Publié par Guy de Laferrière le 07 février 2023
Le Parti de la France - Page 557
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Trafic de bébés découvert en Ukraine
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Des femmes “mortes” utilisées comme utérus vivants ?
Publié par Guy de Laferrière le 07 février 2023
C’est idée avancée par un professeur agrégé de philosophie à l’université d’Oslo, en Norvège, pour palier au problème du manque de mères porteuses, publiée dans le Theoretical Medecine and Bioethics.
Les femmes en état de mort cérébrale seraient utilisées comme mères porteuses après y avoir consenti au préalable, comme dans le cas d’un don d’organes. Il s’agirait alors de placer des embryons dans l’utérus de ces femmes jusqu’à la naissance.
Dans son article, le Dr Smajdor a déclaré qu’il était «surprenant» qu’aucun pays n’autorise les femmes à faire don de leur corps à des fins de maternité de substitution après la mort cérébrale. Toute femme souhaitant éviter les «risques et les contraintes» d’une grossesse devrait avoir accès à cette forme de maternité de substitution.
L’article a quand même déclenché un tollé sur les réseaux sociaux. Certains ont déclaré que c’était la «chose la plus dégoûtante et la plus tordue» qu’ils aient jamais lue.
Source : lesalonbeige
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7 février 1982 : dans la nuit, décès de Saïd Boualam, dit le bachaga Boualam.
Publié par Guy de Laferrière le 07 février 2023
• 1982 : dans la nuit, décès du bachaga Boualam, 75 ans, grand officier de la Légion d’honneur, chef musulman d’Algérie dont plus de 2 000 hommes mourront au cours des deux guerres mondiales.
En mars 1962, alors que se consommait la trahison gaulliste, il proclamait lors d’une émission pirate de radio dans les départements d’Algérie que « l’Ouarsenis est terre française ».
Il fut rejoint par environ 105 hommes, dont le commando Albert.
C’est à cette occasion que le colonel Jean Gardes créea le fameux maquis OAS de l’Ouarsenis, en collaboration avec Boualam, qui avait prévu de ramener ensuite des milliers de harkis.
Les forces françaises, essentiellement de gendarmerie, s’associeront avec le FLN pour venir à bout de ces partisans de l’Algérie française…
Summum de l’ignominie, c’est l’aviation, sous les ordres du gouvernement, qui ira jusqu’à appuyer les Felagah de l’ALN (branche armée du FLN) pour mener à bien cette opération contre le maquis… Face à des soldats français expérimentés ayant rejoint les maquisards harkis mieux valait utiliser des avions…
Saïd Boualam, dit le bachaga Boualam, fut responsable de la harka de la région de l’Ouarsenis pendant la guerre d’Algérie. Son surnom de « bachaga » signifie « haut dignitaire », ou « caïd des services civils », c’est-à-dire chef de 24 tribus arabes des Beni-Boudouane, situées en Ouarsenis (entre Alger et Oran).
Durant les combats contre le FLN, il perdit dix-sept membres de sa famille, dont un de ses fils, Abdelkader.
Des livres du Bachaga Boualam sont en vente ici.Source : contre-info
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Portsall (29) : la maison de Paco Rabanne cambriolée quelques jours après sa mort
Publié par Guy de Laferrière le 06 février 2023
La maison de Paco Rabanne, le grand couturier et parfumeur décédé la semaine dernière dans sa demeure à Portsall, dans le Nord-Finistère, a été cambriolée dans la nuit de samedi à dimanche. Sans doute alléchés par la certitude d’y trouver des objets de grande valeur, des voleurs n’ont pas hésité à fracturer une porte-fenêtre au pied de biche pour pénétrer à l’intérieur de cette belle demeure néo-bretonne, située en bord de mer, près de la plage de Porsguen.
Une bien mauvaise pioche au final. Selon une source bien informée, “le butin est minime voire insignifiant. Paco Rabanne a beau avoir été cet ambassadeur du luxe que tout le monde connaît, il vivait dans un intérieur très épuré. Pour résumer, il n’y avait rien à voler. Autant prévenir ceux qui auraient l’intention d’y retourner. Il n’avait pas d’argent chez lui, et pas d’objets de valeur non plus”.
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Refus d’obtempérer à Cavaillon (84) : de la cocaïne et de l’argent saisis ; 3 jeunes suspects, bien connus de la justice, interpellés ; un policier sérieusement blessé
Publié par Guy de Laferrière le 06 février 2023
Trois hommes d’une vingtaine d’années ont tenté d’échapper aux policiers à Cavaillon (Vaucluse). Ils ont été interpellés et l’un des agents a été sérieusement blessé. De la drogue et une forte somme d’argent ont été découverts par les enquêteurs.
Un policier a été blessé à Cavaillon (Vaucluse) lors de l’interpellation de trois hommes après un refus d’obtempérer, dans la nuit de jeudi à vendredi a-t-on appris, confirmant une information de France Bleu.
Une patrouille de police a d’abord repéré une voiture arrêtée en double file, avec trois hommes à son bord, sur la route d’Avignon, vers 01h30. Les forces de l’ordre s’approchent pour procéder à un contrôle mais le trio tente de prendre la fuite. Il est rapidement interpellé. L’un des suspects s’oppose violemment à son arrestation et blesse l’un des agents au niveau d’un genou. Huit jours d’incapacité totale de travail (ITT) lui ont été attribués.
Dans l’habitacle de la voiture, les policiers découvrent un sachet contenant une centaine de grammes de cocaïne. Les trois suspects, âgés de 23 et 25 ans pour deux d’entre eux, ont été placés en garde à vue. Ces derniers avaient sur eux de fortes sommes d’argent. Ils sont déjà bien connus des services de la justice. L’un avait reçu une interdiction de paraître dans le département du Vaucluse, suite à un jugement dans une précédente affaire de stupéfiants.