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école - Page 5

  • Faute de frontières extérieures, les frontières intérieures se multiplient

    Publié par Guy Jovelin le 28 février 2021

    À Nîmes, l’école Greorges Bruguier est désormais barricadée par une grille de 3 mètres de haut, pour se prémunir du trafic de drogue en expansion dans le quartier.

    C’est la seule solution trouvée par les pouvoirs publics pour assurer leur sécurité.

    Une mère de famille explique :

    “Mon fils est à l’école ici et il doit s’habituer. Je ne peux plus lui faire coucou pendant la récréation. J’espère que ce mur le protégera, il en avait marre des alarmes, et de se réfugier sous la table.” […]

    Le chef d’établissement précise :

    “Nos élèves se retrouvent confinés en silence plusieurs jours par semaine depuis le mois de mai, évacués, stressés, ils passent de mauvaises nuits à la suite de cauchemars.”

     

    Source : lesalonbeige

  • Que ressentent nos enfants en devant porter un masque à l’école ?

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2021

    Auteur : 

    Un tract qui résume bien les choses.

     

    Source : medias-presse.info

  • Gérald Darmanin : «Enseigner l’arabe à l’école, c’est aussi un moyen de réduire le pouvoir des religieux»

    Publié par Guy Jovelin le 04 octobre 2020

    Dans les colonnes du Journal du Dimanche ce dimanche 4 octobre, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin indique vouloir renforcer l’apprentissage de l’arabe à l’école. «C’est une proposition républicaine et courageuse» assure le ministre. Ce dernier y voit aussi un moyen d’endiguer le séparatisme, sujet du discours d’Emmanuel Macron vendredi 2 octobre.

    Le ministre de l’Intérieur récuse avant tout l’apprentissage de l’arabe dans les mosquées. À l’enseignement de cette langue, il souhaite apporter un cadre laïque et républicain. «Quand j’étais enfant, mes copains, enfants de femmes de ménage comme moi et issus de familles portugaises ou espagnoles, apprenaient à l’école la langue de leurs parents. Mais mes cousins d’origine maghrébine n’avaient que la mosquée pour apprendre l’arabe…» déplore-t-il. Et d’ajouter : «Est-ce cela que l’on veut? Nous avons besoin de jeunes Français qui parlent l’arabe […] L’enseigner à l’école c’est aussi un moyen de réduire le pouvoir des religieux».   […]

    Le Figaro via fdesouche

  • Esclavage : 12 choses méconnues. Attention au choc !

    Publié par Guy Jovelin le 14 juin 2020

    L’excellente revue d’études et de formation politique L’Héritage (abonnez-vous y !)  publie cet excellent rappel :

    On parle beaucoup de l’esclavage, dans les médias, à l’école, dans les cénacles politiciens, dans des manifestations même.

    Mais a-t-on une vision complète et réaliste de ce terrible phénomène ?

    Voici 12 réalités qui sont ignorées par la plupart des gens, même ceux qui parlent le plus d’esclavage.
    Ces vérités dérangeraient-elles une idéologie en particulier ou un agenda politique ?

    1) L’esclavage a été pratiqué très longtemps et presque partout ; mais son abolition est apparue dans le monde européen, sous la pression de l’Eglise catholique particulièrement.

    2) L’esclavage a constitué un progrès chez de nombreux peuples primitifs dans la mesure où, auparavant, en cas de conflit, les hommes vaincus étaient massacrés (les femmes étant « mariées » de force).

    3) Aux Etats-Unis, au moment de la Guerre de Sécession, seuls 2% des Blancs possédaient des esclaves (4,8% dans les Etats esclavagistes).

    4) Le général Lee, commandant des armées sudistes, était hostile à l’esclavage.

    5) De nombreux Blancs furent esclaves aux Etats-Unis et dans les îles. En 1640, dans les plantations de canne à sucre des Iles de La Barbade, 21 700 blancs sont recensés sur 25 000 esclaves. De 1609 à 1800, près des deux tiers des Blancs arrivent en Amérique comme esclaves.
    Au XVIIe siècle, il y eut davantage de Blancs déportés aux Amériques que de Noirs.

    6) Des Afro-américains possédaient eux aussi des esclaves. L’un des premiers propriétaires d’esclaves aux Etats-Unis fut un Noir (Anthony Johnson), qui avait d’ailleurs des serviteurs blancs.

    7) Le mot « esclave » vient du nom « Slave », car les peuples slaves (d’Europe centrale et de l’Est) ont été victimes de la traite à très grande échelle (plusieurs millions) pendant des siècles, notamment par l’Empire ottoman.

    8) Du IXe au XIXe siècles, environ 2 millions d’Européens de l’Ouest – hommes, femmes et enfants – sont capturés par les musulmans et réduits en esclavage.
    Pendant des siècles, de nombreux hommes capturés sont – comme dans le cas des Slaves – castrés, opération qui entraîne la mort d’une grande partie d’entre eux. Quant aux femmes, elles sont souvent destinées à l’esclavage sexuel et livrées à la perversité de leurs « propriétaires », ce qui est parfois aussi le cas des enfants.
    Pour donner une idée de l’ampleur de ces razzias, une lettre du 3 février 1442 adressée par un religieux qui résidait à Constantinople au prieur de Saint-Jean-de-Jérusalem (de l’ordre des hospitaliers) mentionne l’enlèvement par les Turcs de 400 000 chrétiens en seulement 6 ans.

    9) Pendant des siècles, les Barbaresques (occupant le Maghreb) terroriseront la Méditerranée et ses rivages où ils capturent des Européens, mais ils séviront aussi en Atlantique, jusqu’aux côtes anglaises. La France a conquis Alger, en 1830, pour mettre fin à ce fléau.

    10) C’est à l’intérieur de l’Afrique même que l’esclavage a eu le plus d’ampleur ; les Noirs s’y esclavagisaient entre eux.
    • La traite interne à l’Afrique a concerné environ 17 millions de personnes.
    • La traite arabo-musulmane a concerné environ 14 millions de personnes.
    • Enfin, en dernière position, la traite vers l’Amérique et les îles a concerné de 9 à 11 millions de personnes (noires et blanches).

    11) Pour la traite transatlantique, une très grande partie des navires négriers appartenaient à des familles juives, étaient commandés par des Juifs et « ce commerce était principalement une entreprise juive » I d’après les historiens (juifs)Au milieu du XIXe siècle, aux Etats-Unis, 40% des Juifs possédaient des esclaves (contre 2% des Blancs).
    Dès le IXe siècle, en France, les Juifs étaient communément montrés comme les maîtres de ce « malheureux trafic ».

    12) L’esclavage existe encore dans certaines parties du monde arabo-musulman (des images de marchés aux esclaves ont été prises en Libye en 2017) ainsi qu’en Afrique : on estime que près de 40 millions de personnes dans le monde vivent encore en esclavage…
    Mais il existe aussi en Europe : aux Pays-bas, chaque année, plus d’un millier de jeunes filles sont victimes d’exploitation sexuelle par des jeunes proxénètes issus de l’immigration ; en Angleterre, dans la seule ville de Rotherham, entre 1997 et 2013, 1400 mineures ont été victimes de viols par des gangs pakistanais, des centaines de jeunes filles réduites à l’esclavage sexuel et à la prostitution.

    Henri Ménestrel

    Bonus :
    Christiane Taubira, montrant que les élites savent certaines choses mais veulent les cacher par idéologie, explique qu’il ne faut pas trop évoquer la traite négrière arabe-musulmane pour que les « jeunes Arabes » « ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes » (L’Express, 4 mai 2006).

    Sources :
    La désinformation autour de l’esclavage, Arnaud Raffard de Brienne, Atelier Fol’Fer.
    Le Génocide voilé, Tidiane N’Diaye, Gallimard.
    La désinformation autour de la Guerre de Sécession, Alain Sanders, Atelier Fol’Fer.
    Les Négriers en terre d’islam, Jacques Heers, Perrin.
    (I) New world Jewry, Seymour B. Liebman (American jewish historical society), 1982.
    Jews and judaism in the United States, Marc Lee Raphael (American jewish historical society).
    They Were White and They were Slaves, Michael A. Hoffman

  • LUTTE CONTRE LES « SECTES »

    Publié par Guy Jovelin le 12 mai 2020

    POSTÉ LE MAI 12, 2020, 10:33

    Nous savions que l’école n’était pas seulement un lieu d’apprentissage des « fondamentaux » (lire, écrire, compter), mais aussi un lieu de propagande.

    C’est d’ailleurs ce qu’annonce officiellement le titre du ministère de tutelle : « Éducation nationale » et non plus « Instruction publique ».

    Mais, comme de juste, la crise sanitaire est l’occasion de remettre le couvert d’une solide propagande « citoyenne » – comme on dit dans le volapük contemporain.

    Les enseignants ont ainsi reçu une note de trois pages intitulée « Covid-19 et risques de dérives sectaires ».

    Ils sont priés par le ministère de repérer ces « risques ».

    On découvre dans la note que ces risques se manifestent notamment par des discours anxiogènes – ce qui implique probablement que la plupart des autorités politiques de notre beau pays sont des gourous de secte, car elles n’y ont pas été de main morte avec leurs discours anxiogènes !

    Je découvre aussi que les « sectes » utilisent les réseaux sociaux, « pendant un confinement qui fragilise le lien de la population avec les institutions publiques ».

    Cela va peut-être beaucoup surprendre nos dirigeants, mais une large majorité de Français utilise les réseaux sociaux.

    Et une large majorité n’a plus qu’une confiance mitigée dans des institutions publiques qui ont montré leurs limites.

    Faut-il croire que 80 % des Français sont suspects de « dérives sectaires » ?

    Pour faire bonne mesure, la note pointe du doigt les médecines alternatives « non évaluées et non étayées par une méthode scientifique ».

    Dans notre pauvre France, même les médecins ont perdu leur liberté thérapeutique. Quant aux patients, il faut leur faire ingurgiter de force les médications que le gouvernement (à la compétence scientifique que le monde entier nous envie) a concoctées pour eux.

    Peut-être faudrait-il rappeler à nos excellents dirigeants que la confiance ne se commande pas. Ils ont si souvent trahi leurs promesses que nous n’avons plus la moindre confiance en eux.

    Appelez cela « dérives sectaires » si cela vous chante. Mais ce n’est pas en menaçant ni en terrorisant les populations que vous regagnerez leur confiance perdue.

    Oh, certes, la propagande peut fonctionner. Les enfants pourront bien vous obéir. Les adultes aussi peut-être. Mais vous ne régnerez pas sur un peuple d’hommes libres, mais sur une foule d’esclaves lobotomisés. C’est sans doute politiquement plus facile à gérer, mais, à long terme, c’est tout simplement intenable !

     

    Source : les4verites