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canada - Page 3

  • C’était un 24 juillet…

    Publié par Guy Jovelin le 24 juillet 2022

    Description de cette image, également commentée ci-après• 1534: Jacques Cartier prend possession du Canada au nom du Roi de France. Parti le 20 avril 1534 de Saint Malo (où il a une statue tournée vers l’Ouest), Jacques Cartier atteint le golfe du Saint-Laurent et débarque à Gaspé après s’être arrêté à Terre-Neuve. Accueilli par des Indiens avec qui il échange des cadeaux, il plante une immense croix portant les armes du Roi de France, le 24 juillet.

     

     

     

     

    Source : contre-info

  • Canada: un projet de loi annoncé par Justin Trudeau rendra impossible d’acheter, vendre, transférer ou importer des armes de poing

    Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2022

    Si le projet de loi est adopté, “il ne sera plus possible d’acheter, vendre, transférer ou importer des armes de poing où que ce soit au Canada”, explique Justin Trudeau ce lundi. […]

    “La violence armée est un problème complexe”, a déclaré Justin Trudeau. “Mais au bout du compte, le calcul est en réalité fort simple: moins il y aura d’armes à feu dans nos communautés, et plus chacun sera en sécurité“, a-t-il ajouté.

    Cette annonce intervient après le massacre de l’école d’Uvalde, au Texas, dans lequel ont péri 19 enfants âgés de 9 à 11 ans ainsi que deux enseignantes sous les balles d’un adolescent ayant légalement acheté un fusil d’assaut.

    BFM TV via fdesouche

  • Trop pauvre pour vivre dans la dignité ? Pas de problème, le Canada invente l’euthanasie des pauvres

    Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2022

    Que de crimes la bien-pensance commet au nom de la « dignité humaine », cette conception subjective qui permet de légaliser l’euthanasie comme un droit, chaque individu devant pouvoir déterminer les conditions de sa mort. Droit subjectif de décider si telle vie vaut la peine d’être vécue que s’arrogent également l’Etat, l’hôpital, la justice.

    Dans le Canada dystopique de Justin Trudeau, cette subjectivité atteint des apogées de barbarie anti-civilisationnelle, toujours au nom de la « dignité ».

    Trop pauvre pour continuer à vivre dans la dignité ? Pas de problème, le Canada propose de payer l’euthanasie des citoyens qui en font la demande en raison de leur pauvreté.

    Le gouvernement canadien a ainsi trouvé une nouvelle solution pour lutter contre l’inflation, les SDF, la montée en flèche de la criminalité et les pénuries alimentaires : l’euthanasie pour les pauvres. Le régime Trudeau propose de payer l’euthanasie des personnes « trop ​​pauvres pour continuer à vivre dignement ». Cela signifie que toute personne qui pense que sa qualité de vie est mauvaise en raison des politiques ultra-libérales de ces dernières décennies peut désormais demander à l’État de payer la facture de son suicide.

    Après les confinements et obligations orwelliennes dystopiques des deux dernières années, tuer les pauvres parce qu’ils n’ont pas la « dignité » de vivre est désormais considéré comme la nouvelle idéologie progressiste à mettre en place, au nom de l’amour de l’humanité.

    Thegatewaypundit.com rapporte avec une pointe d’ironie pour décrire cette folie qu’ « au Canada, les ‘experts’ en santé publique essaient une approche plus épouvantable pour résoudre les problèmes des gens – et si les gens acceptent la mauvaise proposition, leurs problèmes seront réglés une fois pour toutes… littéralement. Depuis l’année dernière, le gouvernement canadien offre maintenant de payer pour euthanasier les personnes ‘trop pauvres pour continuer à vivre dans la dignité’. Quiconque se sent comme tel – l’État tyrannique voudrait payer la facture de son suicide. »

    En 2021, le parlement canadien a adopté le projet de loi C-7, qui a considérablement élargi les raisons valables du suicide médicalement assisté. Inventé comme une « loi radicale sur l’euthanasie », le projet de loi a supprimé la plupart des restrictions et a rendu l’euthanasie légale possible pour les Canadiens en fonction de leur situation de vie. Désormais, grâce à la nouvelle loi, toute personne peut bénéficier du suicide médicalement assisté si elle le souhaite.

    Le journal britannique, The Spectator a déclaré que l’affaire était sur « une pente glissante depuis le début, ajoutant que puisque la Cour suprême du Canada avait initialement abrogé certaines restrictions à la pratique de l’euthanasie en 2015, cela aurait donc été la ‘conclusion naturelle’ à laquelle on serait arrivé. » :

    « Il y a une plaisanterie constamment répétée par le poète Anatole France selon laquelle ‘la loi, dans sa majestueuse égalité, interdit aux riches et aux pauvres de dormir sous les ponts, de mendier dans les rues et de voler du pain’. Ce que la France n’avait certainement pas prévu, c’est que tout un pays – et ostensiblement progressiste aussi – a décidé de prendre son sarcasme à la lettre et jusqu’à sa conclusion naturelle…

    « Comme pour la plupart des pentes glissantes, tout a commencé par un fort déni d’existence. En 2015, la Cour suprême du Canada a annulé 22 ans de jurisprudence déclarant inconstitutionnelle l’interdiction du suicide assisté dans le pays, rejetant allègrement les craintes que la décision ‘entame une descente sur une pente glissante vers le meurtre’ à l’encontre des personnes vulnérables considérées des ‘exemples anecdotiques’. »

    De l’euthanasie « pour ceux qui souffrent d’une maladie en phase terminale dont la mort naturelle était ‘raisonnablement prévisible’, à l’euthanasie parce que l’on n’a pas assez d’argent pour se payer des soins de santé, le Canada a allègrement franchi le pas. The Spectator relate cette descente aux enfers légalisée par le gouvernement de Trudeau :

    « Il n’a fallu que cinq ans pour que la pente proverbiale apparaisse, lorsque le Parlement canadien a promulgué le projet de loi C-7, une loi radicale sur l’euthanasie qui a abrogé l’exigence ‘raisonnablement prévisible’, et l’exigence que la condition soit ‘terminale’. Désormais, tant qu’une personne souffre d’une maladie ou d’un handicap qui ‘ne peut être soulagé dans des conditions que vous jugez acceptables’, elle peut bénéficier gratuitement de ce que l’on appelle désormais par euphémisme ‘l’aide médicale à mourir’ (AMM en abrégé).

    « Très vite, les Canadiens de tout le pays ont découvert que, même s’ils préféreraient vivre autrement, ils étaient trop pauvres pour améliorer leurs conditions à un degré acceptable.

    « Ce n’est pas un hasard si le Canada a certaines des dépenses sociales les plus faibles de tous les pays industrialisés, les soins palliatifs ne sont accessibles qu’à une minorité et les temps d’attente dans le secteur public de la santé peuvent être insupportables, au point que la même Cour suprême qui a légalisé l’euthanasie a déclaré ces temps d’attente comme une violation du droit à la vie en 2005. »

    Les exemples cités par le journal canadien sont glaçants d’inhumanité :

    « Un homme atteint d’une maladie neurodégénérative a témoigné devant le Parlement que des infirmières et un éthicien médical d’un hôpital avaient tenté de le contraindre à se suicider en le menaçant de le mettre en faillite avec des frais supplémentaires ou en l’expulsant de l’hôpital, et en lui retenant de l’eau pendant 20 jours. (…) Une femme en Ontario a été forcée à l’euthanasie parce que ses prestations de logement ne lui permettaient pas d’obtenir un meilleur logement, qui lui aurait permis de ne pas aggraver ses allergies invalidantes. Une autre femme handicapée a demandé à mourir parce qu’elle ‘n’a tout simplement pas les moyens de continuer à vivre’. Une autre a demandé l’euthanasie parce que la dette liée au Covid l’a empêchée de payer le traitement qui maintenait sa douleur chronique supportable.

    « Malgré l’insistance du gouvernement canadien sur le fait que le suicide assisté est une question d’autonomie individuelle, il est également un intérêt pour ses avantages fiscaux. Avant même l’entrée en vigueur du projet de loi C-7, le directeur parlementaire du budget du pays a publié un rapport sur les économies de coûts qu’il entraînerait : alors que l’ancien régime de l’AMM permettait d’économiser 86,9 millions de dollars par an – une ‘réduction des coûts nets’ selon les termes stériles du rapport – le projet de loi C-7 créerait des économies nettes supplémentaires de 62 millions de dollars par année. Les soins de santé, en particulier pour les personnes souffrant de maladies chroniques, coûtent chers ; mais le suicide assisté ne coûte au contribuable que 2 327 $ par ‘cas’ ; Et, bien sûr, ceux qui doivent compter entièrement sur l’assurance-maladie fournie par le gouvernement représentent un fardeau bien plus lourd pour le Trésor public que ceux qui ont des économies ou une assurance privée. »

    Au Canada, il est déjà question d’autoriser également l’accès à l’euthanasie aux « mineurs matures » et à ceux souffrant de maladies mentales : que des économies réalisées à vie !

    « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux », jusqu’à la mort s’il le faut.  

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Canada – Trudeau indique que les «risques» du marché obligent le gouvernement à étudier une éventuelle «monnaie numérique de la banque centrale»

    Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2022

    Canada – L’idée d’une monnaie numérique de banque centrale soulève des inquiétudes quant à la confidentialité des transactions financières personnelles, ainsi qu’à la possibilité, du moins à l’avenir, d’utiliser encore les espèces comme moyen de paiement.
    Le budget 2022 du Canada, annoncé la semaine dernière par la ministre canadienne des Finances du Parti libéral, Chrystia Freeland, contient un texte disant que le gouvernement examinera le «besoin potentiel» pour le pays d’avoir un type de «monnaie numérique de la banque centrale».

    À la page 214 du budget , sous le chapitre 9 intitulé « Équité fiscale et gouvernement efficace », dans la sous-section « Faire face à la numérisation de la monnaie », le texte indique que le gouvernement « examinera, entre autres facteurs : comment adapter le secteur financier pour gérer les nouveaux risques liés à la numérisation.

    Dans ce cadre, le gouvernement canadien examinera comment « maintenir la sécurité et la stabilité du système financier à la lumière de l’évolution de ces modèles commerciaux et de ces capacités technologiques » ainsi que le besoin potentiel d’une monnaie numérique de banque centrale au Canada.

    Le gouvernement canadien explorera également la réglementation de la crypto-monnaie ainsi que l’obligation pour les sites de financement participatif de signaler les « transactions suspectes ».

    Après que le premier ministre Justin Trudeau a promulgué la Loi sur les mesures d’urgence en février pour punir les camionneurs du Freedom Convoy, le gouvernement a gelé les comptes bancaires personnels et les portefeuilles numériques de certains Canadiens.

    Le budget libéral de 2022 a annoncé qu’il y aura un «examen législatif» de l’utilisation des crypto-monnaies, l’objectif étant de mettre en œuvre des mesures réglementaires plus strictes sur les sites de financement participatif et les processeurs de paiement.

    La ministre Freeland est membre du Forum économique mondial, qui est le groupe à l’origine du programme « Great Reset ».

    Le Canada n’est pas le seul pays à envisager une monnaie numérique émise par le gouvernement.

    Le président américain Joe Biden a récemment publié un décret qui demandait aux agences fédérales d’étudier les monnaies numériques et de produire des rapports sur leur utilisation possible ainsi que sur la réglementation par le gouvernement fédéral.

    Une monnaie numérique est également à l’étude au Royaume-Uni, qui a demandé l’été dernier à la Banque d’Angleterre d’élaborer des plans pour une monnaie numérique qui pourrait être utilisée « avec » de l’argent liquide.

     

    Source : medias-presse.info

  • Dictature sanitaire : les églises du Québec fermées, sauf pour les funérailles

    Publié par Guy Jovelin le 04 janvier 2022

    Auteur : 

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    Le cardinal Lacroix avait lui-même montré le chemin en annulant Noël, ou plutôt en supprimant toutes les messes du 23 décembre au 10 janvier – les autorités civiles ont continué, en fermant les églises à partir du 31 décembre, sans donner de date de réouverture. La rentrée ayant été repoussée au 17 janvier à cause, officiellement, du variant Omicron, on peut estimer que les églises resteront fermées au moins jusque là.

    Magnanimes, les autorités permettent aux funérailles d’avoir lieu en intérieur – mais avec 25 personnes maximum. Pour les messes, ce sera dehors s’il y en a – organiser des messes par -18 pour lutter contre une maladie des voies respiratoires, c’est la logique des autorités québecoises. Les activités caritatives des paroisses pourront elles aussi se poursuivre en intérieur, principalement dans les salles situées sous les églises.

     

    Source: medias-presse.info