Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2025

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Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2025


Le va-t-en-guerre Emmanuel Macron a proposé d’étendre le bouclier nucléaire français à l’Europe. Quelles sont les réactions des pays concernés ?
La Pologne s’est déclarée prête à envisager d’accueillir la dissuasion nucléaire française, et la Lituanie a également soutenu la proposition de Macron.
Si le chef de l’Union chrétienne-démocrate (CDU) et futur chancelier, Friedrich Merz, a exclu l’acquisition d’un arsenal nucléaire par l’Allemagne, il a promis de discuter avec la France et le Royaume-Uni d’accords nucléaires communs.
Le Premier ministre slovaque Robert Fico a rejeté l’initiative française, et le président roumain par intérim Ilie Bolojan estime peu probable que des armes nucléaires soient stationnées près de la frontière orientale de l’OTAN, malgré la demande de la Pologne. La Bulgarie n’acceptera pas le déploiement d’armes nucléaires françaises sur son territoire, a assuré Angel Georgiev, vice-président de la commission des affaires étrangères du parlement bulgare.
La France possède actuellement environ 290 ogives nucléaires, selon le Bulletin des scientifiques atomiques.
Provocation à l’égard de la Russie
Le président américain Donald Trump a déclaré qu’il préférerait la dénucléarisation : « Je sais que la Russie est de loin le pays qui possède le plus d’armes nucléaires. La Chine en possédera autant d’ici quatre à cinq ans. Ce serait formidable si nous pouvions tous nous dénucléariser, car la puissance des armes nucléaires est insensée. »
Si la France négocie le partage de ses armes nucléaires avec un pays européen, Paris aurait besoin de ressources et de temps considérables pour préparer l’infrastructure. Dans le cadre du dialogue entre les États-Unis et la Russie, la France et la Grande-Bretagne apparaissent comme les chefs de file du camp des faucons antirusses. De plus, un éventuel déploiement d’armes nucléaires françaises en Europe de l’Est constituerait de nouvelles menaces pour la Russie et ne ferait qu’intensifier le conflit.
Pierre-Alain Depauw
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2025

Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2025

La plainte vise à la fois Jordan Bardella et l’ancien eurodéputé auprès duquel il était censé remplir des fonctions à l’époque, Jean-François Jalkh. Cette plainte intervient moins d’une semaine avant le rendu du délibéré dans l’affaire dite des «assistants parlementaires fictifs du Rassemblement national», attendue au 31 mars.
Jordan Bardella risque 10 ans de prison, 1 million d’euros d’amende et 5 ans d’INÉLIGIBILITÉ dans l’affaire des assistants parlementaires, après le dépôt d’une plainte à son encontre.
Source : lesmoutonsrebelles
Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2025
Le 26 mars 1962, un traquenard diabolique ourdi par le pouvoir gaulliste et ses complices à Alger permettait d’enfermer dans une nasse les patriotes algérois venus défiler pacifiquement derrière les drapeaux français, pour protester contre le terrible blocus du quartier de Bab-el-Oued, assiégé par la Gendarmerie mobile.
Le préfet Vitalis-Cros fit appel à l’armée pour bloquer le passage de la foule. C’est le 4e Regiment de Tirailleurs Algériens ( arabes ou berbères, qui n’avaient jamais assuré l’ordre en ville, revenus harassés après plusieurs jours de marche), qui est désigné malgré la mise en garde de son commandement prévenant que ces soldats ne sont pas préparés à une confrontation urbaine.
Ils étaient trois mille civils non armés à défiler vers le quartier de Bab el Oued, et se retrouvèrent donc face à un barrage militaire.
A 14h45, un lieutenant des tirailleurs vient les prévenir, ou plutôt les supplier :
« dispersez-vous, nous avons ordre de tirer ».
Quelques minutes après, les armes automatiques crépitent vers la foule.
Une centaine de Français, hommes, femmes, enfants, furent abattus (certains achevés à terre) et plusieurs centaines furent blessés par les balles françaises. Ils sont tombés victimes de la haine gaulliste.
Ce que les Soviétiques n’ont pas osé à Budapest fin octobre 1956, les criminels gaullistes l’ont réalisé : faire tirer sur les habitants, sur les civils. Des officiers et des soldats portant l’uniforme de l’armée française ont tiré, pour réduire au silence en les tuant, des Algérois français qui voulaient rester français. Crime ineffaçable et qui souille à jamais notre armée et notre nation.
Le gouvernement n’a jamais présenté d’excuses.
Plus de détails sur ce site notamment.
Source : contre-info