Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 18

  • Flamme vaillante, Fleur d’Épine

    Publié par Guy de Laferrière le 18 février 2023

    Flamme vaillante, Fleur d’Épine

    Le CD de Fleur d’Épine nous offre de jolies mélodies, une voix aérienne, des accompagnements instrumentaux simples et justes, ces chansons apportent un souffle de pureté et de joie. Elles sont radicalement à l’opposé des compositions actuelles faites de surenchère de violence, de débordement de puissance sonore et de provocations verbales. Calme, harmonie, convictions donnent un album équilibré, solide et apaisant à l’écoute. Ses paroles et ses mélodies sont facilement mémorisables et donc destinées à être reprises et chantées.

    L’album est ouvert par un rappel de la mélodie bien connue de la chanson L’Espérancepointe de nostalgie et marque de l’engagement qui caractérise ces enregistrements. La musicienne, chanteuse et compositrice s’inscrit résolument dans la dissidence avec deux poèmes de Brasillach, des chansons pour le Sacré-Cœur, les Vendéens, pour le pardon, le courage et la liberté qui sont un véritable cri d’espérance.

    Quand on connaît les difficultés quotidiennes des temps actuels, ces compositions sont un véritable rayon de soleil. On pourrait presque regretter qu’il ne soit pas accessible à tous. La médiocrité musicale, la corruption des âmes et la perte de l’esthétique actuelles réduisent immanquablement l’audience de cette œuvre musicale et poétique. Apprécier la beauté s’apprend, sauf que le goût est corrompu puisque, comme pour l’alimentation, on forme à préférer l’industriel au cultivé, le basique à l’artisanal.

    C’est à cette démarche que nous convie Fleur d’Épine. Son talent a été remarqué lors de la dernière journée de Synthèse nationale en octobre dernier et son site propose des occasions de l’entendre en “présentiel”, car il est incomparablement préférable et bénéfique d’écouter de la musique vivante plutôt que de la musique morte. Un album à mettre entre toutes les mains, des chansons à partager.

    Thierry De Cruzy

    Démondialiser la musique

    Pour les musiciens, les partitions sont à demander sur le site de la chanteuse.

    Présentation :

    Commande

     

    Source : lesalonbeige

  • L’Otan devient une coalition de volontaires

    Publié par Guy de Laferrière le 17 février 2023

     

    Les ministres de la Défense de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord se sont réunis à Bruxelles pour signer une Convention modificative des statuts de l’Alliance.

    Désormais l’Otan pourra entrer en guerre hors article 5, c’est-à-dire sans qu’un de ses membres soit attaqué, et non plus à l’unanimité, mais à la majorité. Il s’agit de faire de l’Organisation une « coalition de volontaires à la carte ». En ligne de mire : la Russie et la Chine.

  • La dernière folie arc-en-ciel : pour sauver le Japon, que les vieux se suicident

    Publié par Guy de Laferrière le 17 février 2023

    Auteur : 

    Le Japon est un pays vieillissant. Payer les retraites de tous ces « inactifs » devient un réel problème qu’un professeur de Yale a résolu de manière définitive. Que les vieux se suicident est la solution miracle qu’il préconise pour sauver le Japon du vieillissement et diminuer également les coûts élevés en matière de sécurité sociale et de santé, tout en permettant le renouvellement du marché du travail..

     

    Comment faire face au vieillissement rapide de la population japonaise ? La proposition choc du professeur Yusuke Narita

    Il y a beaucoup trop de gens inutiles dans le monde selon Yusuke Narita, un professeur d’économie de 37 ans à Yale, dont la solution au soi-disant problème est le « suicide de masse » forcé ou « seppuku » des personnes âgées. Parlant de l’euthanasie forcée des personnes âgées pour dépeupler le monde, Narita a déclaré que d’une manière ou d’une autre, les personnes âgées doivent mourir. Soit elles feront ce qu’il faut et commenceront à se suicider en masse, soit la « possibilité de le rendre obligatoire à l’avenir [fera] l’objet de discussions ».

    Au Japon, le nombre de personnes qui se suicident est déjà parmi les plus élevés au monde. La recette du professeur de Yale se base sur une vieille recette japonaise : la mise en place du « seppuku », le rituel du suicide obligatoire imposé dans le Japon du XIXe siècle aux samouraïs qui ont déshonoré le pays.

    Ces propos choquants ont été rapportés par le New York Times et relancés par tous les médias internationaux. Ils ne cessent de susciter l’étonnement mais l’assistant en économie de la prestigieuse université américaine a défendu ses positions :

    L’euthanasie pourrait devenir obligatoire à l’avenir selon Yusuke Narita, et pas seulement au Japon 

    « J’estime que la seule solution est suffisamment claire », avait déjà déclaré Narita en 2021 en proposant sa recette. Et tout en précisant que ses propos de l’époque étaient relancés « hors contexte », écrit le Daily Mail, il a redit récemment au New York Times que l’euthanasie pourrait devenir obligatoire à l’avenir, permettant aux jeunes générations de se frayer un chemin dans les affaires, en la politique et d’autres aspects de la société que l’ancienne génération refuse de quitter. Le Japon a un faible taux de natalité et la dette publique la plus importante au monde avec 1,34 naissance par femme, inférieure même aux États-Unis (1,65). L’année dernière, le Soleil Levant a vu sa population chuter de plus de 600 en raison de la baisse des taux de fécondité et du vieillissement rapide.

    La seule concession faite par le professeur aux critiques regarde la forme employée et non le fond de l’argument : « J’aurais dû être plus prudent quant aux éventuelles connotations négatives », a déclaré Narita. « Après avoir réfléchi, j’ai cessé d’utiliser ces mots l’année dernière », explique-t-il.

    Une solution qui s’accorde avec l’idéologie de dépopulation prônée par le Forum Economique Mondial de Davos

    La rhétorique du professeur d’économie correspond étroitement à la rhétorique extrémiste du Forum économique mondial de Klaus Schwab, où divers « experts » ont récemment exprimé le désir de dépeupler la terre.

    Entre le compostage humain ou humusation pour faire savant, la nourriture à base d’insectes, les mères porteuses en état de mort cérébrale, l’avortement jusqu’à la dernière minute de gestation, l’euthanasie pour tous et tous les âges, la solution atroce de Narita n’est qu’une étape matérialiste supplémentaire pour effacer les dernières traces de considération pour la vie et exalter au contraire la mort morbide, pour supprimer le respect aux corps et le culte aux ancêtres et ainsi liquider tout ensemble la nature, le passé et l’au-delà.

    C’est cela aussi la cancel culture !

    Et ses promoteurs ne se cachent même plus : deux ans enfermé dans la maison pour sauver les grands-parents… Et maintenant…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Les sans-dent n’ont qu’à mourir de froid

    Publié par Guy de Laferrière le 17 février 2023

    Les sans-dent n’ont qu’à mourir de froid

    La préfecture de l’Ain a placé le bassin ouest du département en vigilance rouge au sujet de la pollution aux particules fines qui touche actuellement le territoire. L’alerte est également placée au niveau 2 dans le bassin lémanique.

    Les mesures prises jeudi 9 février par la préfète de l’Ain, Cécile Bigot-Dekeyzer, ont ainsi été renforcées. Parmi elles, l’interdiction d’utiliser du bois ou ses dérivés comme chauffage individuel d’appoint ou d’agrément. La pratique de brûlage est totalement proscrite, ajoute-t-elle.

     

    Source : lesalonbeige.

  • Nos ennemis sont Washington et l’atlantisme

    Publié par Guy de Laferrière le 17 février 2023

    2244133234.jpeg

    André Posokhow

    Depuis le début de l’opération spéciale nous avons été accoutumés à l’agressivité pathologique des médias subventionnés, presse écrite comme télévision, à l’égard de la Russie du très méchant Vladimir Poutine. Pour eux l’agresseur de l’Ukraine, et ennemi de ce qu’ils appellent l’Occident, est bel et bien Moscou.

    Que cette prise de position de fond soit également celle de la presse alternative écrite comme électronique, quoi de plus normal dans un contexte de liberté de parole ? Cependant la hargne intolérante, méprisante et parfois insultante que certains manifestent à l’égard d’autres membres de ce type de presse qualifiés facilement de « poutinolâtres » et stigmatisés pour leur « anti-américanisme » n’est pas sans évoquer les procédés du wokisme.

    Même s’il en existe de bonnes raisons aujourd’hui, stigmatiser les États-Unis apparaitrait abusif. Une énorme majorité des États-uniens sont pacifiques et ne se sentent pas concernés par la politique belliciste des démocrates, sauf peut-être sur les côtes Est et Ouest. Il semble plus juste de parler de la capitale : Washington, dont d’ailleurs beaucoup d’Américains se défient. Pourquoi la capitale ? Parce qu’elle est le siège et le symbole de ce qu’il est convenu d’appeler « l’État profond » de ce pays et de l’atlantisme.

    Qui commande à Washington ? Le président des USA ? C’est un pantin à demi-sénile . Non, ce sont :

    • au plan politique, les néo-conservateurs straussiens déterminés à écraser tous ceux qui pourraient contester l’hégémonie américaine, tel Robert Kagan, le conjoint de Victoria Nuland qui oeuvra place Maïdan lors du coup d’État de 2014 ;
    • le clan démocrate d’ Obama et des Clinton qui projettent toujours leur ombre portée sur le marigot ;
    • comme l’ont démontré John Mearsheimer et John Walt dans leur livre : « le lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine » ; ce lobby qui a un nom : l’AIPAC (American Israël Public Affairs Committee), travaille à l’orientation de la politique étrangère américaine, exerce des pressions efficaces sur le Congrès, les présidents et leur administration, et jouit d’une influence considérable sur l’université et les médias. Il influencerait également, selon Mearsheimer, « l’establishment » belliciste des affaires étrangères US, non élu, mais suffisamment puissant pour imposer aux États-Unis, ainsi qu’à l’OTAN, une confrontation avec la Russie ;
    • le complexe militaro-industriel pour lequel les conflits représentent d’excellentes affaires ;
    • le Département d’État mené aujourd’hui par un homme dont la haine à l’égard de la Russie est vindicative : Antony Blinken ;
    • les instruments de la politique extérieure américaine : le Pentagone, la CIA, etc. ;
    • les GAFAM, sur la côte Ouest, dont le monde entier a compris la complicité dans l’élection de novembre 2020 ;
    • les médias américains qui, pour beaucoup des plus importants, sont purement et simplement gauchistes ;
    • il faut citer Soros et son Open Group en charge de la domestication et de l’invasion des pays européens par le tiers-monde.

     

    Source : synthesenationale