Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 55

  • Cuers (83) : L’installation “sans concertation” d’un foyer de migrants divise le conseil municipal. “Nous avons perdu la gendarmerie, un centre de migrants s’installe…”

    Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2022

    Elle n’était pas spécifiée à l’ordre du jour du conseil municipal, qui s’est déroulé jeudi, mais la question du foyer de jeunes migrants s’est invitée dans le débat.

    Alors que, sur les réseaux sociaux, l’installation de réfugiés dans l’ancien Fast Hôtel (Zac des Bousquets) est largement débattue, Eric Malfatto, de la liste Cuers se réveille, a interpellé directement le maire.

    Lui reprochant “son inaction”, “le manque de transparence et de communication et l’absence totale de concertation avec les Cuersois”: “Nous avons perdu la gendarmerie, un centre de migrants s’installe… Il ne nous manque plus qu’une prison!”.

    Et Bernard Mouttet de répondre: “Il ne s’agit pas de migrants mais de mineurs isolés. Cela fait quatre mois que nous travaillons sur le dossier, il était temps de vous réveiller. L’hôtel n’a pas été vendu. Des parts sociales ont été cédées”.

    (…) Var Matin

     
  • Toulouse : quatre « jeunes » s’attaquent violemment à un contrôleur dans un métro – jeté au sol, frappé et étranglé – les auteurs interpellés avant d’être relâchés par faute de preuves suffisantes

    Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2022

     
     
     
    Source : fdesouche
  • Il agresse une festivalière pendant le Festival interceltique de Lorient : un migrant tunisien condamné à trois mois de prison ferme et à une OQTF

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2022

    Lors du Festival interceltique de Lorient, dans la nuit du 13 au 14 août, un homme a agressé sexuellement une femme. Ce mercredi 21 septembre, il a été condamné à trois mois de prison ferme.

    « Il lui a soulevé sa jupe et il a glissé sa main en dessous pour lui caresser les fesses », décrit la présidente. Le 14 août dernier, un trentenaire était placé en garde à vue après un concert du Festival interceltique de Lorient. Le 15 août, la préfecture a pris un arrêté avec obligation de quitter le territoire français, qui a été refusé par le prévenu. Il était jugé, ce mercredi 21 septembre, au tribunal judiciaire, à l’aide d’un interprète, étant Tunisien.

    (…) Télégramme via fdesouche

  • Marseille (13e) : « Les gens ont peur », des Roms s’installent sur un terrain de pétanque, les habitants se plaignent de l’insécurité et de l’insalubrité

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2022

    Les tentes de fortune ont peu à peu pris place autour d’un terrain de pétanque du quartier La Rose, dans le 13e arrondissement de Marseille. En avril dernier, une communauté de Roms s’est installée ici, à deux pas des écoles et des habitations. Les habitants de ce quartier du 13e arrondissement de Marseille se plaignent de l’insécurité et de l’insalubrité d’un terrain de pétanque où des Roms se sont installés. Une réunion sur le sujet est prévue dans les prochains jours à la mairie du 13e arrondissement..

    Depuis, les habitants découvrent chaque jour des détritus devant leur porte, voire des excréments, comme Marianne. C’est juste lamentable“, commente-t-elle au micro de BFM Marseille Provence avant d’expliquer qu’elle est “obligée de vendre une propriété qui appartient à la famille depuis sept générations à cause de ce qui se passe tout autour“.

    Exaspérés par l’insécurité et l’insalubrité sur le terrain, les habitants ont envoyé plusieurs courriers à la mairie centrale, sans obtenir de véritable retour.

    Danielle, la présidente du Comité d’intérêts des habitants de la Rose, regrette que certains retraités du centre culturel n’osent plus venir. “Les gens ont peur” témoigne-t-elle. “C’est vraiment dommage, parce que pour les personnes âgées, c’est parfois leur seule activité de loisirs“.

    A la demande des riverains, la maire des 13 et 14e arrondissements envisage la mise en place d’un dispositif de sécurité autour du terrain de pétanque. “La solution on l’a“, assure Marion Bareille, “c’est de pouvoir installer un portique, on le demande depuis deux ans, il faut vraiment pouvoir agir parce que c’est pas acceptable, à la fois pour les Roms qui s’installent dans ces conditions, et pour les riverains qui assistent à ce spectacle“.

    De leur côté, les Roms souhaitent une solution de logement plus pérenne. “Regardez, toute ma famille vit et dort ici“, déplore l’un d’entre eux en montrant sa voiture, remplie de couvertures.

    msn via fdesouche

  • « C’est un problème de culture » : Un épicier ne sachant pas parler français, condamné à 4 mois avec sursis après avoir agressé sexuellement une collégienne dans son magasin à Saint-Étienne

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2022

    Poursuivi pour agression sexuelle sur une jeune collégienne, le gérant d’une épicerie de Saint-Étienne s’était montré un peu trop entreprenant à l’endroit d’une jeune mineure. Les enregistrements vidéo de sa boutique l’ont en partie trahi.

    On l’appellera Emma. Mais peu importe le prénom. La jeune fille, scolarisée en classe de sixième, a l’habitude de faire quelques courses dans cette épicerie stéphanoise. Ce 31 mars, elle entre dans la supérette. Elle en ressortira quelques minutes plus tard, traumatisée. Elle raconte à sa mère, le soir venu, que le vendeur lui a dit qu’elle était belle, qu’il l’a prise par le cou et lui a caressé la poitrine.

    […]

     

    La présidente rapporte les expertises médicales qui montrent que la jeune fille a eu un choc traumatique fort, des signes d’insécurité permanents et un sentiment de dégoût d’avoir été abusée. « Elle a peur de croiser son agresseur quand elle sort du collège, dit à son tour l’avocate de la famille de la victime, qui rapporte encore des troubles du sommeil, des cauchemars… Et un sentiment de peur ». À tel point, que récemment, « c’est la principale du collège qui a dû la raccompagner chez elle. Elle était incapable de rentrer seule ». Et de dénoncer des pressions : « Un homme, qui s’est présenté comme un ami du prévenu, l’a menacée parce que sa famille avait déposé une plainte ».

    […]

     

    Le prisme de la défense est tout autre. Pour l’avocate du prévenu, il n’y a pas eu d’agression sexuelle. « C’est un problème de culture, c’est une question d’hospitalité. Mon client est d’origine kurde. Ce n’est pas un homme malsain. Nous sommes en Orient. Oui, il a posé le bras autour de sa taille. Cela peut paraître choquant pour la partie civile », tout en demandant de prononcer la relaxe pour les faits reprochés.

    Après en avoir délibéré, le prévenu était condamné à quatre mois de prison avec sursis.

    Le Progrès. via fdesouche