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Le Parti de la France - Page 201

  • «Patria Albigès »

    Publié par Guy de Laferrière le 27 septembre 2023

    Peut être une image de texte

    Trois jeunes identitaires de «Patria Albigès » ont eu le courage de dénoncer les dangers de l’immigration en organisant une action sur des parcs de la ville d’Albi.
    Cette action fait suite après qu'un Syrien a blessé à l'arme blanche six personnes, dont quatre enfants, dans un parc d'Annecy le 8 juin 2023.
    Les jeunes de «Patria Albigès» ont bloqué les entrées de plusieurs parcs de la ville; ont accroché des affiches mettant en garde les habitants contre les agissements des immigrés.
    Bien vite il y eu une levée de boucliers de la part des «rouges» bien-pensants qui n’ont de cesse de défendre les allogènes.
    Les jeunes identitaires se retrouvent dans les filets de la justice républicaine.
    Jugés ce mardi 26 septembre devant le tribunal correctionnel d'Albi, Le dossier a été renvoyé au 12 décembre prochain.
    L’un des trois jeunes est le fils de mon copain Frédéric Cabrolier, député RN du Tarn. Ce procès devient politique.
    Rappelons que la France et l’Europe sont perméables aux migrants qui nous amènent vols, viols, crimes etc.
    Au Parti de la France nous disons qu’il est urgent de réagir et lorsque nous seront au pouvoir, nous rendrons nos frontières imperméables. Nous mettrons en place la «remigration».
    Le Parti de La France Occitanie soutient les jeunes de «Patria Albigès» qui ont su réveiller les consciences.
     
    Guy Jovelin délégué du Parti de la France pour l’Occitanie, membre du bureau politique du PdF.
  • Le "ré-enracinement"

    Publié par Guy de Laferrière le 27 septembre 2023

    lafautearousseau

    Le "ré-enracinement", voilà quelque chose d'essentiel qui fait partie de... la solution ! Famille chrétienne explique les raisons du succès du Pèlerinage de FeizeBreizh : Portés par la volonté de défendre leurs traditions régionales et liturgiques,  2000 fidèles ont assisté à la messe de clôture du pèlerinage Feiz e Breizh dimanche au sanctuaire Sainte Anne d’Auray. Un record pour cette jeune initiative...

    "C’est parce qu’on se rattache à des choses vraies et profondes que nous connaissons cet engouement. Cela parle vraiment aux gens. Notre objectif est de provoquer un vrai ré-enracinement !"

    https://www.famillechretienne.fr/41311/article/2000-pelerins-au-feiz-e-breizh-entre-racines-bretonnes-et-tradition-liturgique

    Les organisateurs ont appelé les bonnes volontés à s’investir pour pérenniser ce rendez-vous exceptionnel devenu dès lors le plus grand pèlerinage catholique de Bretagne...

  • Retraites : le gouvernement veut piquer dans les caisses du privé

    Publié par Guy de Laferrière le 26 septembre 2023

    C’est la dernière idée de génie du gouvernement : pour honorer ses promesses sans bourse délier, il suffit de piocher dans la poche d’autrui. En l’occurrence, dans les caisses du régime de retraite complémentaire des salariés du secteur privé, l’Agirc-Arrco.

    Tu veux ou tu veux pas, mais tu raques de toute manière !

    Après la mise en place de la réforme Borne, le recul de l’âge légal de départ à la retraite (qui passera, progressivement, de 62 à 64 ans) aura pour conséquence bénéfique une rentrée supplémentaire de cotisations, tout en retardant le moment de payer leur pension aux futurs retraités. Il en résultera une meilleure santé financière du régime Agirc-Arrco, qui pourrait engranger environ 22 milliards d’euros sur quinze ans : un véritable pactole qui viendra s’ajouter aux 68 milliards d’euros de réserves actuelles. Le gouvernement, endetté jusqu’au cou et qui cherche de l’argent partout, lorgne ce bas de laine avec l’appétit d’un loup famélique devant un mouton gras. Le ministre du Travail, Olivier Dussopt, a donc annoncé aux partenaires sociaux gestionnaires des caisses que la « solidarité » leur impose de partager le magot – qualifié d’« excédents » – afin de contribuer à tenir la promesse du gouvernement de revaloriser les petites pensions, inscrite dans la réforme des retraites. Le montant de cette participation serait compris entre un milliard d’euros, pour commencer, et trois milliards, fin 2026. Comme les syndicats se font tirer l’oreille, le ministre les a aimablement avertis : soit ils s’exécutent de bon cœur en inscrivant gentiment le siphonnage dans le nouvel accord-cadre courant sur la période 2023-2026, soit le gouvernement l’inscrira autoritairement dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2024. Autrement dit, tu veux ou tu veux pas, mais tu raques de toute manière.

    La « solidarité » a bon dos

    La protestation des syndicats est largement fondée. En effet, d’une part, parce que l’énormité des réserves de l’Agirc-Arrco est illusoire au regard de l’importance des pensions servies : 87 milliards d’euros en 2022. Les 68 milliards de réserves actuelles ne couvrent donc que neuf mois de paiement. C’est une sécurité, pas un magot.

    Et, d’autre part, parce qu’en l’occurrence, la « solidarité » a bon dos. Comme l’a montré une étude réalisée par l’actuaire Jacques Algarron pour l’association Sauvegarde Retraite, les taux de remplacement (montant de la retraite par rapport au dernier salaire) ne cessent de baisser depuis 1993 dans les régimes de retraite complémentaire des salariés du privé, en particulier pour les cadres. En outre, pour maintenir le régime à l’équilibre, les partenaires sociaux ont mis en place un malus, dit « coefficient de solidarité » (la solidarité a, décidément, bon dos), qui contraint, depuis 2019, les salariés à différer leur départ à la retraite au moins un an après avoir rempli les conditions du taux plein et atteint ou dépassé l’âge légal de départ – c’est-à-dire à cesser de travailler à 63 ans au minimum. En bonne logique, l’argent tiré des cotisations versées à l’Agirc-Arrco, qui est prélevé sur le fruit du travail des salariés, doit donc profiter à ces derniers en restaurant les taux de remplacement et le rendement du régime, en supprimant le malus, dont le maintien ne s’impose plus si l’équilibre budgétaire du régime est assuré, et en permettant de constituer davantage de réserves pour faire face à l’avenir.

    En revanche, cet argent n’appartient pas à l’État, qui n’a aucune légitimité pour taper dans la caisse sous prétexte d’honorer des promesses qu’il ne sait visiblement pas comment financer autrement qu’en recourant à une escroquerie aussi manifeste.

    Éric Letty

    Journaliste
     
    Source : bvoltaire
  • Ukraine : histoire du massacre d’un peuple

    Publié par Guy de Laferrière le 25 septembre 2023

    synthesenationale

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    Le sort de la nation ukrainienne, et la manière impitoyable dont elle est sacrifiée par ses parrains d’outre-Atlantique, donnent la mesure la plus tangible de l’intensité du conflit dont ce pays est le théâtre, le mercenaire et la victime. Depuis que les négociations de paix de mars 2022 ont été annulées par l’intervention de Boris Johnson au nom de l’OTAN, les pertes humaines de cette guerre sont directement imputables à ceux qui ont voulu sa poursuite à n’importe quel prix. Elles sont colossales et augurent d’un désastre historique.

    Lire la suite ICI

    Source : Antipresse

  • Français, vous n'avez pas fini d'en chier !

    Publié par Guy de Laferrière le 25 septembre 2023

    Thomas Joly

    Intervention complètement inutile du Président de la République ce soir sur BFMTV : baratin sur l'immigration, incantations sur une modération des marges des industriels, refus de baisser les taxes sur le carburant, fermeture des centrales à charbons (comme si c'était une priorité), plus de voitures électriques et de pompes à chaleur (que les Français ne peuvent pas se payer), laïus convenu sur le Niger et l'Arménie.
     
    Traduction : Français, vous n'avez pas fini d'en chier !
     
    Peut être une image de 1 personne, salle de presse et texte qui dit ’BFM 20.23 DIRECT TV. EDITION SPÉCIALE’