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  • Carpentras (84) : Abid El Hassouni s’encastre dans un poteau près d’une école avec sa voiture volée, puis revient mettre le feu au véhicule, brûlant la cantine scolaire ainsi que l’espace informatique

    Publié par Guy de Laferrière le 17 mars 2023

    Abid El Hassouni, 24 ans, entre dans le box du tribunal correctionnel de Carpentras. Il est 16h33, le 16 mars. Des cheveux noirs tirés vers l’arrière, la peau mate et un polo blanc, le Carpentrassien écoute la présidente Sandrine Izou revenir sur ce qui lui est reproché : l’incendie d’une voiture qui se propage à la cantine de l’école des Garrigues, à Carpentras.

    Des délits graves, « exceptionnels », insiste pour la partie civile Me  Frédéric Bassompierre. Ils coûtent cher au prévenu : cinq ans de prison dont 30 mois assortis d’un sursis probatoire et il est maintenu en détention. Le jeune homme doit régler 300 000 euros de provision pour les dommages et intérêts.

    La salle de cantine et l’espace informatique anéantis

    Le tribunal a fait un bond en arrière, jusqu’au 6 janvier 2022. Il est près de 6 h 30. Le conducteur d’une Volkswagen Polo sportive, volée dans la Drôme un mois plus tôt, perd le contrôle de son véhicule au croisement des routes de Velleron et Pernes-les-Fontaines. La vitesse et l’alcool… C’est comme ça qu’Abid El Hassouni explique l’accident.

    La voiture s’encastre dans un poteau de l’école après être passée entre des cyprès. Le chauffard part en courant.

    Une heure et demie plus tard, nouvelle scène. Surréaliste. Deux personnes arrivent à bord d’une voiture. L’un d’eux descend et vide un bidon d’essence sur le toit de la Polo volée qui s’embrase sous les yeux de plusieurs dizaines de personnes, dont des enfants et leurs parents. Des employées de l’établissement interpellent pourtant l’incendiaire en lui disant qu’il y a des élèves. Il répond : « Je n’ai pas le choix, je ne suis pas assuré. »

    Les flammes se propagent en quelques secondes. L’espace réservé à la cantine est réduit à un amas de débris calcinés.

    Un préjudice estimé à 712 000 euros

    (…)

    Le Dauphiné via fdesouche

  • [Choeur de la Joyeuse Garde] Les Lansquenets

    Publié par Guy de Laferrière le 17 mars 2023

    Nous luttons pour un ordre catholique et royal !

  • Düsseldorf (All) : les élus verts inaugurent des plaques de rue en arabe pour “renforcer le lien vivant entre les communautés de migrants et les quartiers de la ville”

    Publié par Guy de Laferrière le 17 mars 2023

    Une plaque de rue bilingue n’est pas la seule façon de le faire, mais c’en est une parmi tant d’autres. Avec cela, nous exprimons notre appréciation et établissons un signe d’unité.

    Ce faisant, nous installons à Düsseldorf une autre des nombreuses enseignes pour représenter la diversité de notre ville et renforcer le lien vivant entre les communautés de migrants et les quartiers de notre ville. À Düsseldorf, nous vivons ENSEMBLE, et non côte à côte. Nous voulons toujours renforcer et exprimer cela.

    Gruene-dusseldorf via fdesouche

  • Une étude de sociologie démontre à nouveau que la diversité ethnique mine la confiance sociale

    Publié par Guy de Laferrière le 17 mars 2023

    Une recension de l’article « Statistical and Perceived Diversity and Their Impacts on Neighborhood Social Cohesion in Germany, Franceand the Netherlands »,

    Recension de l’OID (Observatoire de l’immigration et de la démographie). 

    Professeur de sociologie à l’université Humboldt de Berlin, Ruud Koopmans est un chercheur de renommée internationale1 pourtant peu relayé en France2, alors même que son champ d’études englobe généralement plusieurs pays européens et en particulier l’Allemagne, la France et les Pays-Bas. Ses travaux les plus notables concernent trois domaines en lien avec l’immigration à l’échelle européenne : l’analyse comparative des différentes politiques d’intégration ; les comportements politiques des immigrés et des minorités ethniques et l’incidence de la diversité ethnique sur la confiance sociale. C’est à ce dernier champ d’étude que s’intéresse le présent article. Il se fonde, pour l’essentiel, sur une étude publiée par R. Koopmans et M. Schaeffer en 2016 dans la revue Social Indicators Research3.

    Une méthodologie robuste et minutieuse

    Pour conduire leur analyse, les auteurs utilisent les résultats de l’« Ethnic Diversity and Collective Action Survey » (EDCAS), une enquête menée entre 2009 et 2010 à partir de 10 200 appels téléphoniques standardisés. M. Schaeffer et R. Koopmans se concentrent sur une sélection de 4 600 répondants correspondant aux 938 quartiers d’Allemagne, de France et des Pays-Bas retenus pour l’étude. Pour la France, ces quartiers sont issus des villes de Lille, Strasbourg, Lyon, Marseille et Rennes, ainsi que de Paris et ses départements limitrophes (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne).

    L’étude développe en outre une double approche des effets de la diversité ethnique sur la cohésion sociale. Elle évalue dans un premier temps les effets de la diversité ethnique « statistique », objectivée par le pourcentage de personnes d’origine immigrée (personnes immigrées ou ayant au moins un parent immigré) dans chaque quartier considéré4. Dans un second temps, elle s’intéresse aux effets de la diversité ethnique « perçue » par les habitants, mesurée à l’aide de quatre indicateurs du questionnaire : l’existence de conflits intergroupes, l’existence de groupes caractérisés par des valeurs ou une langue différente et l’estimation par chaque répondant de la proportion de personnes d’origine immigrée vivant dans le quartier.

    En ce qui concerne la diversité « statistique », l’étude démontre une nette corrélation entre l’augmentation de la diversité ethnique et la baisse de la cohésion sociale dans les quartiers considérés. En particulier, les auteurs trouvent qu’en France, la diversité ethnique conduit à une augmentation des problèmes sociaux, ainsi qu’à une baisse significative de la confiance, du lien social et de la satisfaction dans la vie en général.

    Ces résultats sont particulièrement robustes dans la mesure où ils prennent en compte une multitude de facteurs sociaux pour évaluer l’incidence de la seule « diversité ethnique », selon une démarche expérimentale. Chaque indicateur de confiance est ainsi testé et ajusté pour tenir compte, dans chaque quartier, du taux de chômage, de la densité de population, du nombre d’années vécues dans le quartier, du statut de locataire ou de propriétaire, du niveau d’éducation, de l’âge, du sexe, du statut marital, du type d’emploi occupé, de l’origine immigrée ou non et même des croyances religieuses. Cette différenciation des facteurs pouvant avoir une incidence sur le niveau de confiance sociale mesuré permet d’éviter les biais liés à la condition socio-économique des habitants des quartiers retenus pour l’étude, et d’examiner de la manière la plus précise possible la seule incidence de la diversité ethnique.

    En ce qui concerne la diversité perçue, l’étude arrive aux mêmes conclusions que pour la diversité statistique. Ces résultats ont en outre pour intérêt de tester de manière indépendante l’effet de la diversité perçue chez les répondants natifs et chez les répondants d’origine immigrée. Or dans ces deux catégories de répondants, une baisse similaire de la confiance sociale est observée, pour des niveaux de diversité perçue équivalents. Ceci tend à montrer que la baisse de la cohésion sociale n’est pas liée qu’à un rejet des immigrés par les natifs, mais résulte aussi d’un rejet analogue des natifs par les immigrés, ainsi que de l’existence de groupes hétérogènes au sein même des populations immigrées.

    (…)

    Revue Conflits via fdesouche

  • La presse relaye l’action de Civitas contre le spectacle transgenre pour enfants prévu à Nantes

    Publié par Guy de Laferrière le 17 mars 2023

    Il y a quelques jours, nous vous signalions l’action de sensibilisation menée par Civitas à Nantes contre un spectacle de promotion de l’idéologie du genre auquel seront conviés les enfants de plusieurs écoles nantaises durant la Semaine Sainte. La section locale de Civitas a organisé un collage et un tractage aux abords de douze écoles de Nantes. Et l’affaire commence à faire du bruit. Des parents se sont naturellement inquiétés que leurs enfants soient soumis à la propagande LGBT. Et la presse a été alertée.

    Un premier article est paru dans Ouest France.

    Ce matin, c’est au tour du Figaro de traiter le sujet.

    Les remous causés par cette affaire ont obligé la majorité municipale de Nantes a tenté de se justifier via un communique qui élude le fonds du problème : nos enfants n’ont pas à être soumis à de la propagande LGBT.

    La section Civitas locale entend bien continuer à mettre la pression pour protéger nos enfants.

     

    Source : medias-presse.info