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  • Nul n’est au-dessus des lois, ni la police, ni le ministre de la justice

    Publié par Guy de Laferrière le 29 juillet 2023

    Nul n’est au-dessus des lois, ni la police, ni le ministre de la justice

    Nul n’est au-dessus des lois, ni la police, ni le ministre de la justice

    Mais contrairement aux policiers, Éric Dupond-Moretti n’a pas été incarcéré dans l’attente de son procès…

    Malgré ses huit pourvois, le ministre de la Justice, mis en cause pour prise illégale d’intérêts, sera jugé par la Cour de justice de la République.

    L’assemblée plénière de la Cour de cassation a validé la saisine régulière de la commission de l’instruction de la CJR, pour prise illégale d’intérêts. Éric Dupond-Moretti est notamment accusé d’avoir profité de sa fonction de ministre pour régler des comptes avec trois ex-magistrats du Parquet national financier (PNF) et un ex-juge d’instruction monégasque auxquels il s’était opposé dans sa première vie d’avocat.

    L’audience devrait se tenir à la fin de cette année ou début 2024.

     

    Source : lesalonbeige

  • Vers le payement par identification biométrique ou reconnaissance faciale ?

    Publié par Guy de Laferrière le 28 juillet 2023

    payement-par-reconnaissance-faciale-ou-biometrique

    Il y a un mois, le Sénat approuvait un projet de loi autorisant les enquêteurs judiciaires et les services de renseignement à utiliser l’identification biométrique dans les espaces publics pendant trois ans.

    La reconnaissance faciale et l’identification biométrique ont le vent en poupe, promues par le Forum économique mondial qui admire le système de crédit social à la chinoise.

    Cependant, il faut bien constater que le calendrier n’est pas toujours respecté.

    Souvenons-nous qu’en janvier 2018, certains professionnels des systèmes bancaires affirmaient dans les pages économiques de grands journaux qu’authentifier ses paiements par scan de l’iris de l’œil ou par reconnaissance faciale serait notre quotidien dès le printemps 2019. Tout début janvier 2018, une étude avait même été menée par l’Université d’Oxford, prétendant que 93% des consommateurs se disaient prêts à passer à l’identification biométrique pour leurs paiements.

    Force est de constater que quatre ans après l’échéance annoncée, il est plus que rare de scanner son iris pour effectuer un payement. Même si la technique existe, elle n(a pas connu un grand engouement.

    Auparavant, les mêmes professionnels des systèmes de payement avaient annoncé pour fin 2016 l’arrivée du paiement par selfie, par reconnaissance faciale en somme et par empreinte. Le consommateur devait pour ce faire télécharger une application pour enregistrer le scan de son empreinte ou de son visage. Là encore, l’agenda a été plus que perturbé.

    Mais qui dit retard ne veut pas dire abandon et les développements récents en matière de reconnaissance faciale font bien craindre que l’échéance approche.

     

    Source : medias-presse.info

  • Le ministre Darmanin à l’université d’été du judaïsme français

    Publié par Guy de Laferrière le 28 juillet 2023

    Le ministre Darmanin à l'université d'été du judaïsme

    La rumeur prétend que Gérald Darmanin participa jadis à un camp d’été Maxime Real Del Sarte organisé par l’Action française. Vrai ou faux ? C’est en tout cas un passé bien éloigné. Le présent est tout autre. Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur mais aussi des Cultes, s’est rendu le 10 juillet dernier à Marseille à la soirée de gala de l’Université d’été du judaïsme français, organisée par le Consistoire israélite de France.

    « Un déplacement exceptionnel, dans une période extrêmement chargée pour le ministre de l’Intérieur, qui a donné lieu à des moments d’échange et de partage avec l’ensemble des élus politiques régionaux et des dirigeant(e)s de la communauté juive française », a rapporté l’instance juive.

    « Le patriotisme incontestable » de la communauté juive

    Cette soirée s’est tenue sur la terrasse du Fort Ganteaume, avec vue sur le Vieux-Port de Marseille.

    Michel Cohen-Tenoudji, président du Consistoire de Marseille, Haïm Korsia, grand rabbin de France et Élie Korchia, président du Consistoire de France, ont d’abord pris la parole lors du dîner.

    Sans surprise, la lutte contre l’antisémitisme était l’un des sujets majeurs des interventions.

    Gérald Darmanin est ensuite monté à la tribune, évoquant « le patriotisme incontestable » de la communauté juive et insistant sur le fait que « les Juifs sont les seuls à prier publiquement pour la République ».

    Parmi les participants à cette soirée, notons la présence de Christophe Mirmand, préfet de région, Frédérique Camilliéri, préfet de police de Marseille, Martine Vassal, présidente du Conseil départemental et de la métropole, Sabrina Agresti-Roubache, député, Jérémy Bacchi, sénateur, Zvi Ammar, président du Consistoire régional Alpes-Provence, et Fabienne Bendayan, présidente du CRIF Marseille.

    Times of Israel apporte quelques précisions :

    La première Université d’été du Judaïsme français a réuni du 9 au 11 juillet plus de 160 responsables communautaires venus de tous les Consistoires régionaux à travers la France, dont 15 grands rabbins et rabbins qui ont introduit ou conclu chacun des ateliers de réflexion.

    Ces ateliers ont notamment réuni Haïm Waxman, ambassadeur d’Israël et chargé d’affaires à l’ambassade d’Israël en France, Franz-Olivier Giesbert, journaliste et écrivain, le cardinal et archevêque de Marseille Jean-Marc Aveline, Yves Rouas, président de l’espace culturel et universitaire juif d’Europe (ECUJE) et de l’institut Élie Wiesel, Vincent Ploquin, responsable du service laïcité et cultes au ministère de l’Intérieur, ou encore l’historien et écrivain David Chanteranne.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Le monde de la boxe aux États-Unis

    Publié par Guy de Laferrière le 28 juillet 2023

    Thomas Joly

    LE combat des poids welters attendu depuis beaucoup trop longtemps. Pourquoi ? À cause du monde de la boxe tenu aux États-Unis par les noirs (totalement incompétents) et les juifs (qui se foutent totalement des enjeux sportifs).
    Ces mecs auraient dû se rencontrer il y a 5 ans minimum.
     
    Peut être une image de 4 personnes et texte qui dit ’WBNI SPENCE CRAWFORD VERSUS UNDEFEATED 29KOs 38-0-0 LIVE ON PAY-PER-VIEW 21KOs 27-0-0’
     
     
     
     
     
  • À Avignon, des Africaines obèses et hystériques embrochent des bébés blancs sur scène !

    Publié par Guy de Laferrière le 27 juillet 2023

    26 Juillet 2023, 10:30am | Publié par Thomas Joly

    On se souvient, évidemment, des paroles magnifiques de l'artiste Nick Conrad qui, dans sa chanson « PLB » (« Pendez les Blancs »), disait : « Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs/Attrapez-les vite et pendez leurs parents. » Face à Charlotte d'Ornellas puis à la justice de notre pays, il avait invoqué le second degré, la liberté artistique et toutes ces sortes de choses. Il avait d'ailleurs été condamné à une amende symbolique, avant de récidiver avec « Doux Pays », avec des paroles tout aussi explicites : « J'ai baisé la France, brûlé la France/Doux pays de mon enfance. » Paroles qui lui avaient, cette fois, valu un classement sans suite.

    Au festival d'Avignon, on a pris l'habitude de la subversion subventionnée, de la rébellion à la mode. Les « mutins de Panurge » moqués par le grand Philippe Muray n'ont jamais eu pignon sur rue à ce point. Quel courage de dénoncer le colonialisme, le sexisme ou le racisme, en France, en 2023 ! Quel courage, en ouverture du festival et dans la cour du palais des Papes, que de faire une minute de silence pour Nahel ! Si vous vous pensez rebelle ou subversif, mais que le pouvoir vous subventionne par millions, il est peut-être temps de vous poser les bonnes questions. Ainsi du spectacle Carte noire nommée désir, dans lequel huit artistes noires alternent les acrobaties et la danse - dont l'incontournable twerk, évidemment - pour faire « voler en éclats l'imaginaire colonial et son cortège de clichés » afin de « faire sororité ». Derrière ce charabia bien-pensant et à la mode, il s'agit, comme toujours, de faire honte à l'Occident et aux méchants Blancs.

    Parmi les choix de mise en scène audacieux de Rebecca Chaillon, on relève une femme qui se déplace sur scène avec une longue brochette de poupées, de la taille d'un bébé - des bébés blancs, évidemment. Embrocher symboliquement des bébés blancs, en voilà une idée originale ! Personne ne dira rien, car non seulement les Blancs sont méchants, mais en plus, ils sont lâches. On peut s'essuyer les pieds dessus : ce n'est pas l'électeur moyen qui fera brûler la France quand on tue un Blanc. Il semble que cette fois, le 24 juillet au soir précisément, les « performeuses » aient été « agressées » (peut-être pas physiquement, car on aurait eu les photos) par des Blancs, si l'on en croit une certaine « Doctorante, membre #MeTooTheatre, Torquemada en jupon, inquisitrice, procureure autoproclamée sectaire en chef, intermittente sans capital askip » qui nous rapporte ça sur Twitter. Cette fois, on a le droit de connaître la couleur de peau des agresseurs, ce n'est pas raciste. Mettre en scène des massacres de bébés en raison de leur seule couleur de peau non plus, apparemment.

    Il faudra peut-être, un jour, s'interroger sur ce que de tels spectacles apportent au monde de la culture, désormais totalement hermétique au souhait initial de Jean Vilar pour Avignon, celui de rendre le théâtre vraiment populaire. Laideur, haine, violence, bêtise ne sont pas les armes les plus efficaces, quel que soit le message que l'on porte. Privilégier le discours - quel qu'il soit d'ailleurs - à la forme, préférer l'idée à l'objet, c'est la définition du non-art. Gavés de subventions étatiques, encensés par la presse mais boudés par les spectateurs, ces « œuvres » qui ne savent que propager la haine de la France, la haine des Blancs, la haine de l'Occident, ont encore de beaux jours devant elles. Même si l'on considère - à tort - que le seul rôle de l'art est de dénoncer on ne sait quoi, on peut se demander en quoi il est original, audacieux, inédit, artistique, de hurler avec les loups et de toujours taper sur les mêmes : ceux qui baissent la tête en silence. Jusqu'à quand, d'ailleurs ?

    Arnaud Florac

    Source : http://bvoltaire.fr