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  • Le dernier village chrétien de Palestine, Taybeh, subit des attaques des colons israéliens

    Publié par Guy Jovelin le 11 juillet 2025

    Auteur : 

    Taybeh, l'église historique de Saint-George incendiée
    Taybeh, l’église historique de Saint-George incendiée

    Palestine : le massacre et la famine font rage à Gaza mais les attaques israéliennes persistent, s’intensifient en Cisjordanie. La communauté chrétienne de Taybeh lance un appel à une intervention internationale urgente pour protéger les chrétiens.

    Le dernier village chrétien de Palestine, Taybeh, connu dans la Bible sous le nom d’Ephraïm, ciblé par des attaques de colons israéliens

    Les prêtres chrétiens de Taybeh, en Cisjordanie, ont publié aujourd’hui une déclaration appelant à une intervention internationale urgente pour protéger les chrétiens des attaques répétées des colons israéliens sur ses terres, ses églises, son cimetière et ses lieux saints.

    Taybeh est village chrétien de Cisjordanie. Il est enraciné depuis deux millénaires en Terre sainte. L’Évangile de Jean y fait référence, sous son ancien nom : Ephraïm. C’est là que Jésus se réfugia avant d’entrer dans sa Passion (Jean 11:54). Situé en Cisjordanie, à l’est de Ramallah, Taybeh est désormais le dernier village chrétien de Palestine. Ses quelque 1 300 habitants vivent principalement de l’agriculture, notamment de la culture de l’olivier, ainsi que de petites industries familiales.

    Ce village est régulièrement la cible de provocations et violences de la part de colons israéliens.

    Une église du Ve siècle a échappé de peu à un incendie criminel. Un grave incident, survenu début de cette semaine, a conduit les prêtres des Églises locales à tirer la sonnette d’alarme et à lancer un appel à l’aide internationale.

    Vatican News raconte :

    « Curé de la paroisse latine du Christ-Rédempteur à Taybeh depuis quatre ans, le père Bashar Fawadleh assure n’avoir jamais rien vécu de pareil. Lundi 7 juillet, un groupe de colons a intentionnellement mis le feu à un terrain situé à proximité du cimetière du plus ancien village chrétien de Cisjordanie, situé à l’est de Ramallah. « Il n’y a pas eu de blessés, mais les incendies continuent et les gens de la ville s’efforcent de les éteindre et d’assurer, tant qu’ils le peuvent, leur sécurité », explique le père Bashar. Finalement, seule l’intervention rapide des habitants et des pompiers a permis d’éviter une catastrophe qui aurait pu détruire entièrement un de leur joyaux, l’église byzantine de Saint-Georges datant du Vème siècle. C’est l’un des plus anciens édifices religieux de Palestine. »

    Ce village est régulièrement la cible de provocations et violences de la part de colons israéliens

    Les trois prêtres des Églises de Taybeh, latine, grecque-catholique melkite et grecque-orthodoxe, les pères Daoud Khoury, Jack-Nobel Abed et Bashar Fawadleh, ont ainsi publié mardi dernier une déclaration, parue dans la presse arabe, dans laquelle ils dénoncent l’attaque qui s’inscrit dans ce contexte d’agressions quotidiennes. Ils en appellent à une réaction urgente de la communauté internationale, des diplomates et des Églises du monde entier. Et ils réclament une enquête indépendante sur les incendies et agressions, une pression diplomatique concrète sur Israël, l’envoi de délégations sur le terrain pour documenter les violations, ainsi qu’un soutien juridique et économique aux habitants pour leur permettre de résister.

    Les prêtres dénoncent aussi l’installation, avec la complaisance des autorités israéliennes, d’avant-postes illégaux servant de base à de nouvelles agressions. Malgré les demandes répétées de démantèlement, aucune action concrète n’a été engagée.

    Communiqué prêtres des trois Églises de Taybeh, l’Église grecque orthodoxe, l’Église latine et l’Église grecque-catholique melkite

    « Nous, prêtres des trois Églises de Taybeh – l’Église grecque orthodoxe, l’Église latine et l’Église grecque-catholique melkite – élevons nos voix au nom des habitants de notre ville et des membres de nos paroisses pour condamner avec la plus grande fermeté la série répétée et grave d’attaques visant Taybeh. Ces agressions menacent la sécurité et la stabilité de notre localité, et de plus porte atteinte à la dignité de ses habitants et à la sacralité de sa terre sainte.

    « Le lundi 7 juillet 2025, des colons ont intentionnellement mis le feu près du cimetière du village et de l’église historique Saint-Georges (Al-Khadr), datant du Ve siècle – l’un des plus anciens sites religieux de Palestine. Sans la vigilance des habitants et l’intervention rapide des équipes de pompiers, les conséquences auraient pu être bien plus désastreuses.

    « Dans une scène provocatrice et quasi quotidienne, les colons continuent de faire paître leurs troupeaux sur les terres agricoles de Taybeh, y compris dans des champs appartenant à des familles du village et à proximité des habitations, sans aucune restriction ni intervention des autorités. Ces violations ne se limitent pas à de la provocation : elles causent des dommages directs aux oliviers – source essentielle de subsistance et de revenus pour les habitants de Taybeh – et empêchent les agriculteurs d’accéder à leurs terres et de les cultiver.

    « La zone orientale de Taybeh, soit plus de la moitié du territoire de la commune, sur laquelle se concentre la majeure partie de l’activité agricole, est devenue une cible ouverte pour des avant-postes de colonies illégales qui s’étendent discrètement sous protection militaire. Ces avant-postes servent de base pour de nouvelles agressions contre nos terres et les habitants.

    « La Terre Sainte ne peut rester vivante sans son peuple autochtone »

    « En tant que prêtres, nous portons la responsabilité pastorale et morale de notre communauté. Nous ne pouvons pas garder le silence face à ces attaques incessantes qui menacent notre existence sur notre terre. Taybeh – connue dans l’Évangile sous le nom d’« Éphraïm », le lieu où Jésus se retira avant sa Passion (Jean 11,54) – est la dernière ville entièrement chrétienne de Cisjordanie. Sa population est une présence unique dans la région, un témoignage vivant qui remonte au temps du Christ. Cet héritage spirituel et culturel, fidèlement préservé par les habitants de Taybeh à travers les générations, est aujourd’hui gravement menacé d’effacement et de déplacement en raison du ciblage systématique des terres, des lieux saints et de la communauté locale.

    « Nous appelons les acteurs locaux et internationaux – en particulier les consuls, les ambassadeurs et les représentants des Églises à travers le monde – à :
    1. Ouvrir immédiatement une enquête transparente sur les incendies criminels et les agressions continues et répétées contre les biens, les terres agricoles et les lieux de culte.
    2. Exercer une pression diplomatique sur les autorités occupantes afin de mettre fin dans les plus brefs délais aux agissements des colons et les empêcher d’entrer ou de faire paître leurs troupeaux sur les terres de Taybeh.
    3. Missionner des délégations internationales et ecclésiales pour effectuer des visites de terrain, documenter les dommages et témoigner de la dégradation de la situation sur place.
    4. Soutenir les habitants de Taybeh par des initiatives économiques et agricoles, afin renforcer leur résilience grâce à un accompagnement juridique efficace.

    « Nous croyons que la Terre Sainte ne peut rester vivante sans son peuple autochtone. L’expulsion des agriculteurs de leurs terres, la menace contre leurs églises, et l’encerclement de leurs villages sont autant de blessures infligées au cœur vivant de cette nation. Pourtant, nous demeurons fermes dans notre foi et notre espérance communes : la vérité et la justice triompheront, c’est une certitude. »

    « La Terre Sainte ne peut rester vivante sans son peuple autochtone », affirment-ils, ni cette présence chrétienne millénaire.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Recensement des logements « sous-occupés »

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2025

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    L'INSEE vient de publier une étude recensant les logements « sous-occupés » en France, c’est-à-dire trop grands pour ceux qui y vivent, selon ses propres critères.
    C'est le rêve humide des technocrates de Bercy et des khmers verts de la planification écologique : fliquer chaque mètre carré, chaque chambre inoccupée, chaque espace vital un peu trop large aux yeux de leur dogme collectiviste. Voilà donc l'ogre bureaucratique qui s’invite dans nos foyers pour compter les pièces, mesurer les mètres et juger – depuis les couloirs feutrés de la technostructure – si nous vivons « trop confortablement ».
    On nous dit que c’est pour « optimiser l’usage du parc immobilier ». En novlangue, cela signifie : rançonner les classes moyennes avec un nouvel impôt sur la « sous-occupation » pour mieux financer leur grande lubie : l’accueil sans fin de l’immigration. Car oui, ne soyons pas naïfs : derrière le vernis écologique et humaniste, il s’agit bien d’organiser le grand remplacement foncier.
    Après la voiture, la viande, la cheminée, voilà maintenant que le salon trop vide devient suspect. Le propriétaire devient coupable. Et bientôt, pourquoi pas, contraint d’ouvrir sa porte – sous peine d’amende ou de honte médiatique – à la nouvelle France importée. Une chambre d’ami ? Quelle indécence ! Une pièce vide ? Une trahison républicaine !
    Ce qu’ils veulent, c’est la fin de la propriété privée. Ce dont ils rêvent, c’est d’une société à la chinoise, où tout le monde vit dans 18 m², surveillé, taxé, culpabilisé. L’écologie punitive comme cheval de Troie d’un néo-communisme progressiste. Mais qu’on se rassure : leurs palaces, leurs résidences secondaires, leurs duplex parisiens, eux, ne seront pas concernés.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • ALERTE – L’État délègue la surveillance du web au CRIF

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2025

     
    Le gouvernement français confie la modération des contenus en ligne à une douzaine d’associations militantes, leur offrant un pouvoir inédit de signalement rapide via l’Arcom. Un pas de plus vers une surveillance idéologique du web, au détriment de la liberté d’expression.
    La ministre française de la lutte contre les discriminations, Aurore Bergé, a dévoilé un plan qui sent bon la surveillance généralisée d’Internet. Objectif affiché : éradiquer les contenus « haineux » en ligne. Traduction : confier à une coalition d’associations triées sur le volet le pouvoir de signaler à tour de bras tout ce qui leur déplaît, avec une rapidité digne d’un DSK au Sofitel. Et devinez qui est aux manettes ? Le Crif, bras armé autoproclamé des intérêts d’Israël, parade en tête de cortège, accompagné d’une ribambelle d’organisations bien-pensantes prêtes à faire la pluie et le beau temps sur les réseaux sociaux. Stupéfiant, non ?

    Une coalition pour tout nettoyer (ou tout contrôler ?)

    Sur France 2, Bergé a annoncé la couleur : l’État va généreusement financer une douzaine d’associations pour qu’elles traquent les discours jugés antisémite, raciste, anti-musulmans, homophobe ou encore misogyne. Parmi elles, on retrouve le Crif, la Licra, SOS Racisme, SOS Homophobie, Osez le féminisme, le Planning familial ou encore Respect Zone. Ces structures, déjà gavées de subventions publiques, vont recevoir un coup de pouce supplémentaire pour recruter des « cyber-justiciers » chargés de signaler à l’Arcom (l’autorité de régulation de la communication) tout contenu qui ne passe pas le test de la moralité. Résultat ? Les publications visées seront supprimées à la vitesse de l’éclair, sans trop se poser de questions.

    Avec un tel dispositif, ces associations deviennent les shérifs du web, des juges autoproclamés de ce qui est acceptable ou non. Et quand on voit le Crif, champion toutes catégories de la chasse à l’antisémitisme (ou à tout ce qu’il décide de qualifier comme tel), on se demande si la liberté d’expression n’est pas en train de prendre un sérieux coup dans l’aile. Parce que, soyons sérieux deux minutes : confier à des groupes militants, souvent alignés sur des agendas politiques bien précis, le pouvoir de censurer à tour de bras, c’est comme donner les clés d’un bulldozer à un enfant de cinq ans. Ça risque de déraper.

    Aurore Bergé, la croisade pour un Internet « propre »

    Pour Aurore Bergé, cette initiative serait une « cause commune » et un « enjeu démocratique majeur ». Rien que ça. Selon elle, les réseaux sociaux exercent une influence « absolument énorme » sur nos vies, au point de menacer la santé publique, notamment celle des adolescents. Un discours qui fleure bon la panique morale, histoire de justifier une mainmise accrue sur ce qui se dit en ligne. La ministre n’a pas hésité à convoquer les géants du numérique – Meta, YouTube, TikTok, Snapchat, Twitch – pour leur rappeler leurs « obligations ». Sous-entendu : alignez-vous, ou l’Union européenne sortira l’artillerie lourde des sanctions.

     

    Mais derrière les grands mots et les appels à la responsabilité, c’est une réalité bien moins reluisante qui se dessine. En dotant ces associations d’un accès prioritaire à l’Arcom, l’État leur offre un passe-droit pour imposer leur vision du monde. Et quand on sait que certaines d’entre elles, comme le Crif, n’hésitent pas à brandir l’accusation d’antisémitisme pour faire taire toute critique d’Israël, on peut légitimement craindre une dérive où la censure deviendra un outil politique plus qu’un rempart contre la haine.

    Une annonce qui arrive juste après l’adoption  le 2 juillet 2025. par l’Assemblée nationale, d’une loi relative à la lutte contre l’antisémitisme dans l’enseignement supérieur. Les députés ont été 366 députés à voter pour, mais 88 députés, issus majoritairement de La France insoumise (65), du groupe communiste (12) et des écologistes (11), ont en revanche rejeté le texte, ce que le Crif a condamné. Plus de soixante députés, en application de l’article 61§2 de la Constitution, ont saisi le Conseil constitutionnel.

    La délation est chaudement recommandée par le texte de loi :

    « Tout membre du personnel ayant connaissance d’un fait d’antisémitisme, de racisme, de discrimination, de violence ou de haine survenu dans ou en dehors de l’établissement, ayant un lien avec la vie universitaire, le signale sans délai auprès du dispositif mentionné au premier alinéa. »

    L’interdiction de travailler en université est prévue :

    « Ce décret précise également les mesures d’interdiction d’accès aux enceintes et locaux qui peuvent être décidées par le président ou le directeur de l’établissement à l’encontre des usagers faisant l’objet d’une procédure disciplinaire »

    Un air de déjà-vu pendant la période McKinsey.

    Et pendant ce temps, la liberté d’expression, ce vieux machin poussiéreux, risque de se retrouver reléguée au rang de souvenir lointain. Bravo, Aurore, belle performance.

  • Une nouvelle loi pour traquer l’antisémitisme dans les universités

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2025

    Une nouvelle loi pour traquer l'antisémitisme dans les universités

    L’Assemblée nationale a adopté le 2 juillet 2025 une nouvelle loi relative à la lutte contre l’antisémitisme dans l’enseignement supérieur. 

    Toujours plus de police de la pensée

    Que prévoit cette loi ? Elle encourage la délation au sein du monde universitaire de quiconque émet une opinion qui s’écarte de la doxa.

    « Tout membre du personnel ayant connaissance d’un fait d’antisémitisme, de racisme, de discrimination, de violence ou de haine survenu dans ou en dehors de l’établissement, ayant un lien avec la vie universitaire, le signale sans délai auprès du dispositif mentionné au premier alinéa. »

    Or, sur base des interprétations actuelles, toute critique de la politique israélienne sera considérée comme de l’antisémitisme. De même que toute critique de l’idéologie du genre sera associée à de la discrimination.

    Cette loi doit aussi servir à mener une campagne d’épuration parmi ceux qui travaillent en milieu universitaire, comme en témoigne ce paragraphe :

    « Ce décret précise également les mesures d’interdiction d’accès aux enceintes et locaux qui peuvent être décidées par le président ou le directeur de l’établissement à l’encontre des usagers faisant l’objet d’une procédure disciplinaire »

    Seule l’extrême gauche s’y oppose, le RN de plus en plus supplétif du pouvoir

    Les députés ont été 366 députés à voter pour. Seuls 88 députés d’extrême gauche – des députés de La France insoumise (65), du groupe communiste (12) et des écologistes (11) – ont voté contre ce texte. Pas un seul député du RN n’a voté contre une telle loi.

    Plus de soixante députés (tous de La France Insoumise sauf le député communiste Jean-Paul Lecoq), en application de l’article 61§2 de la Constitution, ont saisi le Conseil constitutionnel et dénoncent un texte qu’ils jugent flou et qui pourrait porter atteinte à la liberté d’expression et à la liberté académique. Ils soulignent qu’un article de cette loi crée une « section disciplinaire commune » aux établissements d’une même région académique et « méconnaît notamment les principes de clarté, d’intelligibilité de la loi et de sûreté, ainsi que la séparation des pouvoirs ».

    Le recours cible notamment la liste des faits passibles d’une sanction disciplinaire selon ce nouveau texte de loi qui vise également « les faits commis en dehors de l’établissement (…) lorsqu’ils présentent un lien suffisant avec l’établissement ou les activités qu’il organise ».

    Les députés qui ont saisi le Conseil constitutionnel estiment que de ces formulations floues « résulte un risque conséquent d’arbitraire dans les décisions prononcées ».

    Il en résulte, selon ces députés, un risque d’« atteinte à la liberté d’expression » des étudiants, « visant à sanctionner certaines idées et opinions, leurs prises de position politiques, leur engagement syndical ou les manifestations étudiantes ».

    Le Conseil constitutionnel, qui a le pouvoir de censurer tout ou partie de la loi, doit statuer dans un délai d’un mois.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • « Je ne peux pas rentrer au Maroc, je suis athée » : à Libourne (33), un migrant sous OQTF condamné à du sursis pour attouchements au lac des Dagueys ; une autre procédure en cours pour des faits similaires sur mineur

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2025

    Un homme a été jugé ce lundi 7 juillet pour des contacts à connotation sexuelle imposés à une femme dans l’eau du lac des Dagueys. Le prévenu est également visé par une autre procédure pour des faits similaires sur mineur

    […]

     

    « J’ai touché personne », tente de se défendre le prévenu dans un français hésitant. « C’est un complot. Il y avait beaucoup de monde dans l’eau. » Pourtant, à la gendarmerie, la plaignante reconnaît formellement son agresseur, connu pour une autre affaire d’attouchements sexuels sur mineur.

    Au cours de l’enquête, les gendarmes découvrent que le prévenu fait l’objet d’une Obligation de quitter le territoire français (OQTF) depuis le 26 septembre 2023, et qu’il était tenu de se présenter régulièrement au commissariat de Bordeaux, ce qu’il n’a jamais fait. « Je ne peux pas rentrer au Maroc, je suis athée », tente-t-il de justifier.

    Le prévenu a été condamné à six mois d’emprisonnement avec sursis. Il lui est en outre interdit se rendre sur la plage des Dagueys et sur tout lieu de baignade public, avec exécution provisoire d’un an. Il comparaîtra à nouveau en septembre 2025 dans une autre affaire, cette fois pour des attouchements sexuels sur mineur.

    Sud-Ouest via fdesouche.