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Selon le rapport de Statistique Canada, les résultats concernant la violence contre la religion catholique montrent « le plus grand nombre de crimes haineux dirigés contre une religion depuis que des données comparables ont été enregistrées ».
Le rapport se base sur les statistiques concernant l’année 2021 (derniers chiffres complets accessibles) et indique une croissance de 260 % des crimes commis contre les catholiques en raison de leur foi.
La réalité dépeinte par l’étude publiée par Statistique Canada précise que, parmi les violences commis contre les fidèles d’une religion en raison de leur foi, ce sont bien les catholiques qui sont les premières victimes de l’augmentation des crimes haineux.
Ainsi, les crimes de haine contre les juifs ont enregistré une augmentation de 47 %, ceux contre les musulmans une augmentation de 71 % et ceux commis contre les catholiques une augmentation de 260 %.
L’an dernier un scandale avait éclaté au Canada : on proposait l’euthanasie à des personnes handicapées qui demandaient des soins. Ainsi, des vétérans qui demandaient des soins se voyaient proposer l’« aide médicale à mourir ». Suite au scandale, le ministre des Anciens combattants avait reconnu le fait, indiquant que la proposition émanait d’un seul agent qui avait été suspendu. Il ajoutait que cela était « totalement inacceptable » et qu’une formation était donnée aux agents pour que cela ne se reproduise plus.
Un cinquième cas fut ensuite révélé. Puis trois autres. Et cela continue. Christine Gauthier, vétéran des Forces armées canadiennes blessée en 1988, s’est vu proposer l’« aide médicale à mourir ». Depuis qu’elle a été déclarée invalide, en 1995, la lenteur bureaucratique l’a épuisée. Elle a dû attendre 18 ans avant d’obtenir un deuxième jeu de roues pour son fauteuil, 5 ans pour un renouvellement d’élévateur et 12 ans pour un nouveau fauteuil. Fatiguée par ces « blessures inutiles et dommages corporels », infligés par le gouvernement, elle s’est plainte au ministère qui lui a proposé, comme solution, l’« aide médicale à mourir ». Pourtant, elle souhaitait simplement demander des services pour adapter sa maison et renouveler certaines pièces d’équipement.
« Je ne peux pas croire qu’on ne peut pas juste me donner les équipements dont j’ai besoin pour vivre, mais qu’on va m’aider à mourir. (…) C’est inadmissible ».
C’est la logique de la culture de mort : c’est tellement plus simple d’exterminer le problème que de prendre le temps de le résoudre.
Pour améliorer les conditions de détention des personnes immigrantes, Ottawa vient d’inaugurer un nouveau « centre de surveillance » de 50 millions de dollars. Larges fenêtres laissant entrer la lumière naturelle, « espaces récréatifs » garnis de livres et de jeux de société, salle d’entraînement, trois repas par jour : le projet vise à offrir un traitement « humain » aux nouveaux arrivants.
Cet édifice flambant neuf, situé sur la montée Saint-François à Laval, reste tout de même une prison. Une « prison dorée » où des dizaines de personnes sans dossier criminel sont détenues contre leur gré, ce qui reste traumatisant, indiquent des sources familières avec les règles d’immigration.
Le Canada a rehaussé ses seuils d’immigration avec comme objectif d’accueillir 500.000 nouveaux arrivants chaque année d’ici 2025 afin de compenser un manque de main-d’œuvre criant, a annoncé mardi le ministre de l’Immigration.
«Le Canada a besoin de plus de monde», a déclaré Sean Fraser lors d’une conférence de presse. Plus de 900.000 postes sont actuellement à pourvoir dans de nombreux secteurs du pays. Le chômage a également atteint des niveaux historiquement bas au cours des derniers mois, s’établissant à 5,2% en septembre. Afin d’y pallier, Ottawa prévoit donc d’accorder la résidence permanente à 465.000 personnes en 2023 (soit 18 000 de plus que précédemment), 485.000 en 2024 (soit 34.000 de plus) et 500.000 en 2025.
Le gouvernement fédéral compte notamment améliorer ses programmes de sélection pour répondre au mieux «aux pénuries criantes de main-d’œuvre» dans des secteurs «tels que les soins de santé, les emplois spécialisés, le secteur manufacturier et les STEM (sciences, technologie, ingénierie et mathématiques)». D’ici 2025, l’objectif est que plus de 60% des admissions totales soient des migrants économiques, a déclaré Fraser. Le Canada vise également à réunir plus rapidement les familles dont certains membres se trouvent à l’étranger, mais à accueillir un peu moins de réfugiés.
En 2021, le pays a accepté plus de 405.000 immigrants, soit «le plus grand nombre que nous ayons jamais accueilli en une seule année», a souligné le ministère de l’Immigration dans un communiqué. «À l’heure actuelle, la population du Canada croit presque deux fois plus vite que celle de toute autre économie du G7», a ajouté le ministre Sean Fraser.Parmi le groupe des sept grandes puissances, le Canada, qui compte près de 39 millions d’habitants, enregistre la plus grande proportion d’immigrants avec près d’un Canadien sur quatre né à l’étranger. Toutefois, le pays se trouve également à l’aube d’une «vague record» de départs à la retraite, avait averti Statistique Canada au printemps.
Des photos et des vidéos d’une école secondaire canadienne deviennent virales alors qu’elles montrent un enseignant portant ce qui semble être de gros seins prothétiques à la vue de jeunes élèves.
Des médias choquants ont commencé à circuler sur Twitter plus tôt cette semaine, avec plusieurs comptes partageant une vidéo sur un téléphone portable et des photos d’un enseignant montrant comment utiliser une scie circulaire.
L’enseignant est vu portant un buste prothétique extrêmement proéminent, qui souligne clairement les mamelons à travers sa chemise serrée. Il porte également une perruque blonde brillante et un short court
Plusieurs photos et vidéos ont fait surface du même individu instruisant de jeunes étudiants, et dans chacune d’elles, il porte le buste surdimensionné.
Il a été confirmé que les médias provenaient de l’école secondaire Oakville Trafalgar à Oakville, en Ontario.
L’homme que l’on voit sur les photos et les vidéos est un instructeur de technologie de fabrication qui aurait commencé à s’identifier comme une femme l’année dernière. L’enseignante s’appelle maintenant Kayla Lemieux.
“Les enfants ici ne pensent certainement pas que ce soit normal… mais en réalité, nous ne pouvons rien dire”, a déclaré un élève sur Twitter, “L’année dernière, le professeur était un homme. Je ne pense pas que l’école puisse le renvoyer.
Lemieux est répertorié dans le répertoire des professeurs sur le site Web de l’OTHS. Son adresse e-mail officielle de l’école est également connectée à un compte Google qui a une photo vérifiant visuellement son identité.
Reduxx a contacté les administrateurs d’OTHS pour obtenir des commentaires, et ils ont confirmé que Lemieux est actuellement employé à l’école, mais ont refusé toute autre question.
L’école secondaire Oakville Trafalgar est supervisée par le Halton District School Board (HDSB), qui a récemment commencé à promouvoir l’idéologie de l’identité de genre dans les écoles ces dernières années.
«Le Halton District School Board (HDSB) reconnaît les droits des élèves, du personnel, des parents / tuteurs et des membres de la communauté à un traitement équitable sans discrimination fondée sur l’identité et l’expression de genre», lit-on dans la politique.
«Le HDSB s’engage à établir et à maintenir un environnement d’apprentissage et de travail sûr, bienveillant, inclusif, équitable et accueillant pour tous les membres de la communauté scolaire, y compris… le personnel… qui s’identifie ou est perçu comme… trans… et ceux qui se posent des questions. leur orientation sexuelle et/ou identité(s) de genre ».