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  • Un Lyonnais intègre la liste des criminels les plus recherchés d’Europe

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2022

    Europol a ajouté Farid Toloun à la liste des fugitifs les plus recherchés. Âgé de 49 ans, ce Lyonnais a été condamné à 24 ans de prison.

    C’est le troisième français à rejoindre la liste. Farid Toloun, un Lyonnais de 49 ans, fait désormais partie des criminels les plus recherchés d’Europe par Europol, indique le JDD.

    L’agence européenne de police criminelle, qui qualifie Farid Toloun de “particulièrement dangereux”, précise que l’homme est recherché pour meurtre et trafic de drogue. Il s’est fait connaître dans les années 1990 comme l’un “des leaders d’une organisation criminelle s’adonnant à une série de vols à main armée dans la région lyonnaise dont les membres étaient particulièrement déterminés et violents.”

    Il a été condamné à plusieurs reprises, incarcéré, et a continué ses activités “manifestement liées au trafic de stupéfiants” à sa sortie de prison.

    […]

     

    BFMTV via fdesouche

  • Grenoble : Une fusillade à l’arme de guerre entre des hommes armés et la police fait un blessé à la Villeneuve

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2022

    Grenoble Une fusillade entre des hommes armés et la police fait un blessé à la Villeneuve

    Un jeune homme a été blessé par un tir de police ce samedi peu après 11 h 30 dans le quartier de l’Arlequin, à la Villeneuve de Grenoble. Selon les premiers éléments recueillis par le Dauphiné Libéré, cette fusillade a été précédée par au moins un coup de feu tiré par un homme dans le quartier Saint-Bruno, dans le centre-ville.

    (…)

    Là, les occupants ont abandonné leur véhicule pour tenter de s’enfuir à pied dans la cité. L’un d’entre eux aurait alors dirigé son arme de guerre vers les policiers, qui ont fait feu, le touchant à une épaule. Ses complices ont pris la fuite.  Le quartier est actuellement bouclé par les forces de l’ordre.

    www.ledauphine.com via fdesouche

  • À l’ONU, la leçon du président Serbe sur l’Ukraine et l’OTAN

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2022

    À l’ONU, la leçon du président Serbe sur l’Ukraine et l’OTAN
     

    Par Pierre Boisguilbert ♦ Le discours le plus pertinent n’a pas été le plus médiatisé. Les médias ont préféré les platitudes de Macron et les rodomontades du gérontocrate américain, mais ce qu’il faut souligner c’est la démonstration du président serbe Aleksandar Vucic. Une voix européenne en dissidence qui explique parfaitement les réticences de certains pays à s’aligner sur la croisade anti russe de Washington.

    Non, l’intégrité territoriale n’est pas un principe inviolable. Non, le conflit ukrainien n’est pas le premier en Europe depuis la deuxième guerre mondiale.

    Dans son discours prononcé devant l’Assemblée générale des Nations unies à New York, le dirigeant serbe a assuré que son État respectait l’intégrité territoriale de tous les pays, y compris celui de l’Ukraine, mais pointé du doigt le fait que beaucoup décrivent les hostilités entre Moscou et Kiev comme « le premier conflit sur le sol européen depuis la Seconde Guerre mondiale ». Le président serbe Aleksandar Vučić, a demandé des explications aux pays occidentaux : pour quelle raison ont-ils des points de vue différents sur l’intégrité territoriale de l’Ukraine et de la Serbie, étant donné qu’ils soutiennent Kiev dans sa lutte contre la Russie, mais ont approuvé l’indépendance du Kosovo ? Selon lui, la Serbie « n’a jamais mis le pied » sur le territoire de quiconque, mais cela « n’a pas empêché les 19 pays les plus riches de l’OTAN d’attaquer un pays souverain sans décision du Conseil de sécurité des Nations unies ». L’OTAN a occupé le Kosovo en 1999, après une campagne de bombardement de 78 jours contre ce qui était alors la Yougoslavie. La province a déclaré son indépendance en 2008 avec le soutien de l’Occident. Si les États-Unis et la plupart de ses alliés l’ont reconnue, de nombreux autres pays, dont la Russie et la Chine, ne l’ont pas fait.

    Aleksandar Vučić a également déclaré que si l’OTAN s’est engagée à respecter la pleine intégrité territoriale de la Serbie, cela n’a pas empêché de nombreux pays occidentaux de reconnaître unilatéralement la province séparatiste du Kosovo en 2008.

    Plus tôt dans la journée du 20 septembre, le président serbe a averti que le monde se rapprochait d’une guerre mondiale, ajoutant que « l’ONU a été affaiblie », étant donné que les grandes puissances « ont pratiquement détruit l’ordre de l’ONU au cours des dernières décennies ». Cela confirme l’hypocrisie américaine et de son bras armé de l’OTAN. On peut également parler de l’Irak ou de la Libye.

    Comme toujours il n’y a qu’une chose de pire que les mauvais sentiments ce sont les bons sentiments… surtout quand ils sont des prétextes.

    Pierre Boisguilbert
    26/09/2022

     

    Source : polemia

  • Légalisation du suicide : Olivier Véran veut s’inspirer du modèle belge

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2022

    Légalisation du suicide : Olivier Véran veut s’inspirer du modèle belge

    Olivier Véran, ministre du « renouveau démocratique » chargé de suivre la convention citoyenne, est allé recontrer le docteur François Damas, au centre hospitalier de la Citadelle à Liège. Ce médecin était au centre du documentaire Les Mots de la fin, diffusé sur Arte en juillet, qui montrait son quotidien de spécialiste de l’euthanasie.

    Le système belge autorise depuis vingt ans l’aide active à mourir. Le nombre d’euthanasies pratiquées en Belgique est de 2 600 par an, soit 3 % des décès. « Vous avez quand même multiplié par dix en vingt ans », remarque Olivier Véran. Il s’étrangle un peu quand ses hôtes lui expliquent que certains imams acceptent que des musulmans soient euthanasiés, à condition que le médecin récite la première sourate du Coran au moment de l’acte.

    Bruxelles a légalisé l’euthanasie en 2002, pour des patients adultes dont l’état physique ne permettait pas d’espérer une amélioration médicale raisonnable. En 2014, la loi a été étendue (comme d’habitude) pour euthanasier des mineurs, et sans limite d’âge. Et au fil des années, les critères se sont étendus : “lassitude de vivre”, déception amoureuse, etc.

     

    Source : lesalonbeige

  • Éducation nationale : le Conseil d’État valide l’utilisation de prénoms d’usage pour les élèves « transgenres »

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2022

    Ces jeunes perdus et déboussolés par une société folle pourront exiger de se faire appeler du prénom de leur choix (sans l’accord des parents et au mépris de l’état-civil)…

    « Le Conseil d’État a validé la conformité à la loi de la « circulaire Blanquer », déposée le 29 septembre 2021 par l’ex-ministre de l’Éducation nationale, rapporte Le Parisien, vendredi 30 septembre. Cette décision signifie que, désormais, les élèves transgenres pourront avoir recours à un prénom d’usage à l’école, sans avoir besoin de passer par un changement de nom à l’état civil.

    Une requête pour faire annuler le texte avait été formulée, se basant sur le fait que la loi stipule « qu’aucun citoyen ne pourra porter de nom ni prénom, autres que ceux exprimés dans son acte de naissance ». Toutefois, la haute juridiction administrative a estimé que le prénom d’usage peut être utilisé par les personnels de l’Éducation nationale « dans le cadre de la vie interne des établissements et pour les documents qui en relèvent ». Mais elle stipule également que « seul le prénom inscrit à l’état civil doit être pris en compte pour le suivi de la notation des élèves », cite le quotidien.

    Concrètement, un élève transgenre pourra maintenant se faire appeler par son nouveau prénom en salle de classe et dans les documents internes tels que le carnet de correspondance ou la carte de cantine, mais les diplômes, eux, resteront délivrés avec les inscriptions du nom d’état civil. Pour le Conseil d’État, la mesure permet de « mieux prendre en compte la situation des élèves transgenres en milieu scolaire, de faciliter leur accompagnement et de les protéger ». » (source VA)

    Evidemment, donner aux enfants ces idées de « genre » et les encourager à se prendre pour quelqu’un d’autre, c’est le contraire de « les protéger ».