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  • Lyon : maîtrisé et frappé par ses victimes, Walid, le voleur à l’arraché, finit par appeler la police à l’aide

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2022

    Ivre, il avait demandé de la cocaïne à un groupe de trois hommes avant d’essayer d’arracher la chaîne en or de l’un d’eux. Walid Bouzidi a été condamné à neuf mois de prison, avec maintien en détention, pour cette tentative de vol avec violence, sans incapacité totale de travail, commise vers 4 heures du matin, dimanche, en Presqu’île de Lyon.

    (…) Le Progrès

    Il était environ 4h du matin lorsqu’un homme ivre approche un groupe de trois hommes dans le centre-ville de Lyon. Le trentenaire leur demanda alors s’ils avaient de la cocaïne. Profitant de la situation, il tentait d’arracher la chaîne en or de l’un d’entre eux puis de prendre la fuite.

    Mais il était immédiatement rattrapé, plaqué au sol et frappé par ses victimes. Le voleur appelait alors la police à l’aide, une patrouille passant par là se décidait à intervenir pour l’interpeller.

    Jugé dans la semaine, le trentenaire au casier judiciaire rempli, présenté comme un toxicomane, a de nouveau été condamné. Et plus lourdement cette fois puisqu’il était en état de récidive, deux semaines seulement après être sorti de prison pour des faits similaires.

    Il a écopé de 9 mois de prison et a été écroué. A sa sortie, il devra respecter une interdiction de paraître dans la Métropole de Lyon durant 3 ans.

    Lyon Mag

  • Alès (30) : après un refus d’obtempérer, fracture du bras et 41 jours d’ITT pour une  jeune policière rouée de coups

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2022

    Trois policiers ont été blessés, dont deux sérieusement, suite à un refus d’obtempérer à Alès (Gard). Une fonctionnaire, arrivée récemment de région parisienne, a le bras cassé et s’est vue délivrer 41 jours d’interruption temporaire de travail. Pour les trois policiers, il s’agissait d’une banale intervention. Le simple contrôle d’un véhicule suspect. Pourtant, l’affaire va dégénérer. 

    Vers quatre heures du matin ce samedi 1er octobre, dans un quartier du Rieu, proche de la rocade, sur le chemin de Saint-Etienne-d’Alensac, trois policiers en patrouille repèrent un véhicule au comportement suspect. Les fonctionnaires veulent pratiquer un contrôle pour s’assurer que tout est conforme. à la vue du véhicule de police, le véhicule suspect, dans lequel ont pris place quatre hommes, prend la fuite et disparaît.

    Les policiers se lancent à sa recherche. Soudain, le véhicule se présente face à eux. étonnamment, la voiture stoppe brutalement, possiblement en panne, à quelques mètres de l’équipage. Les policiers s’approchent de la voiture et procèdent au contrôle du conducteur. Celui-ci est alcoolisé. Au moment où les agents s’apprêtent à l’interpeller, les trois autres passagers s’opposent à son arrestation. Le ton monte, les insultes et les menaces fusent.

    Rapidement, les policiers sont pris à partie. Une fonctionnaire reçoit un coup au niveau du poignet. Ses collègues sont aussi frappés. Faute de renforts, les agents réclament l’assistance des gendarmes du peloton de surveillance et d’intervention (PSIG) de la compagnie d’Alès.

    Les quatre individus sont finalement maîtrisés et placés en garde à vue. à l’issue de l’intervention, la policière s’est rendue à l’hôpital d’Alès où la radio a révélé une fracture du radius. Son ITT est fixée à 41 jours. La jeune policière, arrivée récemment de région parisienne, est mère d’un enfant de trois ans. Pour l’autre policier roué de coup, l’ITT est de deux jours. Le dernier est plus légèrement touché.

    Le syndicat Unité SGP police a vivement commenté cette nouvelle agression, et souligné la problématique du manque d’effectif au commissariat d’Alès. […]

    Midi Libre via fdesouche

  • En ce Dimanche, prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2022

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  • Gironde : des malfaiteurs roumains volaient des moteurs de bateaux, 320.000 euros de préjudice

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2022

    Le 28 septembre, la gendarmerie a interpellé six Roumains impliqués dans une série de vols d’embases et de moteurs de bateau. Deux d’entre eux ont été écroués

    Il aura fallu un an d’enquête et de longues nuits de patience aux enquêteurs de la gendarmerie pour suivre les périples d’une bande organisée de malfaiteurs roumains spécialisés dans les vols d’embases et de moteurs de bateau, mais aussi de matériel électroportatif très haut de gamme. Depuis le mois de septembre 2021, les gendarmes de la section de recherches (SR) de Bordeaux, en collaboration avec les militaires de la compagnie de Langon-Toulenne, n’ont pas ménagé leurs efforts pour identifier et interpeller les suspects qui rayonnaient sur plusieurs départements du littoral Atlantique, de la Gironde à la Loire-Atlantique.

    Les voleurs domiciliés à Langon et La Réole ont écumé la Nouvelle-Aquitaine et réalisé de très nombreux raids nocturnes. Parfaitement organisés, très mobiles, ils procédaient tout d’abord à de nombreux repérages avant de passer à l’action chez des commerçants spécialisés dans le motonautisme, notamment sur le bassin d’Arcachon, ou dans le matériel de bricolage professionnel. Ils passaient par les toits, neutralisaient les systèmes d’alarme, découpaient des grillages pour s’introduire dans les magasins et dérober moteurs, embases et autres outils de valeur.

    320 000 euros de préjudice

    La marchandise récupérée et discrètement stockée était ensuite confiée à des transporteurs pour être acheminée et vendue en Roumanie. À l’heure actuelle, le préjudice est évalué à plus de 320 000 euros.

    […]

     

    Sud-Ouest via fdesouche

  • Chine. Bouter les étrangers hors du pays ?

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2022

    Beaucoup d’entreprises installées de longue date en Chine croient percevoir un climat des affaires de plus en plus hostile pour elles.

    La Chine aux Chinois : serait-ce le message des autorités centrales à l’encontre des entreprises étrangères de tout poil ? Le débat fait rage au sein des multinationales. Il faut dire qu’à Shanghai, dans le petit monde des expatriés, la rentrée a été rythmée par les annonces de remplacement d’étrangers à la tête de filiales de fleurons industriels européens par des dirigeants chinois. Vraie volonté de sinisation des équipes ou obligation conjoncturelle ?

    Il y a d’abord un effet certain du contexte de la pandémie qui affecte la volonté des hauts cadres de rester en Chine. Certains se sont éclipsés pendant le confinement de Shanghai quand d’autres étaient en pleine négociation pour un retour accéléré dès l’été.

    Le Point via fdesouche