320%2C-8.329624%2C7.00&showTable=true

  • Chronique des cinglés

    Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2021

    Chronique des cinglés

    Le Prix de thèse 2021 du Défenseur des droits a été décerné à Mme Elsa FAVIER, sociologue au centre Maurice-Halbwachs, pour sa thèse de doctorat en sciences sociales et genre

    “Enarques et femmes. Le genre dans la haute fonction publique”.

    Réalisée sous la direction de Mme Laure BERENI, et soutenue le 30 novembre 2020 à l’école des Hautes études en sciences sociales (EHESS), la thèse de Mme Elsa FAVIER éclaire un bouleversement majeur des dernières décennies : la féminisation des élites administratives. La part des femmes dans la haute fonction publique d’Etat est ainsi passée de 12 à 40 % entre 2001 et 2017.

    A partir d’une enquête ethnographique, statistique et sociohistorique, elle explore l’évolution de l’accès des femmes à des positions de pouvoirs au sein de l’Etat et les logiques sociales qui sont à l’œuvre à travers les profils des femmes qui y accèdent et la manière dont elles s’approprient des rôles professionnels historiquement construits comme masculins.

    Elle avait déjà reçu en juin dernier le Prix de Thèse PSL en Sciences Humaines et Sociales 2021.

    ***********

    M. Omar DIDI, co-président et responsable international du MAG Jeunes LGBT, Mouvement d’affirmation des jeunes lesbiennes, gais, bi et trans, trésorier et co-rapporteur de la commission inclusion/diversité du Forum Français de la Jeunesse (FFJ), membre du conseil scientifique et d’orientation de l’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire (INJEP), a été nommé président du Conseil d’orientation des politiques de jeunesse.

    Il succède à Mme Elsa BOUNEAU, directrice de la Fondation du protestantisme, ancienne présidente de la Fédération du scoutisme Français, ancienne membre de la section de l’aménagement durable des territoires du Conseil économique, social et environnemental (CESE), qui assumait cette présidence depuis février 2019.

    Source : lesalonbeig

  • A 14 semaines, l’avortement consiste à démembrer un corps formé et à écraser une tête déjà ossifiée

    Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2021

    A 14 semaines, l’avortement consiste à démembrer un corps formé et à écraser une tête déjà ossifiée

    Nicolas Tardy-Joubert, président de la Marche pour la Vie, a écrit une tribune à Emmanuel Macron :

    Le Président du groupe LREM à l’Assemblée Nationale, Monsieur Christophe Castaner, souhaite faire examiner, à nouveau, d’ici fin novembre une proposition de loi, pour étendre le délai d’une IVG de 12 à 14 semaines, supprimer la clause de conscience spécifique, ou permettre la réalisation d’IVG chirurgicales par les sage-femmes notamment.

    Nous sommes consternés de voir que, malgré une situation démographique préoccupante dans notre pays, certains idéologues n’envisagent le droit des femmes qu’avec une extension de la durée légale d’autorisation de l’avortement. Force est de constater que l’avortement, alors qu’il devait rester une exception dans la loi Veil, que nous ne pouvons approuver, est devenu une méthode de contraception comme une autre. Il nous semble urgent de revoir les politiques d’accueil de la vie. Vous avez proposé de faire des 1000 premiers jours de l’enfant une priorité de l’action publique, ce dont nous nous réjouissons. Mais il est aussi important de penser à l’accueil de la vie pendant toute la période gestationnelle. Les députés de votre majorité devraient plutôt travailler pour que l’avortement ne devienne jamais une fatalité pour des raisons économiques.

    Le cœur d’un bébé bat à partir de 6 semaines. De 12 à 14 semaines la taille du fœtus passe de 8,5 à 12 cm. A 14 semaines, l’avortement consiste à démembrer un corps formé et à écraser une tête déjà ossifiée. Nous connaissons, par ailleurs, les risques que l’avortement crée en matière de santé pour la femme, qu’ils soient psychologiques ou physiques. Le président du collège national des gynécologues et obstétriciens français, indique lui-même que « plus l’IVG est tardive, plus elle est dangereuse pour la femme ». Cet allongement est rejeté par l’immense majorité des professionnels. Vous avez d’ailleurs signifié votre opposition à l’extension de la durée légale de 12 à 14 semaines, dans le cadre d’un interview au magazine Elle, le 1er juillet dernier.

    Nous en appelons à votre conscience, à votre humanité, à votre autorité. Nous vous prions de faire retirer ou rejeter cette proposition de loi inscrite par votre majorité pour discussion à l’Assemblée nationale fin novembre. Nous vous demandons de mettre en œuvre une politique de prévention de l’avortement, en ligne avec les conventions internationales que la France a signées.

    Nous sommes à votre disposition pour vous rencontrer et vous prions de croire, Monsieur le Président de la République, en l’expression de notre haute considération.

     

    Source : lesalonbeige