Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 5

  • Les garnitures chromées des voitures bientôt interdites, pas les dangereuses batteries au lithium des voitures électriques

    Publié par Guy de Laferrière le 26 juillet 2023

    Interdire les garnitures chromées des voitures

    Les éléments de garniture chromés des voitures devraient bientôt être interdits par les autorités européennes. Motif ? Des substances cancérigènes seraient nécessaires à leur fabrication.

    Voilà plus de cent ans que les constructeurs automobiles utilisent le chromage pour différentes pièces qui parent un véhicule. Dans son obsession règlementariste sous des prétextes écologiques et climatiques, l’Union européenne ne s’attaque pas seulement aux émissions de gaz à effet de serre et de particules. Elle veut maintenant bannir le chrome hexavalent ou le trioxyde de chrome, largement utilisé dans l’industrie automobile, notamment aujourd’hui par les fabricants haut de gamme.

    L’Union européenne aurait découvert que ce composé chimique serait extrêmement toxique et causerait de graves problèmes de santé, notamment le cancer chronique du poumon. L’Europe veut donc interdire la substance dès 2024 dans l’industrie, y compris le secteur automobile.

    Quelles sont les alternatives ?

    Certains constructeurs ont décidé de prendre les devants, comme Dacia, qui l’a remplacé par des inserts blancs, ou Polestar, qui a tout simplement cessé de l’utiliser complètement. Volkswagen fait de même pour ses modèles électriques. Reste à savoir comment les marques de luxe, où le chrome est encore largement utilisé, trouveront une alternative à ce produit chimique en passe d’être prohibé.

    Et les batteries au lithium des véhicules électriques, on en parle ?

    Si l’Union européenne se préoccupe apparemment du chrome pourtant de moins en moins utilisé, elle reste par contre muette sur les batteries au lithium-ion des véhicules électriques qu’elle promeut. Rappelons que les batteries au lithium-ion sont à l’origine d’incendies de véhicules.

    Les batteries au lithium-ion ont envahi tous les recoins de nos maisons, de nos poches et de nos routes, puisqu’elles alimentent aussi bien nos smartphones et tablettes que les trottinettes électriques, les voitures et autres véhicules électriques.

    Or, les batteries lithium-ion sont de aussi de véritables allume-feu. La solution liquide qu’elles contiennent est hautement inflammable à température ambiante, la partie interne de la batterie appelée cathode est une source d’oxygène, et si les pièces internes de la batterie entrent mal en contact, elles s’échauffent rapidement et suffisamment pour enflammer le tout. Les régulateurs du transport aérien et les principales compagnies maritimes ont déjà édicté des règles très strictes concernant le transport de ces batteries.

    Incendies de voitures électriques

    En 2016, le smartphone  Samsung Galaxy Note 7 avait tout simplement été interdit dans les vols commerciaux à la suite d’incendies de sa batterie au lithium. Ce qui n’a pas empêché les batteries batteries au lithium-ion de proliférer autour de nous.

    Aux Etats-Unis, les incendies de voitures électriques font régulièrement les gros titres. C’est arrivé plusieurs fois avec des modèles Tesla mais aussi d’autres. L’année dernière, les Chevrolet Bolt ont été contraintes de se stationner à l’extérieur et à l’écart des autres voitures pendant que General Motors solutionnait un problème d’incendie de batterie. On parle également des scooters et des vélos électriques interdits dans des immeubles collectifs après des incendies causés par leur batterie. A New York, le conseil municipal pense interdire l’utilisation de batteries lithium-ion d’occasion.

    La Consumer Product Safety Commission a recensé aux Etats-Unis 25 000 cas de batteries lithium-ion ayant pris feu dans des appareils entre 2017 et 2021, et ceci sans prendre en compte les cas des véhicules électriques, qui ne relèvent pas de sa compétence.

    Lorsque les pompiers interviennent sur un véhicule électrique en feu, ils utilisent beaucoup d’eau pour contenir l’incendie, laissent la batterie se consumer d’elle-même et gardent la carcasse de la voiture isolée pendant plusieurs jours au cas où les cellules restantes se rallumeraient, ce qui n’est pas rare.

    Les couvertures d’extinction dont le principe consiste à bloquer l’oxygène lors d’incendies de voiture n’ont pas d’efficacité sur un feu de véhicule électrique car la batterie se trouve dans le châssis et s’autoalimente en oxygène.

    Effets du lithium sur la santé

    L’incendie d’une batterie au lithium provoque des fumées irritantes et toxiques. En cas d’explosion au contact de substances combustibles et de l’eau, l’inhalation de lithium peut entrainer des sensation de brulures et une respiration difficile, ainsi que des rougeurs et douleurs aux yeux. La substance est corrosive pour les yeux, la peau et le système respiratoire, l’inhalation de la substance peut causer un œdème pulmonaire. Les symptômes de l’œdème pulmonaire ne se manifeste souvent qu’après quelques heures et ils sont aggravés par un effort physique.

    La substance peut spontanément s’enflammer au contact de l’air. Avec la chaleur des fumées toxiques sont formées. Les réactions violemment causées par des oxydants forts, des acides et plusieurs composés (hydrocarbures, halogènes, béton, sable, amiante) peuvent présenter un risque d’incendie. Les réactions avec l’eau forment des gaz d’hydrogène hautement inflammable et des fumées corrosives d’hydroxide de lithium.

    L’Union européenne nous montre une fois de plus l’incohérence de ses décisions prises en vérité sous de faux prétextes et sous la pression de puissants lobbies industriels bien représentes au Forum économique mondial de Davos.

     

    Source : medias-presse.info

  • Alors qu’il était titulaire à l’Euro Espoir 2023, Amine Gouiri tourne le dos à l’équipe de France pour évoluer avec l’Algérie

    Publié par Guy de Laferrière le 25 juillet 2023

    L’attaquant du Stade Rennais, Amine Gouiri, a tourné le dos à l’équipe de France pour évoluer avec une autre sélection.

    L’Euro Espoirs de cet été a peut-être été la dernière compétition d’Amine Gouiri avec le maillot français sur le dos. L’attaquant serait en passe de changer de nationalité sportive en optant pour le pays d’origine de ses parents.

    Gouiri imite Aouar et Ait-Nouri

    D’après une information communiquée par Le Buteur, Gouiri aurait fait le choix de défendre les couleurs de l’Algérie. A l’instar de ce qu’ont fait Houssem Aouar et Rayan Ait-Nouri récemment, il aurait donc troqué la tunique frappée du coq pour le vert des Fennecs. Le Troyen Yasser Larouci pourrait en faire de même prochainement.

    […]

     

    Eurosport via fdesouche

  • Un monde sans frontière dans lequel il faut présenter un passeport pour aller à la piscine

    Publié par Guy de Laferrière le 25 juillet 2023

    Un monde sans frontière dans lequel il faut présenter un passeport pour aller à la piscine

    Les Marseillais du 13e arrondissement sont persona non grata dans les bassins des communes Allauch et Plan-de-Cuques. Priorité aux habitants de ces deux communes. Le maire de Plan-de-Cuques justifie :

    “Notre jauge est limitée à 250 personnes, pour 12 000 habitants, c’est logique de leur accorder la priorité.”

    À Allauch, le maire fait de même :

    “On atteint notre capacité maximale d’accueil de 250 personnes sur les deux bassins réunis. Cet équipement municipal est réservé toute l’année aux scolaires, associations et clubs. Les créneaux supplémentaires ouverts en été pour la population font que la piscine est occupée quasi à 100 %. Il est normal, compte tenu du coût que son entretien fait peser sur le budget municipal, qu’elle profite avant tout aux Allaudiens.”

    Si la préférence locale fonctionne, pourquoi la préférence nationale ne fonctionnerait-elle pas ?

     

    Source : lesalonbeige

     

  • Immigration : quand Viktor Orbán donne une leçon à l’UE et à la France

    Publié par Guy de Laferrière le 25 juillet 2023

    synthesenationale.

    1660415792.jpg

    Philippe Kerlouan dans Boulevard Voltaire

    Il ne fait pas bon, de nos jours, manifester quelque sympathie pour Viktor Orbán. Pourtant, beaucoup de Français aimeraient bien que, dans certains domaines, la France menât une politique comparable à la sienne. Le 22 juillet, plusieurs journaux ont rapporté que le Premier ministre hongrois, « coutumier des diatribes contre l'Union européenne », a appelé, samedi, à combattre « les échanges de populations » orchestrés par « cet empire fédéraliste », qu'il accuse aussi de mener « une offensive LGBT+ » et de rejeter « l'héritage chrétien ».

    Les « échanges de populations », une autre façon de désigner ce qu'on appelle parfois « le Grand Remplacement », s'attirant les foudres de la bien-pensance. Certains médias, comme Le Parisien, soulignent d'ailleurs que Viktor Orbán, « farouchement opposé à la réforme européenne de l'asile », fait ainsi référence au « programme du Grand Remplacement », ajoutant que « cette théorie complotiste popularisée par l'extrême droite arguë que les élites organiseraient le remplacement des populations européennes par des immigrés extra-européens ».

    Vous l'aurez compris, si vous avez le malheur de penser et surtout de dire qu'il y a trop d'immigrés en France ou en Europe et qu'il faudrait prendre des mesures pour en limiter le flux, vous serez immédiatement taxés d'extrémisme, considérés comme infréquentables et, bien que majoritaires, ostracisés par les tenants de la pensée unique. On peut cependant estimer que Viktor Orbán a raison et que l'Union européenne organise une immigration qui, à la fois, lui donne bonne conscience et compense son déficit démographique.

    La France de Macron veut être le bon élève de l'Europe. Le locataire actuel de l'Élysée fait partie de ces prétendues élites pour qui les frontières sont un obstacle à l'extension des marchés et l'identité culturelle française, une lubie réactionnaire et passéiste. Le projet de loi, qui devrait être prochainement examiné, censé « contrôler l’immigration et améliorer l’intégration », prévoit de faciliter les régularisations des travailleurs sans papiers, ce qui montre, s'il en était besoin, quel profit économique le gouvernement entend en tirer.

    Pour donner le change, le président de la République, lors du premier Conseil des ministres après le remaniement, a notamment déclaré que « le cap est clair et simple, celui de l'indépendance du pays pour pouvoir consolider un modèle plus juste » – ce qui ne veut rien dire –, soulignant qu'« il n'y a pas de politique qui tienne si nous ne sommes pas indépendants ». Se serait-il converti au souverainisme ? On jugera de sa sincérité à la lumière de toutes ses déclarations et actes passés, où il confond allègrement les souverainetés française et européenne.

    L'accusation lancée par Viktor Orbán contre l'Europe de mener « une offensive LGBT+ » et de rejeter « l'héritage chrétien » peut viser aussi Emmanuel Macron. Un exemple ? SOS Homophobie vient de faire pression sur Élisabeth Borne, lui demandant « de se positionner avec clarté en faveur d’une évolution de la loi permettant la déjudiciarisation de la procédure de changement de genre à l’état civil pour les personnes trans ». Pas question de s'opposer à cette proposition sous peine de passer pour homophobe ou transphobe. Sachez que cette association bénéficie d’un agrément du ministère de l’Éducation nationale pour intervenir dans l’enseignement public.

    Décidément, on comprend que s'exprime parfois le souhait d'un Orbán à la française. Ceux qui aiment la France, sa culture et son identité savent, entre Macron et Orbán, distinguer le collaborateur du résistant.

  • Charleville-Mézières (08) : Un homme armé d’un couteau tente de poignarder deux policiers qui parviennent à l’esquiver, le troisième ouvre le feu

    Publié par Guy de Laferrière le 24 juillet 2023

    Charleville-Mézières : Un homme armé d'un couteau neutralisé par balle dans le commissariat

    Agression à l’arme blanche au commissariat de Charleville-Mézières (Ardennes) dans la nuit de dimanche à lundi. Un homme armé d’un couteau a agressé plusieurs policiers avant d’être neutralisé par balle selon des sources policières, confirmant une information de L’Ardennais. Son pronostic vital n’est pas engagé. Il a été transporté à l’hôpital et ses motivations restent à déterminer.

    Il était environ 2 heures du matin lorsque cet homme a pénétré dans le commissariat, muni d’un couteau. Il aurait indiqué aux forces de l’ordre avoir été victime d’une agression. “Une fois dans les locaux, il a exhibé son arme et a tenté de poignarder à la cheffe de poste à l’accueil”, expose une source policière. La fonctionnaire a sorti son arme pour se défendre et a fini par réussi à repousser l’agresseur.

    actu17.fr via fdesouche