Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France - Page 390

  • “Tradwife” : le modèle de la femme au foyer revient à la mode

    Publié par Guy de Laferrière le 01 avril 2023

    Tradwife, le modèle de la femme au foyer revient à la mode
    Tradwife, le modèle de la femme au foyer revient à la mode

    C’est une information qui horripile les rédactions des médias européens : aux Etats-Unis d’abord, puis dans le reste du monde anglo-saxon, se répand un nouveau courant identifié sous le nom de tradwife. Ce qu’on pourrait simplement traduire par la femme traditionnelle. Mais il s’agit plus précisément de femmes qui assument vouloir être des femmes au foyer. Vous me direz que cela a toujours existé, malgré la propagande ultra-féministe combinée à la mentalité matérialiste d’une société occidentale qui a emprunté les chemins de la décadence. Mais la nouveauté, c’est le succès d’influenceuses qui se reconnaissent dans le modèle tradwife. L’une d’elle, l’Américaine Estee C. Williams, donne sa version de ce qu’est une tradwife : “Pendant que l’homme travaille et subvient aux besoins de sa famille, la femme reste à la maison, s’occupe de la cuisine, des tâches ménagères et des enfants si elle en a.” Or, cette vidéo a été vue plus de 900.000 fois sur le réseau social TikTok. Et ce n’est qu’une vidéo du genre parmi beaucoup d’autres.

    Suivie par plus de 88.000 abonnés, Estee C. Williams, vêtue de charmantes robes féminines, produit régulièrement des vidéos donnant des conseils du quotidien pour être une bonne femme au foyer.

    Sur YouTube, l’Anglaise Alena Kate Petit cartonne depuis trois ans avec ses vidéos de tradwife. Elle a même été invitée par la BBC pour en parler.

    Et ces derniers mois, elles sont de plus en plus nombreuses à revendiquer ce concept de tradwife.

    Bref, la femme traditionnelle revient à la mode ! Preuve que rien n’est jamais perdu.

     

    Source : medias-presse.info

  • Prime pour dénoncer des “activités religieuses illégales” dans une ville chinoise où les catholiques sont nombreux

    Publié par Guy de Laferrière le 01 avril 2023

    Catholiques-chinois
    Catholiques chinois

    Les autorités d’une ville de la province chinoise du Henan ont annoncé qu’elles offriraient une récompense financière aux citoyens qui dénoncent des “activités religieuses illégales”. Or, dans cette province vivent 10% des catholiques de toute la Chine.

    Les délateurs seront récompensés de 600 à 1 200 yuans (81 à 162 euros) pour leur dénonciation. Cela a été décidé par l’administration des affaires religieuses de Zhumadian (Henan) dans un document daté du 13 mars, qui a été rendu public ces derniers jours.

    Ce n’est pas la première fois que les autorités locales encouragent à réprimer les communautés religieuses qu’elles considèrent comme non conformes aux diktats du Parti communiste chinois (PCC) et qui sont donc considérées comme une menace pour la stabilité sociale. De telles situations se sont produites dans le Heilongjiang et le Shandong en 2021, et dans le Fujian, le Guangxi, le Hebei, le Liaoning et à nouveau dans le Henan en 2019.

    La municipalité de Zhumadian encourage les éventuels espions à fournir « du matériel audiovisuel pouvant prouver les faits dénoncés ».

    L’arrêté municipal ne fait référence à aucune religion en particulier. Mais les catholiques chinois qui vivent dans le Henan se sentent particulièrement visés. Comme dans le Fujian, l’Église locale non officielle (clandestine), qui ne reconnaît pas les organismes religieux sous contrôle du Parti, y est très forte.

    Récemment, les autorités provinciales ont rendu obligatoire pour les croyants de toutes confessions de s’inscrire auprès des autorités pour avoir le droit d’assister aux offices religieux, ce qui s’applique aux églises et aux mosquées ainsi qu’aux temples bouddhistes.

    Il convient de mentionner que pendant près de deux ans, la police locale a détenu illégalement (sans condamnation ni inculpation) l’évêque Joseph Zhang Weizhu de Xinxiang. L’accord lamentable entre la Chine et le Vatican sur la nomination des évêques, signé en 2018 et renouvelé en octobre 2020 et 2022, n’a pas mis fin à la persécution des catholiques, en particulier non officiels.

    Ensuite, il y a les témoignages recueillis ces dernières années, avec des cas dans le Henan de croix détruites et de chantage sur des familles pauvres sommées de détruire des images sacrées dans leurs maisons pour recevoir une aide financière.

    Tout cela s’inscrit dans la politique de Xi Jinping de “sinisation” des religions, dans un climat d’oppression croissante contre les religions, comme cela a été précisé lors de la récente session annuelle de l’Assemblée populaire nationale .

    Le régime a officiellement lancé le processus en 2015. Le 1er juin 2022, les Mesures de gestion financière des centres religieux sont entrées en vigueur . Peu avant, en mars, c’était au tour des « Mesures administratives pour les services d’informations religieuses sur Internet » : il n’est plus possible de mener des activités religieuses en ligne en Chine sans autorisation préalable du gouvernement.

    En février de l’année dernière, l’Administration d’État pour les affaires religieuses avait publié les « Mesures administratives pour le personnel religieux », un document sur la gestion du clergé, des moines, des prêtres, des évêques, etc. En février 2018, le Parti avait déjà adopté le « nouveau règlement sur les activités religieuses », selon lequel le clergé ne peut exercer ses fonctions que s’il s’affilie à des organisations « officielles » et se soumet au PCC.

     

    Source : medias-presse.info

  • Pour la HAS, la vaccination doit être recommandée mais plus obligatoire

    Publié par Guy de Laferrière le 01 avril 2023

    1789987027.jpg

     

    Un communiqué du Parti de la France :
     
    La HAS (Haute Autorité de Santé) a enfin revu sa doctrine et suggère désormais que la vaccination contre le Covid « soit fortement recommandée » pour les professionnels concernés mais plus obligatoire.
     
    Se pose désormais la question de la réintégration des soignants non-vaccinés, interdits d'exercer depuis plus d'un an et demi. Pour rappel, la France est le dernier pays au monde à ne pas les avoir réintégrés. Cela en dit long sur l'obscurantisme politico-scientifique qui règne autour de l'escroquerie covidiste.
     
    Enfin, si le nombre de soignants mis au ban de la société est relativement faible, beaucoup de professionnels de santé, très sceptiques sur le vaccin magique, ne le se sont pas faits injecter, se faisant délivrer des certificats de vaccination par des confrères.
     
  • Premier transfert de 76 migrants depuis Chypre vers la France, dans le cadre d’un programme de répartition des demandeurs d’asile au sein de l’UE

    Publié par Guy de Laferrière le 31 mars 2023

    Il s’agit de personnes originaires de Syrie et d’Afghanistan, dont le transfert a été organisé par l’Agence européenne pour l’asile (EUAA), l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) et les autorités françaises.

    Chypre a remis jeudi aux autorités françaises 76 demandeurs d’asile, premier transfert depuis ce pays vers la France dans le cadre d’un programme pilote sur la répartition des demandeurs d’asile au sein de l’Union européenne (UE), selon le ministère chypriote des Affaires intérieures.

    «L’acceptation par la France du transfert depuis Chypre de 76 premiers demandeurs (d’asile) est perçue comme un soutien pratique et un geste de solidarité» de Paris avec Nicosie, a salué le ministère.

    Il s’agit de personnes originaires de Syrie et d’Afghanistan, dont le transfert a été organisé par l’Agence européenne pour l’asile (EUAA), l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) et les autorités françaises, a-t-il ajouté.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Yousaf premier, le nouveau roi d’Écosse

    Publié par Guy de Laferrière le 31 mars 2023

    Yousaf premier, le nouveau roi d’Écosse

    Par Pierre Boisguilbert ♦ En 2006 sortait sur les écrans le film Le Dernier Roi d’Écosse. C’était un film magnifique avec Forest Whitaker, incomparable dans le rôle-titre et assumant le personnage d’Idi Amin Dada. Interrogé sur son roman dont le film est adapté, Giles Foden expliquait qu’il avait choisi ce titre, revendiqué par le dictateur, comme singulièrement révélateur de sa folie et de sa mégalomanie meurtrière. Quoi de plus fou pour un Africain ougandais que de se déclarer roi d’Écosse ? Eh bien, Foden avait tort, car la réalité est en train de rattraper la fiction et la démence d’hier est devenue conforme aux valeurs du temps.

    L’Écosse n’a pas encore de roi, mais déjà un Premier ministre musulman, Humza Yousaf. Et s’il occupe ce poste, c’est parce qu’il est à la tête du parti indépendantiste. Un parti qui à l’origine défendait l’identité historique des Écossais contre la colonisation des Anglais. On est bien loin de la lutte des Celtes contre les Normands.

    À la suite de la démission surprise de Nicola Sturgeon, le 15 février dernier, après huit ans au pouvoir, les membres du parti indépendantiste écossais (SNP) avaient le choix entre trois candidats pour lui succéder.

    Avec 52 % des voix des membres du SNP, Humza Yousaf, jusqu’alors ministre de la Santé, a remporté le deuxième tour du scrutin qui l’opposait au ministre des Finances, Mme Kate Forbes.

    « C’est un jour de fierté pour moi et ma famille, et j’espère que c’est aussi un jour de fierté pour l’Écosse car cela témoigne de nos valeurs en tant que pays alors que je me tiens ici en tant que premier musulman à diriger une nation démocratique occidentale », s’est réjoui Humza Yousaf. D’origine pakistanaise et indienne, Humza Yousaf est aussi le premier dirigeant musulman d’un important parti politique au Royaume-Uni. Son père et ses grands-parents paternels sont originaires de la province du Pendjab au Pakistan. Sa mère « est née au Kenya dans une famille d’immigrés asiatiques », détaille le journal pakistanais The Daily Pakistan. La famille s’est installée en Écosse en 1962. En 2011, lors de sa première élection au Parlement écossais, il a prêté serment en anglais et en ourdou. Après sa victoire, il a rendu hommage à ses grands-parents paternels, venus du Pakistan il y a 60 ans. « Ils n’auraient pu imaginer dans leurs rêves les plus fous que leur petit-fils deviendrait un jour le prochain Premier ministre d’Écosse. Cela nous rappelle que nous devrions […] toujours célébrer les immigrés, qui contribuent tellement à notre pays », a-t-il ajouté.

    Mais c’est tout de même un étrange musulman. L’idéologie woke a trouvé un musulman woke ancré à gauche et très progressiste sur les questions de société. Humza Yousaf soutient notamment une loi qui veut faciliter le changement de genre pour les jeunes, dès 16 ans et sans avis médical. Une loi qui a été bloquée par le gouvernement britannique. Humza Yousaf s’est engagé à poursuivre Londres en justice pour défendre la légitimité du Parlement écossais sur la question.

    Les deux autres candidates, Kate Forbes et Ash Regan, s’opposaient, elles, au projet de loi. Regan avait d’ailleurs démissionné de son poste de ministre pour protester contre cette « réforme du genre » et les deux concurrentes avaient déclaré qu’elles ne contesteraient pas le veto britannique. L’identité écossaise est donc liée à la théorie du genre. Voilà où nous en sommes.

    Qui sait, son rôle sera peut-être un jour interprété par un Mel Gibson transgenre célébrant le nouveau William Wallace sans kilt. Le film Braveheart célébrait de manière très romancée la vie du héros et symbole de l’indépendance écossaise, qui à la fin du xiiie siècle, affronta, à la tête des clans écossais unis, les troupes du roi Édouard Ier d’Angleterre.

    Mais du Dernier Roi d’Écosse à Humza Yousaf en passant par Braveheart, on peut se poser des questions. Un jour, les historiens se pencheront sur le suicide de l’homme européen par la subversion de son identité par des valeurs pour lui mortifères. Un Premier ministre indépendantiste écossais musulman et d’origine pakistanaise fera partie de l’enchaînement des aberrations idéologiques peut-être présentées d’ailleurs comme des avancées majeures. Car on ne parle pas d’un Premier ministre issu d’un parti internationaliste, écologiste, néo-féministe ou de défense des immigrés, mais du parti de l’indépendance de l’Écosse un temps représenté par Sean Connery. On voit le chemin parcouru. Un musulman porté au pouvoir car favorable aux transgenres. La boucle est bouclée. Rome a eu des empereurs qui n’étaient en rien des Romains ni même des Italiques. Ils venaient de tout l’Empire qui croyait se perpétuer en élisant à la pourpre suprême des nouveaux Romains si éloignés des origines. Rome s’enrichissait, paraît-il, de ses différences… On connaît la suite et la fin.

    Pierre Boisguilbert
    30/03/2023

     

    Source : polemia