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algérien - Page 2

  • Bordeaux : « Il vient d’Algérie et c’est très compliqué de repartir dans l’autre sens. » ; sous OQTF et ayant “souvent varié noms, prénoms, dates et villes de naissance”, il écope de 6 mois de prison pour vol

    Publié par Guy de Laferrière le 15 avril 2023

    Il a d’abord nié en bloc. Avant de reconnaître l’évidence. « Oui, c’est moi sur la vidéo, c’est moi qui ai pris le téléphone », murmure un jeune de 26 ans, dans le box des prévenus de l’audience des comparutions immédiates du tribunal correctionnel de Bordeaux.

    Il est jugé sous une identité, mais, depuis son arrivée sur le territoire français il y a neuf ans, a souvent varié noms, prénoms, dates et villes de naissance au fil des alias présentés. Le 11 avril vers 20 h 45, cours Victor-Hugo à Bordeaux, une jeune femme s’est rendu compte que son téléphone avait disparu de son sac. Elle a pu géolocaliser son appareil et le voir se déplacer cours de l’Argonne et s’arrêter à Talence.

    La vidéosurveillance d’un bar a filmé la scène du vol. Le prévenu est clairement identifiable. Le lendemain, la victime s’est rendue à l’endroit où elle a perdu la trace de son smartphone. Là, elle a reconnu le voleur et appelé la police municipale.

    « Et les autres téléphones », s’interroge le président. « Je les ai achetés en magasin », rétorque le prévenu qui fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français. « Je sais que je dois partir mais je n’ai pas d’argent, je n’ai pas de passeport et j’ai une fille, née en France, que je ne veux pas laisser derrière moi. »

    (…) « Il vient d’Algérie et c’est très compliqué de repartir dans l’autre sens. » Le tribunal a opté pour une peine de six mois et une incarcération immédiate.

    Sud Ouest via fdesouche

  • Cenon (33) : la police lance un avis de recherche pour retrouver un adolescent héroïque qui a empêché le viol d’une collégienne par un Algérien, déjà condamné onze fois, qui venait de purger une peine de réclusion criminelle (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 21 février 2023

    21/02/23

    6/02/23

    Déjà condamné onze fois, un individu a tenté de violer à Cenon (Gironde) une collégienne de 13 ans qui en a été empêché par un adolescent. à Cenon a été placé en détention provisoire dimanche. Il a blessé trois policiers durant sa garde à vue.

    Sans profession, au RSA et fumeur de cannabis, le suspect, né en Algérie, nie les faits et a prétendu durant ses auditions «ne se souvenir de rien». Les témoins également entendus confirment pourtant le déroulé de l’agression.

    Vendredi, une collégienne de 13 ans marchait tranquillement dans la rue à Cenon (Gironde) en téléphonant à sa mère quand un homme «est arrivé en courant vers elle, l’a attrapée, poussée et fait chuter avant de la tirer par les cheveux en lui passant la main dans le pantalon», décrit Frédérique Porterie, procureur de la République à Bordeaux. Criant et se débattant, la jeune fille a été prise en tenaille par cet individu de 49 ans, qui s’est assis à califourchon sur elle en ouvrant sa braguette et a tenté de la forcer à lui faire une fellation avant de l’étrangler.

    Elle a pu s’enfuir grâce à l’intervention d’un adolescent de son âge. Repoussant les assauts de l’agresseur à plusieurs reprises, il a permis à des témoins d’encercler l’individu jusqu’à l’arrivée des policiers prévenus à 17h50. Le jeune homme est ensuite resté auprès de la victime pour la protéger de cet homme qui revenait incessamment à la charge.

    Interpellé samedi et auditionné par la direction départementale de la sécurité publique (DDSP), qui a été saisie de l’enquête en flagrance, le repris de justice, déjà condamné onze fois, dont une en 2019 pour violences volontaires sur personne dépositaire de l’autorité publique, venait de purger une peine de réclusion criminelle prononcée en 2012 pour des faits de violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner.

    Le Figaro via fdesouche

  • Montpellier : une opération de police permet l’interpellation de dealers ; deux Marocains et un Algérien, tous en situation irrégulière, dont un qui venait être relâché d’un CRA

    Publié par Guy de Laferrière le 31 janvier 2023

    L’opération de police a eu lieu ce jeudi 26 janvier entre 16 heures et 18 heures sur le cours Gambetta à Montpellier.

    Dans le cadre d’une opération de sécurisation du secteur Gambetta, le bureau centre de la police nationale a mis en place un dispositif, en collaboration avec la police municipale et les effectifs du centre de supervision urbaine, ce jeudi 26 janvier, entre 16 et 18 heures.

    […]

     

    Le premier, un Marocain de 19 ans, trouvé en possession de 4 g de résine de cannabis et de 95 € en liquide, a été déféré au parquet. Faisant déjà l’objet d’une obligation de quitter le territoire français, il venait de sortir du centre de rétention administrative de Sète (Cra) quelques jours auparavant. (La détention est limitée à 90 jours. L’étranger retenu dispose de certains droits et peut recevoir l’aide d’associations.)

    […]

     

    Midi-Libre via fdesouche

  • L’imam algérien Saber Lahmar, détenu 6 ans à Guantanamo puis innocenté et accueilli en France en 2009 par Sarkozy, jugé en appel pour avoir incité au départ au djihad. Il officiait dans une mosquée clandestine à Bordeaux (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 18 janvier 2023

    fdesouche

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    18/01/23

    Ce mercredi et jeudi se tient à Paris le procès en appel de Saber Lahmar, ancien prisonnier algérien de Guantanamo qui s’est installé en France, reconnu coupable de propagande jihadiste en juin dernier.

    Il avait été détenu six ans à Guantanamo, soupçonné par les Américains d’avoir fomenté un attentat contre leur ambassade en Bosnie-Herzégovine, avant d’être innocenté en 2008 puis accueilli par la France, un an après. L’Algérien Saber Lahmar va être jugé en appel ce mercredi et jeudi à Paris, pour des prêches prononcés en Gironde et considérés lors d’un premier procès comme de la propagande jihadiste.

    En juin dernier, la justice l’avait alors condamné à dix ans de prison. Une période de sûreté des deux tiers et une interdiction définitive du territoire français avaient également été prononcées, avant son appel.

    Saber Lahmar s’était installé comme prédicateur dans une salle de prière clandestine de Bordeaux (Gironde), puis avait «officié» dans la mosquée de Saint-André-de-Cubzac, pour la prière du vendredi.

    (…) CNews


    17/06/22

    Dix ans de prison pour l’Algérien Saber Lahmar, accusé d’avoir incité au départ au djihad

    Après un long séjour à Guantanamo, « Cheik » Lahmar avait été innocenté et accueilli en France en 2009. Il a ensuite incité plusieurs personnes à partir faire le djihad, dont un homme, mort sur zone fin 2015.

    L’Algérien Saber Lahmar, jugé en mai à Paris pour avoir incité des candidats au djihad à partir en Irak ou Syrie, a été condamné ce vendredi à dix ans de prison par le tribunal. Les magistrates, qui ont suivi les réquisitions du parquet national antiterroriste (Pnat), l’ont en outre condamné à une période de sûreté des deux tiers ainsi qu’à une interdiction définitive du territoire français.

    (…) Le Parisien

  • “Ça a été très dur” : Fares, Algérien, arrivé avec un visa étudiant, contrôlé plusieurs fois sans conséquences, a vécu sans papiers en France cinq ans sans être inquiété, son OQTF levée, il va déposer sa demande de régularisation

    Publié par Guy de Laferrière le 05 novembre 2022

    Europe 1 vous fait découvrir le parcours caractéristique d’une personne devenue illégale en France. Presque trois mois de légalité, puis 69 mois jusqu’à ce jour sous les radars. Quand son visa étudiant expire en février 2017, Fares, venu d’Algérie, enchaîne les boulots pour survivre et rester en France. Sa logique : il lui faut 3 ans de présence sur le territoire et 24 fiches de paie pour régulariser sa situation. “J’ai travaillé dans la fibre optique, dans le déménagement, sur les marchés, dans la restauration. J’ai été serveur puis chef de rang“, raconte-t-il.

    En novembre 2021, il décroche enfin un CDI, le sésame pour une demande de régularisation, grâce à un de ses anciens employeurs. “On a appris à se connaître. Il a vu comment je bossais, que j’étais sérieux. Alors quand il a monté sa boîte, il a pensé à moi et il m’a recruté. Depuis un an maintenant, je travaille comme agent d’exploitation dans une société de transport et de déménagement.”

    Avant cela, Fares passe cinq ans en France sans être inquiété. Quelques vérifications d’identité sans conséquences. Mais, en septembre dernier, lors d’un simple contrôle routier, les policiers l’embarquent. Il vit sa première garde à vue en six ans et tombe sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF).

    Ça a été très dur, tout ce que j’ai construit pendant ces années s’est écroulé. J’ai toute ma vie sur le territoire français“. Toute sa vie, c’est une partie de sa famille mais aussi un appartement qu’il loue depuis novembre 2018. Et une femme qu’il vient d’épouser. Grâce à son avocate, l’OQTF a été suspendue. Fares dit être en mesure dorénavant d’envoyer son dossier de régularisation dans les prochains mois en préfecture.

    Europe 1 via fdesouche