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  • « La CAF doit cesser de promouvoir l’idéologie trans ! »

    Publié par Guy de Laferrière le 17 février 2023

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    Dans une lettre ouverte au ministère de la Santé, 80 signataires professionnels de santé mais aussi des intellectuels et des universitaires, parmi lesquels Elisabeth Badinter, Jean-François Braunstein, Caroline Eliacheff, etc., demandent au ministre François Braun de faire cesser cette désinformation.

    Nous tenons à alerter M. le ministre de la Santé, François Braun, de la diffusion par un organisme dont il a la tutelle – la Caisse nationale d’allocations familiales – d’un texte dont la subjectivité et la dangerosité nous ont interpellés.

    La page du magazine Vies des familles du site internet caf.fr intitulée « Mon enfant est transgenre. Comment bien l’accompagner ? » , mise en ligne le 25 janvier 2023, présente la théorie de l’affirmation du genre comme un fait avéré. Or, non seulement cette théorie ne repose sur aucun fondement scientifique, mais en outre elle rejette une donnée biologique, scientifique, incontestable : l’espèce humaine est constituée de deux sexes, mâle et femelle, et de deux genres, le féminin et le masculin. À ce titre,  la phrase du premier paragraphe « Et le genre n’a rien à voir avec la sexualité » ne peut que laisser perplexe. Avec quoi le genre aurait-il à voir, alors ?

    D’autre part, les seules références, les seules paroles exposées sont celles de deux militantes des droits des personnes transgenres. Jamais il n’est fait référence à de véritables spécialistes de l’enfance et de l’adolescence, psychologues, médecins ou biologistes.

    Jamais il n’est fait mention d’un soutien psychologique que des professionnels pourraient apporter aux enfants et aux parents, conformément aux recommandations de l’Académie de médecine : « (...) une grande prudence médicale doit être de mise chez l’enfant et l’adolescent, compte tenu de la vulnérabilité, en particulier psychologique, de cette population et des nombreux effets indésirables, voire des complications graves, que peuvent provoquer certaines des thérapeutiques disponibles. (...)

    Aussi, face à une demande de soins pour ce motif, est-il essentiel d’assurer, dans un premier temps, un accompagnement médical et psychologique de ces enfants ou adolescents, mais aussi de leurs parents, d’autant qu’il n’existe aucun test permettant de distinguer une dysphorie de genre “structurelle” d’une dysphorie transitoire de l’adolescence. »

    Jamais il n’est fait état des causes et vecteurs de diffusion de cette mode délétère. Or, via les réseaux sociaux, ce sont pour l’essentiel des « vlogueurs » et blogueurs militants trans-activistes qui propagent cette vague de « conversions » socialement destructrice.

    Par des allégations mensongères, ces « influenceurs » induisent des enfants et des adolescents fragiles à s’engager dans de longues et coûteuses thérapies physiologiquement et psychologiquement invalidantes. Et irréversibles. Compte tenu de ces remarques, nous demandons au ministre :  - de faire retirer sans délai du site internet de la CAF cette page de désinformation dont les lacunes et la partialité déshonorent l’organisme émetteur et par conséquence votre ministère ; - compte tenu de la gravité du problème de santé publique que représente la multiplication instrumentalisée des demandes d’inversion de sexe chez les préadolescents et les adolescents, d’engager la rédaction d’une nouvelle page d’information, sous l’égide de véritables spécialistes – psychologues, médecins, biologistes... – en tenant compte des prudentes recommandations de l’Académie de médecine. Cette page d’information alerterait les familles sur les manipulations mentales dont sont victimes les jeunes par le biais des réseaux sociaux et proposerait des aides préventives que ces professionnels seraient à même d’apporter aux parents et aux enfants.

    La liste complète des signataires est à retrouver sur lefigaro.fr

    Source : Figaro 17/2/2023

  • Aurélien Verhassel, le tenancier du bar de la Citadelle de Lille, sur le plateau de TPMP : “Je défends la totalité des cultures du monde” (VIDÉO)

    Publié par Guy de Laferrière le 16 février 2023

    Posté par Eric Martin 

    Aurélien Verhassel, le tenancier du bar de la Citadelle de Lille, sur le plateau de TPMP : “Je défends la totalité des cultures du monde” (VIDÉO)

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1625971059282378759

  • Et vous, êtes-vous pour ou contre le port d’arme en France ? (VIDÉO)

    Publié par Guy de Laferrière le 16 février 2023

    Posté par Eric Martin

    Et vous, êtes-vous pour ou contre le port d’arme en France ? (VIDÉO)

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1625926470206881811

     

     

  • Que prévoit la Constitution française en cas de guerre ?

    Publié par Guy de Laferrière le 16 février 2023

    lesmoutonsrebelles

     

    La Constitution de 1958 comporte de nombreux articles évoquant les armées et la défense et pourtant on ne note qu’une référence à la guerre ainsi qu’une seule mention à la paix. Alors en cas de guerre que prévoit-elle ?

    Qui fait quoi ?

    La répartition des compétences en matière de défense nationale au sein de l’exécutif a suscité beaucoup de questionnements face à la prolifération des articles sur ce sujet.

    Pourtant, l’article 15 de la Constitution est limpide :

    « LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE EST LE CHEF DES ARMÉES. IL PRÉSIDE LES CONSEILS ET COMITÉS SUPÉRIEURS DE LA DÉFENSE NATIONALE ».

    Notons au passage que l’article 13 fait du président de la République celui qui « nomme aux emplois civils et militaires de l’État ».

    Mais cela se complique lorsque l’article 20 précise que le gouvernement dispose de la force armée et que son chef – le Premier ministre – est « responsable de la Défense nationale » (article 21).

    Cependant, c’est le Parlement qui autorise la déclaration de guerre (article 35). D’ailleurs l’article 34 dispose que c’est la loi qui « détermine les principes fondamentaux […] de l’organisation générale de la Défense nationale… » Si l’article 52 donne au président de la République le rôle principal dans la négociation et la ratification des traités, l’article 53 précise que « les traités de paix […] ne peuvent être ratifiés ou approuvés qu’en vertu d’une loi…  »

    Il est étonnant qu’un pays comme la France qui, depuis 1990 et la guerre du Golfe, est fréquemment et durablement engagé sur des théâtres de conflit, ait si peu de références juridiques dans son texte fondamental sur la notion de guerre.

    […]

    La guerre serait devenue illégale

    La disposition constitutionnelle de l’article 35 de la Constitution n’a jamais été appliquée depuis le début de la Ve République, la déclaration de guerre étant tombée en désuétude.

    Au niveau international, les États membres signataires de la Charte des Nations Unies s’obligent à régler leurs différends pacifiquement afin d’assurer la paix et la sécurité internationale…

    […]

    La modernisation de l’article 35 par la révision constitutionnelle du 23 juillet 2008

    S’il n’y a plus de déclaration de guerre, comment associer le Parlement à la décision d’intervention militaire de la France à l’étranger ? La révision de 2008 a complété cet article par trois alinéas a permis de moderniser la Constitution avec les réalités du terrain et d’accroître le contrôle du Parlement sur les OPEX (Opérations Extérieures).

    La réforme n’en a pas moins ignoré le concept de guerre, comme si celui-ci n’était pas un sujet institutionnel.

    En cherchant au-delà du texte de notre norme suprême, on trouve dans le Code de la défense un titre intitulé « Guerre » (livre 1er de la partie II), mais il ne comporte que trois articles en partie législative et un seul en partie réglementaire.

    Comment expliquer que le régime d’exception qu’est la guerre soit très sommairement décrit en droit ?

    Lire l’article entier sur contrepoints.org

  • Images d’archives – Pierre Poujade contre Pierre Isaac Mendès France

    Publié par Guy de Laferrière le 16 février 2023

    L’émergence du mouvement populaire des Gilets Jaunes a amené quelques commentateurs à faire le parallèle avec le mouvement populaire né autour de Pierre Poujade (1920-2003), dirigeant de l’Union de Défense des Commerçants et Artisans (UDCA) puis de l’Union et Fraternité Française (UFF) qui obtint 52 députés en 1956.

    Pour attiser la curiosité des plus jeunes, voici un bref extrait d’un discours de Poujade prenant pour cible Pierre Isaac Mendès France (1907-1982). Inutile de préciser que Pierre Poujade ne trouverait pas sa place parmi le national-sionisme d’aujourd’hui…

     


     

     

     

    Source : medias-presse.info