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Le Parti de la France - Page 390

  • Le ministre Darmanin à l’université d’été du judaïsme français

    Publié par Guy de Laferrière le 28 juillet 2023

    Le ministre Darmanin à l'université d'été du judaïsme

    La rumeur prétend que Gérald Darmanin participa jadis à un camp d’été Maxime Real Del Sarte organisé par l’Action française. Vrai ou faux ? C’est en tout cas un passé bien éloigné. Le présent est tout autre. Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur mais aussi des Cultes, s’est rendu le 10 juillet dernier à Marseille à la soirée de gala de l’Université d’été du judaïsme français, organisée par le Consistoire israélite de France.

    « Un déplacement exceptionnel, dans une période extrêmement chargée pour le ministre de l’Intérieur, qui a donné lieu à des moments d’échange et de partage avec l’ensemble des élus politiques régionaux et des dirigeant(e)s de la communauté juive française », a rapporté l’instance juive.

    « Le patriotisme incontestable » de la communauté juive

    Cette soirée s’est tenue sur la terrasse du Fort Ganteaume, avec vue sur le Vieux-Port de Marseille.

    Michel Cohen-Tenoudji, président du Consistoire de Marseille, Haïm Korsia, grand rabbin de France et Élie Korchia, président du Consistoire de France, ont d’abord pris la parole lors du dîner.

    Sans surprise, la lutte contre l’antisémitisme était l’un des sujets majeurs des interventions.

    Gérald Darmanin est ensuite monté à la tribune, évoquant « le patriotisme incontestable » de la communauté juive et insistant sur le fait que « les Juifs sont les seuls à prier publiquement pour la République ».

    Parmi les participants à cette soirée, notons la présence de Christophe Mirmand, préfet de région, Frédérique Camilliéri, préfet de police de Marseille, Martine Vassal, présidente du Conseil départemental et de la métropole, Sabrina Agresti-Roubache, député, Jérémy Bacchi, sénateur, Zvi Ammar, président du Consistoire régional Alpes-Provence, et Fabienne Bendayan, présidente du CRIF Marseille.

    Times of Israel apporte quelques précisions :

    La première Université d’été du Judaïsme français a réuni du 9 au 11 juillet plus de 160 responsables communautaires venus de tous les Consistoires régionaux à travers la France, dont 15 grands rabbins et rabbins qui ont introduit ou conclu chacun des ateliers de réflexion.

    Ces ateliers ont notamment réuni Haïm Waxman, ambassadeur d’Israël et chargé d’affaires à l’ambassade d’Israël en France, Franz-Olivier Giesbert, journaliste et écrivain, le cardinal et archevêque de Marseille Jean-Marc Aveline, Yves Rouas, président de l’espace culturel et universitaire juif d’Europe (ECUJE) et de l’institut Élie Wiesel, Vincent Ploquin, responsable du service laïcité et cultes au ministère de l’Intérieur, ou encore l’historien et écrivain David Chanteranne.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Le monde de la boxe aux États-Unis

    Publié par Guy de Laferrière le 28 juillet 2023

    Thomas Joly

    LE combat des poids welters attendu depuis beaucoup trop longtemps. Pourquoi ? À cause du monde de la boxe tenu aux États-Unis par les noirs (totalement incompétents) et les juifs (qui se foutent totalement des enjeux sportifs).
    Ces mecs auraient dû se rencontrer il y a 5 ans minimum.
     
    Peut être une image de 4 personnes et texte qui dit ’WBNI SPENCE CRAWFORD VERSUS UNDEFEATED 29KOs 38-0-0 LIVE ON PAY-PER-VIEW 21KOs 27-0-0’
     
     
     
     
     
  • À Avignon, des Africaines obèses et hystériques embrochent des bébés blancs sur scène !

    Publié par Guy de Laferrière le 27 juillet 2023

    26 Juillet 2023, 10:30am | Publié par Thomas Joly

    On se souvient, évidemment, des paroles magnifiques de l'artiste Nick Conrad qui, dans sa chanson « PLB » (« Pendez les Blancs »), disait : « Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs/Attrapez-les vite et pendez leurs parents. » Face à Charlotte d'Ornellas puis à la justice de notre pays, il avait invoqué le second degré, la liberté artistique et toutes ces sortes de choses. Il avait d'ailleurs été condamné à une amende symbolique, avant de récidiver avec « Doux Pays », avec des paroles tout aussi explicites : « J'ai baisé la France, brûlé la France/Doux pays de mon enfance. » Paroles qui lui avaient, cette fois, valu un classement sans suite.

    Au festival d'Avignon, on a pris l'habitude de la subversion subventionnée, de la rébellion à la mode. Les « mutins de Panurge » moqués par le grand Philippe Muray n'ont jamais eu pignon sur rue à ce point. Quel courage de dénoncer le colonialisme, le sexisme ou le racisme, en France, en 2023 ! Quel courage, en ouverture du festival et dans la cour du palais des Papes, que de faire une minute de silence pour Nahel ! Si vous vous pensez rebelle ou subversif, mais que le pouvoir vous subventionne par millions, il est peut-être temps de vous poser les bonnes questions. Ainsi du spectacle Carte noire nommée désir, dans lequel huit artistes noires alternent les acrobaties et la danse - dont l'incontournable twerk, évidemment - pour faire « voler en éclats l'imaginaire colonial et son cortège de clichés » afin de « faire sororité ». Derrière ce charabia bien-pensant et à la mode, il s'agit, comme toujours, de faire honte à l'Occident et aux méchants Blancs.

    Parmi les choix de mise en scène audacieux de Rebecca Chaillon, on relève une femme qui se déplace sur scène avec une longue brochette de poupées, de la taille d'un bébé - des bébés blancs, évidemment. Embrocher symboliquement des bébés blancs, en voilà une idée originale ! Personne ne dira rien, car non seulement les Blancs sont méchants, mais en plus, ils sont lâches. On peut s'essuyer les pieds dessus : ce n'est pas l'électeur moyen qui fera brûler la France quand on tue un Blanc. Il semble que cette fois, le 24 juillet au soir précisément, les « performeuses » aient été « agressées » (peut-être pas physiquement, car on aurait eu les photos) par des Blancs, si l'on en croit une certaine « Doctorante, membre #MeTooTheatre, Torquemada en jupon, inquisitrice, procureure autoproclamée sectaire en chef, intermittente sans capital askip » qui nous rapporte ça sur Twitter. Cette fois, on a le droit de connaître la couleur de peau des agresseurs, ce n'est pas raciste. Mettre en scène des massacres de bébés en raison de leur seule couleur de peau non plus, apparemment.

    Il faudra peut-être, un jour, s'interroger sur ce que de tels spectacles apportent au monde de la culture, désormais totalement hermétique au souhait initial de Jean Vilar pour Avignon, celui de rendre le théâtre vraiment populaire. Laideur, haine, violence, bêtise ne sont pas les armes les plus efficaces, quel que soit le message que l'on porte. Privilégier le discours - quel qu'il soit d'ailleurs - à la forme, préférer l'idée à l'objet, c'est la définition du non-art. Gavés de subventions étatiques, encensés par la presse mais boudés par les spectateurs, ces « œuvres » qui ne savent que propager la haine de la France, la haine des Blancs, la haine de l'Occident, ont encore de beaux jours devant elles. Même si l'on considère - à tort - que le seul rôle de l'art est de dénoncer on ne sait quoi, on peut se demander en quoi il est original, audacieux, inédit, artistique, de hurler avec les loups et de toujours taper sur les mêmes : ceux qui baissent la tête en silence. Jusqu'à quand, d'ailleurs ?

    Arnaud Florac

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Pseudo-réchauffement climatique : Sandrine Rousseau invente l’effet entrecôte !

    Publié par Guy de Laferrière le 27 juillet 2023

    27 Juillet 2023, 11:02am | Publié par Thomas Joly

    On connaissait l'effet papillon, avec ce battement d'ailes qui, par ricochet, peut provoquer un cyclone à l'autre bout du monde. Voici venir l'effet entrecôte, ou bifteck, bref, l'effet viande, à la fois plus proche de sa conséquence supposée, et plus déconnectée, à tout le moins. En effet, Sandrine Rousseau, infatigable pourfendeuse de la viande en général et du barbecue viriliste en particulier, a sa petite idée sur la cause des chaleurs intenses et des incendies qu'elles provoquent partout dans le monde. Et, comme il est juste que le monde n'en perde pas une miette, c'est sur Twitter que la pythie du réchauffement par le gril a rendu son implacable oracle : « La consommation de viande est une des causes de ce qui se passe en Algérie, Espagne, Grèce, Chine, Arizona et partout. Se prendre en photo, tout sourire, avec un morceau de viande, aujourd’hui, c’est cracher à la figure de celles et ceux qui fuient, brûlent, meurent de chaleur. » De celles et ceux qui aurions la gorge qui grattions et les yeux qui brûlions, pourrait-on ajouter avec un peu de malice, en hommage à sa syntaxe si particulière entendue lors de l'affaire de Sainte-Soline.

    On peut essayer de trouver des explications rationnelles à une telle sortie, bien que la députée de Paris elle-même ne goûte pas les explications logiques plus que de raison et préfère, de son propre aveu, « les femmes qui font de la sorcellerie aux hommes qui fabriquent des EPR ». Certes, la production de viande coûte cher, consomme de l'énergie et de l'eau, a un impact sur certaines ressources... d'accord. Est-ce pour autant un comportement qui accélère le réchauffement climatique ? Peut-être. Faudrait-il manger autre chose pour obtenir des protéines ? Des œufs, des insectes ?

    En réalité, ce n'est pas parce que l'on arrêtera de manger de la viande que les incendies s'éteindront. Ce n'est pas à cause des carnivores qu'il y a une vague de chaleur. Si l'activité humaine est responsable du réchauffement climatique, c'est plutôt du côté de l'industrie qu'il faut chercher - peut-être. Ce genre de raccourci est typiquement ce qui discrédite les écologistes et les confine du côté de la gauche la plus bornée, alors que la majorité des électeurs conviennent du fait qu'il s'agit d'un vrai sujet, complètement transverse du point de vue politique.

    Sandrine Rousseau ne s'arrêtera jamais. Elle détient un joker : la contredire, c'est essayer de la faire taire parce qu'elle est une femme (et certainement pas, évidemment, parce qu'elle pourrait raconter n'importe quoi...). La semaine dernière, elle a prouvé, en estimant la température en Espagne à soixante degrés (sans savoir que c'était au sol), qu'elle ne savait pas lire un thermomètre. Elle vient désormais de montrer, pour la énième fois, qu'elle était incapable d'autre chose que d'une hargne coercitive à l'égard des gens qui ne vivent pas comme elle. Pas un mot sur l'impossible recyclage d'éoliennes qui ne servent à rien, par exemple : ce serait de trop bonne foi. Il faut que l'écologie rousseauiste passe. Comme disait son homonyme Jean-Jacques, dans le Discours sur les origines de l'inégalité parmi les hommes : « Écartons d'abord les faits, car ils ne touchent point à la question. » La gauche ne changera pas.

    Arnaud Florac

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Congé parental : laissons le choix aux familles

    Publié par Guy de Laferrière le 27 juillet 2023

    Congé parental : laissons le choix aux famillesCongé parental : laissons le choix aux familles

    Communiqué du Syndicat pour la famille :

    Aurore Bergé, nouvelle ministre des Solidarités et des Familles, envisage un nouveau congé parental, mieux indemnisé et plus court. 

    Le Syndicat de la Famille l’invite à ajouter ce nouveau congé parental à l’actuel, pour laisser le choix aux parents entre deux possibilités, mais aussi à supprimer les contraintes imposées depuis 2015 pour prendre un congé parental.

    Depuis 2015, des conditions contraires au libre choix des parents ont été mises en place pour pouvoir prétendre à l’allocation de congé parental PrePare : l’un des parents peut prendre deux années de congé, mais si l’autre ne prend pas la troisième année, celle-ci est perdue pour le couple.

    L’objectif affiché était l’égalité homme-femme, mais rien n’a changé depuis : dans 95% des cas, c’est la mère de l’enfant qui prend ce congé. Il ne reste donc de cette expérimentation qu’un goût amer, celui de voir le congé parental réduit d’un tiers de sa durée. Quant à trouver un mode de garde pour aller des deux ans de l’enfant jusqu’à son entrée à l’école, c’est une source de problèmes et d’angoisses pour les parents et sans doute l’une des causes de la baisse de la natalité depuis cette année-là. Celle-ci n’a cessé de s’accentuer depuis : une situation qui nécessite des mesures d’urgences, pas nécessairement coûteuses ni complexes.

    Le Syndicat de la famille appelle donc à supprimer urgemment ces mesures liberticides et punitives. 

    Il appelle aussi à revaloriser le congé parental, c’est-à-dire le montant de l’allocation PrePare qui, pour le moment, exclue les parents des classes moyennes de la possibilité de prendre un congé parental, celles-ci n’ayant pas les moyens d’assumer une baisse importante de leurs revenus mensuels.

    Le coût d’une place en crèche étant nettement plus élevé que l’indemnité PrePare pour les finances publiques, cette revalorisation est possible. 

    Quant à l’idée d’un congé plus court et mieux rémunéré, Le Syndicat de la Famille appelle la Ministre à en faire une alternative au congé parental actuel de façon à laisser les parents choisir ce qui correspond le mieux à leur situation. 

    « Pour aider véritablement les familles, il faut leur donner le plus de choix possible de manière à s’adapter à leur mode de vie et à leurs contraintes. Les places en crèche représentant un coût très élevé et n’étant pas en nombre suffisant, proposer deux types de congé parental serait à l’avantage des parents, des enfants, et même des finances publiques » développe Ludovine de La Rochère, Présidente du Syndicat de la Famille. « Nous avons de nombreuses propositions pour faciliter l’accueil de l’enfant et la vie quotidienne des familles. Etant donné l’urgence de progrès pour elles et pour l’éducation, nous comptons les présenter dès que possible à la Ministre » ajoute-t-elle.

     

    Source : lesalonbeige