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  • Un rejet franc du voile, des quotas et des lieux de prière dans les entreprises en France

    Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2021

    Plus de 800 salariés d’entreprises privées (de plus de 50 personnes) ont été sondés par l’Ifop pour Havas Paris. Cette étude, dévoilée par l’Opinion, analyse leur connaissance et leur adhésion aux sujets regroupés sous le vocable «woke». Des résultats qui bousculent nombre d’idées reçues.

    L’Opinion via fdesouche

  • Paris : des militants LREM agressés par les antifas de la Jeune Garde et de Solidaires à Barbès

    Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2021

     

  • Covid-19 : non, 80% des hospitalisations ne concernent pas des non vaccinés

    Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2021

     

    Le 3 décembre, CheckNews a voulu vérifier les propos tenus par l’infectiologue Karine Lacombe devant le Sénat le 30 novembre, affirmant : «Depuis que l’on a accès à la vaccination, le profil [des personnes hospitalisées] a profondément changé […] 80% des personnes qui arrivent à l’hôpital avec une Covid-19 ne sont pas vaccinées, et ce sont celles majoritairement qui passent en réanimation et qui décèdent.»

    Se fiant notamment aux chiffres de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), le média affirme que «depuis l’extension de la couverture vaccinale en France (75% de la population, dont 90% des adultes), les rapports se sont – mathématiquement – modifiés».

    «Concernant les hospitalisations conventionnelles, les non-vaccinés représentent désormais 43% des entrées, contre 57% pour les vaccinés», écrit d’ailleurs CheckNews, tableau à l’appui.

    En réanimation, le vérificateur des informations souligne que la part de vaccinés et non-vaccinés est semblable (50%). «Et pour les décès, enfin, les non-vaccinés, là aussi, deviennent minoritaires (46%)», dévoile CheckNews.

    Néanmoins, le site tient à mettre en évidence un constat : «Si les vaccinés, en valeur absolue, sont désormais majoritaires dans les entrées à l’hôpital, ils ont toujours sept fois moins de risques d’être hospitalisés que les non-vaccinés.»

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Un officier de gendarmerie qui refuse l’injection expérimentale est sanctionné

    Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2021

    Alors que les policiers, dont Macron a trop besoin pour réprimer les manifestations pour se les mettre à dos, sont exemptés de la « vaccination » anti-covid, les gendarmes y sont obligés. Résister à cette injonction et refuser de se faire inoculer cette injection expérimentale anti-covid à ARNm coûte cher. La tolérance de la République immigrationniste, altruiste, bien-pensante, accueillante, a ses limites…

    Ainsi, un chef d’escadron commandant la compagnie de gendarmerie de Langon, en Gironde, a été sanctionné pour avoir refusé de se faire vacciner contre le covid-19e. Il a été relevé de son commandement opérationnel et muté « sur un poste » sans « contact avec le public » à Paris.

    À la tête d’un effectif de 150 gendarmes, cet officier supérieur de 32 ans a été d’abord sanctionné de dix jours d’arrêt puis muté vers la Direction générale de la gendarmerie à Paris, « sur un poste où il n’est plus en contact avec le public » a indiqué la gendarmerie en Gironde, confirmant une information du journal Sud Ouest.

    Cette sanction liée à un refus de vaccination est « un événement rare » dans la gendarmerie car celle-ci est « peu confrontée au problème », est-il précise dans la plus part des médias qui traitent de cette affaire.

    Depuis le 15 septembre, les gendarmes affectés sur le terrain ou au contact du public doivent, comme le personnel soignant et les pompiers, être complètement vaccinés contre le Covid-19, selon une note de la Direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN) consultée par l’AFP. Selon Sud-Ouest, un nouveau chef d’escadron de la compagnie de Langon a été nommé et prendra ses fonctions début janvier. »

    Ainsi que l’observe Le Courrier des stratèges « chez les policiers, qui n’ont pas le statut militaire, les chefs de service étaient ‘’invités à poursuivre l’incitation à la vaccination’’ des agents placés sous leur autorité, selon un courrier envoyé le 17 août aux préfets par le secrétaire général du ministère de l’Intérieur, Jean-Benoît Albertini. Les gendarmes (et les soignants) ont apprécié le message, eux qui n’ont eu que sanctions comme échange social ! Maintenant, il sera intéressant de voir la réaction des gendarmes et militaires face à la situation de ce Chef d’Escadron… Mentionnant par ailleurs les sanctions, Emmanuel Macron nous fait comprendre que ceux qui sont chargés de punir les non-vaccinés, peuvent être justement, des non-vaccinés eux-mêmes. »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • 5 décembre : anniversaire de la naissance du franc

    Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2021

    N’oublions pas notre monnaie nationale, outil indispensable de notre souveraineté et de notre santé économique. Pas de nation libre sans sa monnaie propre, évidemment.

    L’espoir de la retrouver prochainement n’a rien de naïf, même si aucun gros parti ne le défend désormais.

    Le 5 décembre 1360, les premiers francs sont frappés à Compiègne, pour aider à payer la rançon du roi Jean II de France (capturé par les Anglais le 19 septembre 1356 à la bataille de Poitiers).
    Dénommé le « franc à cheval », il s’agit en fait d’un écu pesant 3,87 grammes d’or fin et valant une livre tournois ou 20 sols.
    Le roi y est représenté sur un destrier, armé d’un écu à fleur de lys et brandissant l’épée, avec l’inscription circulaire « Iohannes Dei gratia Francorum Rex » (« Jean, par la grâce de Dieu, Roi des Francs »).

    Au dos, on lit sur le pourtour « XPC VINCIT • XPC REGNAT • XPC INPERAT », vieille acclamation carolingienne signifiant « le Christ vainc, le Christ règne, le Christ commande ».
    Ça a plus de gueule que les monnaies républicaines, non ?

    Bien que le mot « franc » signifie « libre », il est plus probable que le nom de la monnaie vienne tout simplement de la première inscription.
    Le roi, lors de son retour, instituera officiellement cette monnaie, avec en ligne de mire la fin des dévaluations qui se sont répétées durant la première moitié du siècle :
    « Nous garderons monnaie stable qui puisse demeurer en un état le plus longuement que l’on puisse bonnement et qui ne grèvera point notre peuple ».

    On est loin des préoccupations des États et des banques d’aujourd’hui…

    Source : L’Héritage