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algérie - Page 12

  • La mairie PS de Saint-Denis (93) inaugure une plaque “aux victimes de la répression coloniale perpétrée en Algérie” : le maire et le président du conseil départemental posent avec des drapeaux algériens

    Publié par Guy Jovelin le 09 mai 2021

    Commémoration à la mémoire des milliers de victimes de la répression coloniale perpetrée en Algérie, à Sétif, Guelma et Kherrata – en présence de Mathieu Hanotin, Stéphane Troussel et Stéphane Peu

     

    Source : fdesouche

     

     

     

     

     

  • « La France coloniale a œuvré pour répandre l’analphabétisme » : nouvelle sortie critique en Algérie

    Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2021

    Abdelmadjid Chikhi, le conseiller aux questions mémorielles du président Tebboune, s’est exprimé, samedi, lors d’une « Journée du savoir » et accuse la France coloniale d’avoir « éliminé les personnes qui lisaient et écrivaient » en Algérie.

    Appuyant ses dires sur des travaux « d’historiens », Abdelmadjid Chikhi, directeur des Archives nationales, affirme qu’en 1830, à l’aube de la colonisation française, « le taux d’analphabétisme n’approchait pas les 20 % de la population ». La France, accuse-t-il, a alors « éliminé les personnes qui lisaient et écrivaient. Il s’en est suivi l’ère du pillage ».

    Emmanuel Macron qui a engagé une démarche de réconciliation, jalonnée de gestes symboliques en vue du soixantième anniversaire de l’indépendance algérienne en 2022, voit donc ses espoirs sérieusement contrariés.

    Le Parisien via fdesouche

  • Bernard Lugan : « pourquoi il est illusoire de s’obstiner à continuer de croire qu’une « pacification des mémoires » avec l’Algérie et le Rwanda est possible »

    Publié par Guy Jovelin le 17 avril 2021

    Mis à jour le 16 avril 2021 Auteurpar Rédaction

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    Trois traîtres à la France : Darmanin, Stora et Macron

    « Emmanuel Macron s’obstine à refuser de voir que la France, l’Algérie et le Rwanda ne parlent pas de la même chose quand est évoquée la question mémorielle. Pour Paris, l’histoire est une science permettant de connaître et comprendre le passé. Pour Alger et pour Kigali, il s’agit d’un moyen servant à légitimer les régimes en place à travers une histoire « arrangée ». L’incommunicabilité étant totale, les dés sont donc pipés dès le départ. D’où le naufrage du « Rapport Stora » et du « Rapport Duclert ».

    L’Algérie et le Rwanda ne veulent en effet pas d’une « pacification des mémoires » au sens où l’entend la France puisque toute normalisation passerait obligatoirement par des concessions mémorielles qui feraient exploser les fausses histoires sur lesquelles reposent les « légitimités » des deux régimes. Le président algérien Tebboune l’a d’ailleurs plus que clairement reconnu quand il a déclaré que « la mémoire nationale ne saurait faire l’objet de renonciation, ni de marchandage ».

    En définitive, la France recherche une paix mémorielle fondée sur une connaissance scientifique des évènements du passé quand l’Algérie et le Rwanda exigent son alignement sur leurs propres histoires fabriquées.

    Avant de se lancer d’une manière évaporée dans le processus de mise à plat des mémoires, Emmanuel Macron aurait peut-être pu entrevoir la considérable différence d’approche des pays concernés, ce qui lui aurait alors permis de comprendre que sa démarche était vouée à l’échec. Mais, pour cela, il lui aurait fallu demander conseil aux véritables spécialistes de l’histoire de l’Algérie et du Rwanda, aux connaisseurs des mentalités leurs dirigeants. Or, et tout au contraire, pour le dossier algérien le président français a choisi de s’adresser à un historien militant signataire d’une pétition de soutien aux dérives islamo-gauchistes de l’UNEF, et, pour le dossier rwandais, à un historien totalement incompétent en la matière. Benjamin Stora s’inscrit dans la ligne de l’histoire officielle algérienne écrite par le FLN quand la thèse de Vincent Duclert portant sur « L’engagement des savants dans l’affaire Dreyfus », ne fait pas de lui un connaisseur de la complexe alchimie ethno-historique du Rwanda… et ne l’autorise pas à oser parler, contre toute la culture régionale, d’ « absence d’antagonismes ethniques dans la société traditionnelle rwandaise » (!!!). Comment Emmanuel Macron pouvait-il d’ailleurs attendre une « avancée » de la part du « Système » vampirique pompant la substance de l’Algérie depuis 1962 quand celui-ci veille avec un soin plus que jaloux à ce que l’histoire légitimant sa domination sur le pays ne soit pas remise en question ? Il en va en effet de sa survie.  L’homologue algérien de Benjamin Stora n’a ainsi fait aucune proposition de révision historique, laissant au chef d’état-major de l’armée, le général Saïd Chengriha,  le soin de faire monter les enchères avec la France en évoquant, contre l’état des connaissances, des « millions de martyrs  de la guerre d’indépendance »… D’une phrase, la pauvre tentative élyséenne de rapprocher les points de vue entre la France et l’Algérie était ainsi pulvérisée. De plus, tout en dynamitant la relation de confiance établie entre les présidents Macron et Tebboune, le général  Chengriha montrait clairement que le président algérien n’est qu’une marionnette et que c’est l’institution militaire qui gouverne et  impose sa loi.

    Maîtres du temps, les généraux algériens vont maintenant faire pression sur Emmanuel Macron, exigeant de lui qu’il livre ou qu’il expulse quelques grandes figures de l’opposition actuellement réfugiées en France… L’éthérée et idéologique recherche d’un consensus historique aura donc abouti à une déroute française. Dans le cas du Rwanda la situation est carrément caricaturale car le « Rapport Duclert » va encore plus loin que le « Rapport Stora »  dans la mesure où il s’aligne quasi intégralement sur les positions de Kigali, légitimant ainsi la fausse histoire sur laquelle  repose la « légitimité » du régime du général Kagamé. Une histoire ancrée sur trois principaux postulats :

    – La France a  aveuglement soutenu le régime du président Habyarimana.

    – Ce furent des Hutu qui, le 6 avril 1994, abattirent en vol l’avion du président Habyrarimana afin de faire un coup d’Etat permettant de déclencher le génocide.

    – Le génocide des Tutsi était programmé.

    Or, tout au contraire :

    – Alors que la tragédie du Rwanda fut provoquée par l’attaque lancée depuis l’Ouganda au mois d’octobre 1990 par des Tutsi réfugiés ou déserteurs de l’armée ougandaise, le « Rapport Duclert » affirme, comme le fait Kigali, qu’entre 1990 et 1993, la France a aveuglement soutenu le régime  du Rwanda. Or, chaque intervention militaire française fut subordonnée à une avancée obtenue du président Habyarimana dans le partage du pouvoir avec ceux qui lui avaient déclaré la guerre au mois d’octobre 1990… La différence est de taille. – Tournant  le dos à l’état des connaissances et s’alignant là encore sur la thèse officielle de Kigali, le « Rapport Duclert » laisse entendre que ce seraient ses propres partisans qui, le 6 avril 1994, auraient abattu l’avion du président Habyarimana. Une hypothèse que même les juges Jean-Marc Herbaut et Nathalie Poux, en charge de l’affaire de l’attentat, ont estimé n’être étayée par aucun des éléments du dossier. De plus, s’ils avaient pris la peine de s’intéresser véritablement aux travaux du TPIR  (Tribunal pénal international pour le Rwanda), et non d’en parler à travers des lectures de seconde ou de troisième main, les auteurs du « Rapport Duclert » auraient appris que ce tribunal qui a travaillé plus de vingt ans sur la question, a clairement écarté toute responsabilité des Hutu dans l’attentat déclencheur du génocide. – Pour les rédacteurs du « Rapport Duclert », tout cela n’a d’ailleurs pas d’importance car, selon eux, et toujours ainsi que le soutient Kigali, comme le génocide était programmé, il aurait eu lieu de toutes les façons, même sans l’attentat …Or, et une fois encore, il a été plus que clairement établi devant le TPIR que le génocide était la conséquence de l’assassinat du président Habyarimana…

    Grâce au « Rapport Duclert», voilà donc désormais Kigali en position de force  pour exiger de la France des excuses officielles qui devront être soutenues par  le versement d’espèces « sonnantes et trébuchantes »… Et si Paris se montrait indocile, comme le « Rapport Duclert » a, contre toute vérité historique, reconnu une part de responsabilité française dans la genèse du génocide, conseillé par l’un ou l’autre cabinet juridique d’Outre-Atlantique, le Rwanda pourrait alors décider de poursuivre la France devant un tribunal international… Un nouveau chantage pourrait donc s’annoncer. Résultat de la faiblesse française et de la volonté du président Macron de mettre à plat le contentieux avec le Rwanda, c’est désormais la France qui est à plat ventre… »

    Bibliographie (de l’africaniste  Bernard Lugan) :

    – Pour tout ce qui concerne la critique de l’histoire officielle de l’Algérie popularisée en France par Benjamin Stora : Algérie, l’Histoire à l’endroit.

    – Pour tout ce qui concerne la critique de l’histoire officielle du génocide du Rwanda reprise dans le « Rapport Duclert » : Rwanda, un génocide en questions/

    – Pour tout ce qui concerne la repentance en général, on se reportera à mon livre Répondre aux décoloniaux, aux islamo-gauchistes et aux terroristes de la repentance.

     

    Source : contre-info

  • La France est un «ennemi traditionnel et éternel», déclare un ministre algérien deux jours avant la visite de Jean Castex

    Publié par Guy Jovelin le 09 avril 2021

    Hachemi Djaâboub, ministre du Travail et de la Sécurité sociale, a ainsi qualifié la France alors que Jean Castex et trois autres ministres devaient se rendre en Algérie dimanche.

    Le ministre du Travail et de la Sécurité sociale algérien, Hachemi Djaâboub, a qualifié la France «d’ennemi éternel et traditionnel» de l’Algérie au cours d’une séance de questions orales au Sénat jeudi 8 avril, rapporte le site d’information TSA.

    (…) Les propos de Hachemi Djaâboub interviennent alors qu’au même moment le chef d’État-major des armées français, le général François Lecointre, était reçu à Alger par le chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP) Saïd Chanegriha pour un déplacement non annoncé au cours duquel le militaire algérien a sollicité l’assistance de Paris pour la «réhabilitation» des sites des essais nucléaires français effectués au Sahara il y a 60 ans. Cette visite était un préambule à celle initialement prévue dimanche de Jean Castex. (…)

    Le Figaro via fdesouche

  • L’Algérie prépare une loi sur la déchéance de la nationalité à l’encontre de la diaspora algérienne, présente notamment en France

    Publié par Guy Jovelin le 04 mars 2021

    Un projet de loi qui pourrait inquiéter la diaspora algérienne, notamment en France. Le gouvernement d’Alger envisage de déchoir de la nationalité algérienne tout ressortissant commettant à l’étranger « des actes préjudiciables aux intérêts de l’Etat », selon un avant-projet de loi présenté mercredi par le ministre de la Justice, rapporte l’agence officielle APS.

    Le ministre Belkacem Zeghmati a présenté un amendement du Code de la nationalité algérienne mercredi devant les membres du gouvernement réunis sous la présidence du Premier ministre Abdelaziz Djerad. Sa proposition prévoit plusieurs cas de figure susceptibles de conduire à la déchéance de la nationalité algérienne « acquise ou d’origine », selon un communiqué du bureau du Premier ministre cité par l’APS.

    Ainsi se verrait déchue toute personne de nationalité algérienne « qui commet, en dehors du territoire national, des actes portant volontairement de graves préjudices aux intérêts de l’Etat ou qui portent atteinte à l’unité nationale ».

    Des inquiétudes au sein de la diaspora

    La proposition du ministre de la Justice est susceptible de soulever de vives inquiétudes au sein de la vaste diaspora algérienne à travers le monde. La France accueille la communauté algérienne la plus nombreuse à l’étranger. Le président Abdemadjid Tebboune a évoqué en juillet 2020 le chiffre de « plus de six millions d’Algériens » vivant en France.

    […]

    Le Parisien via fdesouche