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Le Parti de la France - Page 46

  • "La France a tué mon mari"

    Publié par Guy de Laferrière le 29 août 2024

    Éric Comyn, gendarme assassiné par une racaille à Mougins :

    "La France a tué mon mari . Par son insuffisance, son laxisme et son excès de tolérance. La France a tué mon mari."

    'La France a tué mon mari'

    lafautearousseau s'incline devant la douleur de l'épouse d'Éric Comyn, et partage sa juste colère.

    Cependant, ce n'est pas "la France" qu'il faut dire, mais "le Système".

    "La France", et nous tous, les 66 millions de Français, sommes tous les victimes du Système anti-national, qui importe de la racaille du monde entier, et plus spécialement d'Afrique, depuis les scélérats décrets Chirac de 75/76.

    Ce Système, par sa politique démente, nous a ainsi tous transformés en 66 millions de décapitables, égorgeables, écrasables, violables et volables... risquant la mort chaque jour, partout sur le territoire, à n'importe quel moment et quoi que nous fassions : tant de malades mentaux, d'assassins et de terroristes islamistes, de simples délinquants qui savent pertinemment qu'ils ne risquent plus rien se baladent dans nos rues, librement, à côté de nous ! Ils illustrent tragiquement cette phrase de Chateaubriand : "...Combien d'hommes ne remonteront pas, ce soir, l'escalier qu'ils ont descendu ce matin...".

    Sauf que, là, ce n'est pas "la vie", "le malheur" ou "la fatalité" qui en sont la cause, mais le pourrissement de notre Société par le Système, qui a transformé la France en poubelle du monde, en un gigantesque dépotoir à ciel ouvert...

    C'est "ça" qui a tué Éric Comyn hier, et tous les autres avant lui : c'est ce Système dangereux pour la France et les Français, dont il importe de se débarrasser...

     

    Source : lafautearousseau

  • LFI annonce une motion de destitution contre Macron : Le RN s’y oppose et soutient le Président

    Publié par Guy de Laferrière le 27 août 2024

    Après le rejet par Emmanuel Macron d’un gouvernement de gauche, La France insoumise a annoncé, lundi 26 août, son intention de déposer une motion de destitution contre le chef de l’État.

    Pour La France insoumise, Emmanuel Macron a franchi une ligne rouge. Le président de la République a ouvert de nouvelles consultations pour former un gouvernement, mardi 27 août 2024, après avoir écarté l’hypothèse d’un gouvernement du Nouveau front populaire (NFP).

    Ce qui n’est pas du goût du parti de Jean-Luc Mélenchon, non convié à ces nouvelles tractations, qui a, dans la foulée, déclaré qu’une « motion de destitution » serait déposée contre le chef de l’État.

    le Rassemblement National (RN) a annoncé qu’il ne voterait pas la destitution de Macron, arguant que cela « abîmerait la fonction présidentielle ». Le parti de Marine Le Pen trahit donc ses idées et les Français en refusant de s’allier à la gauche pour destituer le président. Le RN s’affiche comme une fausse opposition, pilotée par l’oligarchie, permettant ainsi à Macron de poursuivre ses politiques destructrices.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • L’OMS veut un nouveau vaccin ARN contre la grippe aviaire humaine

    Publié par Guy de Laferrière le 28 août 2024

    L'OMS promeut un nouveau vaccin ARN

    Cet été, assez discrètement, l’OMS et le Medicines Patent Pool (MPP) ont annoncé le lancement d’une nouvelle initiative destinée à accélérer la mise au point d’un vaccin à ARNm contre la grippe aviaire humaine (H5N1).

    Le fabricant argentin Sinergium Biotech dirigera cette opération en s’appuyant sur le Programme de transfert de technologie ARNm de l’OMS et du Medicines Patent Pool (MPP).

    Un projet qui date de juillet 2021

    Élaboré conjointement par l’OMS et le MPP, le Programme de transfert de technologie ARNm avait déjà été mis sur pied en juillet 2021 avec pour objectif officiel de “renforcer les capacités des pays à revenu faible et intermédiaire en matière de développement et de production de vaccins à base d’ARNm”.

    La “prochaine” plandémie

    Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, a déclaré :

    « Cette initiative illustre la raison d’être du Programme de transfert de technologies ARNm mis en place par l’OMS : favoriser la recherche, le développement et la production dans les pays à revenu faible et intermédiaire, pour que, lorsque la prochaine pandémie surviendra, l’ensemble du monde soit mieux préparé à riposter de manière efficace et équitable. »

    « Les virus de la grippe aviaire représentent un risque important pour la santé publique du fait de leur circulation généralisée chez les animaux et parce qu’ils sont de nature à provoquer une pandémie.»

    Alejandro Gil, PDG de Sinergium, abonde évidemment dans le même sens :

    « La volonté et la capacité renforcée de Sinergium d’appliquer ses compétences spécialisées au H5N1 joueront un rôle essentiel dans cet effort de préparation aux pandémies au niveau mondial. »

    Transfert de technologie à d’autres fabricants

    La plateforme a été créée et est en cours de validation au centre Afrigen, et cette technologie est actuellement transférée à des fabricants partenaires qui vont l’adapter et l’améliorer pour cibler « d’autres maladies de première importance ».

    Les “vaccins” ARNm au cœur de l’action de l’OMS

    « Les progrès réalisés dans le cadre du Programme de transfert de technologie ARNm sont au cœur de l’action menée par l’OMS et le MPP pour faire en sorte que les vaccins à ARNm soient plus largement disponibles, plus accessibles et davantage utilisés, aux fins d’une plus grande équité vaccinale à l’échelle mondiale », revendique fièrement l’OMS. Les très nombreuses victimes de graves effets secondaires des “vaccins” ARNm contre le Covid apprécieront, de même que les familles des victimes décédées.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • "La France a tué mon mari"

    Publié par Guy de Laferrière le 28 août 2024

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  • L’organisation de notre société ne répond plus aux besoins qu’exprime la majorité des Français

    Publié par Guy de Laferrière le 27 août 2024

    L’organisation de notre société ne répond plus aux besoins qu’exprime la majorité des Français

    Tribune de Louis de Bourbon, parue dans Valeurs Actuelles :

    Chers Français,

     

    Quand je me suis exprimé, comme chaque année, le 25 août dernier, à l’occasion de la fête de la Saint-Louis, qui aurait pu penser que les mois qui allaient suivre, seraient si paradoxaux, mêlant le meilleur au pire.

    Le meilleur, d’un certain point de vue, demeure assurément ce que nous venons de vivre avec la parenthèse des Jeux Olympiques. Ces derniers ont certes été inaugurés, de manière ouvertement calamiteuse, par une cérémonie dont plusieurs éléments ont été si indignes de la France que de nombreux pays ont refusé de la diffuser sur leurs réseaux nationaux. Toutefois ces Jeux ont pu donner l’impression de vivre un moment d’unité retrouvée pour notre pays. Comme les autres nations,  ce dernier a vibré devant les nombreuses prouesses de ses champions.

    Les succès obtenus ont été nombreux et la position de la France a été magnifiée.  Remercions ainsi ceux qui se sont engagés jusqu’aux limites de leurs forces, de leur courage, de leur volonté. Soyons fiers de nos médaillés et saluons chaleureusement ceux des autres nations, dans un mouvement que nous souhaitons voir se prolonger, dès les jours prochains, pour les jeux para-olympiques.

    Le pire, à l’évidence, concerne, en revanche, la situation politique dégradée dans laquelle notre pays est entré depuis des mois au point de devoir constater, avec un Gouvernement démissionnaire, une quasi vacance apparente des pouvoirs. La France traverse ainsi une crise telle qu’elle n’en a peut-être jamais connue en temps de paix. Il y a un an nous avions, pourtant formulé l’espoir que, malgré les difficultés croissantes, des changements pourraient advenir. Changements si nécessaires pour notre cher Pays, dont la société fracturée est de plus en plus  fragilisée depuis des décennies.

     

    Au-delà de l’accumulation de mauvaises décisions prises (poursuite d’un déficit chronique et alimentation d’une dette abyssale, conséquences d’un accroissement de flux migratoires incontrôlés, subversions de tous ordres sur le plan du respect des valeurs et de l’ordre public …), il nous faut considérer surtout l’esprit sciemment et délibérément perverti dans lequel beaucoup de décisions ont été prises, ou beaucoup d’autres, ne l’ont pas été.

     

    Idées partisanes, intérêts privés ou communautaristes et options conjoncturelles ont, trop souvent remplacé les règles élémentaires de bon sens, d’équité et de justice, le souci des populations les plus fragiles, la pleine mesure des questions de société (sécurité intérieure et extérieure, politique familiale, personnes âgées,  retraite, Défense nationale…).

    Force est ainsi de reconnaître que l’organisation de notre société ne répond plus actuellement  aux besoins réels qu’expriment la majorité des Français. Cela sous-entend donc bien l’existence d’une véritable fracture qui s’aggrave entre eux et des institutions qui assurent de moins en moins correctement leurs fonctions.

    Nous constatons ainsi que, de plus en plus nombreux, certains de nos concitoyens se mettent en retrait de la société. Ce repli s’exprime de différentes manières : retour au troc ; recherche d’une auto-suffisance préférée à celle d’une aisance partagée, pourtant seule source de richesse et de progrès ; repli sur le village, sur le département, la région parfois. Mais fait-on nation ainsi ? Sans doute non et la France de tout temps a formé une nation forte parce que, au-delà des particularismes, elle unissait tous ses enfants dans un destin commun.

    Ainsi la France paraissait, il y a un an, à un tournant pouvant lui permettre de reprendre en main sa destinée. Le cadre proche des élections paraissait propice à exprimer de hautes ambitions, en permettant de renouveler certaines élites politiques et, de redéfinir les enjeux de la solidarité européenne. En effet, au-delà des questions économiques, il y a, sur ce point, nécessité de clarifier les questions de souveraineté, de sécurité et d’identité des composantes de notre continent, dans leur diversité, face aux dangers qui les menacent (immigration incontrôlée, mondialisation des échanges).

    Or le vrai débat qui semblait ainsi s’amorcer a été occulté, opposant un déni aux aspirations légitimes qui paraissaient s’exprimer avec force. Il en est résulté une situation en impasse et un blocage institutionnel tendant à affaiblir notre pays à l’intérieur comme sur la scène internationale.

    Comme pour toutes les crises profondes que notre cher Pays a traversées, nous ne pouvons qu’espérer que celle-ci ne soit que temporaire et que, en particulier, cesse le plus rapidement possible cette sorte d’inversion des valeurs. Le temps des faux bilans cachant la vérité est manifestement  passé et celui de la nécessité d’engager des actions concrètes et réalistes, doit s’imposer à tous, chacun dans son domaine, de manière à pouvoir, au quotidien, redonner un sens au mot avenir.

    Ne doutons pas un instant, la France va se reprendre. Les Français attendent ce renouveau, ce sursaut qui fera franchir les écueils qui guettent notre pays. Il importe donc de ne pas s’enfermer dans un isolement sans issue, mais, au contraire, de s’évertuer à donner du sens au débat politique en consacrant du temps à la réflexion et à des actions menées, dans le souci du Bien Commun. Déjà de nombreuses jeunes familles s’engagent dans cette voie.

    Au niveau personnel, cela passera par la nécessité de poser clairement des objectifs, souvent à rebours d’idées ambiantes. Au plan collectif, cela passera, par l’abandon du déni pour dresser le tableau de ce qui ne va pas et l’acceptation de la réalité, même si cette dernière impose des efforts, voire des sacrifices. Comme nos sportifs, les Français devront avoir une mentalité de gagnants.

    Pour notre société faite d’hommes et de femmes, il est absolument nécessaire de réaffirmer le principe de l’encouragement des valeurs familiales, seule garantie d’une évolution à nouveau positive de notre société vieillissante et rempart naturel contre les dangers des immigrations. Défendre la vie de la conception à la mort, doit demeurer également un objectif premier avec l’appui  unanime des religions qui ont accompagné et continuent d’accompagner, en leur diversité même, le déroulement de notre histoire.  Assurer enfin, dans l’esprit de saint Louis,  par la garantie du droit, la sécurité et le respect des personnes et des biens.

    Parce que la société est, par définition, une communauté civile, il nous faut redonner toute sa place à la morale sociale, notamment le « tu ne tueras pas », et aux règles communes partagées, claires et acceptées par tous, en étant justes et ressenties comme telles. Equilibre nécessaire entre droits et devoirs. Cette vie civile et sociale intègre une définition claire du principe de laïcité, qui ne doit pas être affirmé comme celui d’une exaltation des valeurs matérialistes et celui d’une hostilité intentionnelle et systématique à l’égard de l’expression de religions, mais celui de permettre, au contraire, aussi l’expression des transcendances sans lesquelles l’homme ne peut s’épanouir pleinement.

    Enfin, parce que notre France est une société inscrite dans un contexte international, l’avenir de notre pays nécessite de réaffirmer son engagement européen, sur la base du respect des intérêts nationaux de tous les Etats, en s’appuyant sur le principe de subsidiarité, toujours énoncé, mais si souvent détourné en pratique.  Cet esprit européen d’une véritable civilisation féconde, permettra  seul d’apporter le supplément d’âme qu’attend le monde à une époque où le dialogue et les relations entre les états et les blocs doivent s’inscrire sur des bases nouvelles.

    Puisse notre pays, en retrouvant le sens de sa mission, se reprendre à l’intérieur pour être fort vis-à-vis de l’extérieur. Que saint Louis, modèle des gouvernants, fêté en ce 25 août par les catholiques, nous aide ainsi à retrouver à nouveau l’Espérance en l’avenir de la France.

     

    Source : lesalonbeige