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canada - Page 4

  • Les chômeurs non vaccinés privés d’indemnités

    Publié par Guy Jovelin le 03 janvier 2022

    Les chômeurs non vaccinés privés d’indemnités

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    Au Canada :

    Le Ministère canadien de l’Emploi a décidé de supprimer temporairement «l’assurance-emploi» – équivalent de l’assurance-chômage en France – pour tous les chômeurs réfractaires à se soumettre à l’injection pseudo-vacinale.

    Le ministre de l’Emploi Carla Qualtrough a justifié cette mesure radicale par la prééminence de la situation épidémique sur toute autre politique publique.

    Cette mesure radicale vient s’ajouter à un contexte de reconfinement strict pour le pays.

    L’étape d’après, ce sera quoi ?…

     

    Source: lesalonbeige

  • Libération surprise d’un Noir accusé du meurtre d’un Blanc au Canada : “Le juge a tenu compte du contexte social et du racisme qu’affronte la communauté noire dans la société”

    Publié par Guy Jovelin le 18 décembre 2021

    Libération surprise d’un Noir accusé du meurtre d’un présumé suprémaciste blanc à Kingston

    Le juge a tenu compte du contexte social et du racisme qu’affronte la communauté noire dans la société.

    À Kingston, un jeune Noir de 20 ans qui est accusé du meurtre d’un suprémaciste présumé a été libéré sous caution contre toute attente vendredi. Vaughan Roberts, originaire d’Ajax, fait face à plusieurs accusations de meurtre non prémédité, de tentative de meurtre et de port d’arme illégal, notamment.

    La décision du juge Marc Smith, de la Cour supérieure de l’Ontario, est surprenante, parce que les libérations sous caution dans les cas de meurtre non prémédité sont généralement rares au Canada.

    (…)

    ici.radio-canada.ca via fdesouche

  • Canada : l’hystérie pandémique s’attaque à la liberté des familles à acheter de la nourriture

    Publié par Guy Jovelin le 07 décembre 2021

    Canada : l’hystérie pandémique s’attaque à la liberté des familles à acheter de la nourriture

    Lu sur IFN :

    Jusqu’au week-end dernier, les épiceries du Canada sont restées ouvertes à tous, quel que soit le statut vaccinal de chacun. Mais samedi, la province du Nouveau-Brunswick s’est aventurée en territoire inconnu et méconnaissable pour le Canadien moyen qui a toujours été attaché aux libertés et aux droits protégés par la Charte des Droits et Libertés du pays.

    Désormais, les épiceries peuvent, selon leur bon vouloir, refuser de servir les familles qui ne présentent pas de preuve de vaccination.

    Pas de papiers, pas de nourriture.

    Nous sommes au Canada.

    Cette décision radicale restera en vigueur jusqu’au printemps. Le gouvernement du Nouveau-Brunswick, paniqué, a publié vendredi son “Plan d’Action Hivernal”, annonçant que l’augmentation des infections au COVID-19 dans la province, au cours des deux dernières semaines est “très préoccupante”. Mais quelle est la réalité qui se cache derrière l’adjectif “très préoccupant” ? “Deux décès liés au COVID et 97 nouveaux cas”… dans une population de près de 780 000 habitants. […]

     

    Source : lesalonbeige

  • Canada : un père mis en prison car il continue à dire “elle” à propos de sa fille de 14 ans qui reçoit bloqueurs de puberté et testostérone sans son accord (MàJ : Le Figaro évoque l’affaire)

    Publié par Guy Jovelin le 30 octobre 2021

    30/10/2021

    […] En classe, «influencée par des militants LGBT», selon CD, elle avait décidé de devenir un garçon.

     

    Malgré les objections du père, qui soutient qu’AB est instable et souffre de dépression depuis la séparation de ses parents, la justice estime qu’à 13 ans, avec l’accord de sa mère, l’ado peut débuter un traitement hormonal.

    En 2019, CD, qui persiste à utiliser son prénom féminin quand il parle à son enfant, est condamné pour « violence familiale ». La cour d’appel de la Colombie Britannique interdit au père de « tenter de persuader AB d’abandonner son traitement médical », et lui impose d’utiliser des pronoms masculins et de l’appeler par son nouveau prénom. « Je ne peux pas
    regarder un enfant en parfaite santé être détruit ! », s’est insurgé le père, qui finira par briser
    la confidentialité en livrant son histoire à la presse.

    Le Figaro via fdesouche

  • Radio-Canada : décolonialiser les noms d’oiseaux …

    Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2021

    lesobservateurs

     
    Le site de Radio-Canada (vos impôts à l’œuvre) a consacré un long article à « déboulonner les noms d’oiseaux ». Aucun commentaire des lecteurs n’était admis.
     

     

     
    Il s’agit pour le diffuseur gouvernemental de relater (ou faudrait-il dire promouvoir ?) le combat récent mené par « de plus en plus d’ornithologues » [combien ?] Ceux-ci souhaitent remplacer le nom de personnes dans les noms d’oiseau. Car « certaines de ces personnes étaient impliquées dans l’esclavage ou la colonisation ». Certaines, ce n’est donc pas ce qui est commun entre eux. Il semble plutôt que ce qui irrite c’est qu’il s’agisse d’hommes occidentaux. C’est là que le bât blesserait apparemment. 
     
    En quoi est-ce un problème pour des noms d’oiseaux au Québec par exemple ? Est-ce que nous nous étonnerions si les noms d’oiseaux en mandarin commémoraient des Chinois ? Que les Russes célèbrent des ornithologues russes ou soviétiques. Peu nous chaut.
     

    En ligne de mire : 

    Nyctale de Tengmalm [un naturaliste suédois qui n’est jamais venu en Amérique du Nord], bruant de LeConte [sic, horrible graphie à l’américaine !], solitaire de Townsend, bécassine de Wilson, fou de Grant, pic de Lewis, moqueur de Bendire, mouette de Bonaparte, colibri d’Elena, oie de Ross, coucou de Klaas, bruant de Lincoln, ou encore le guillemot de Brünnich… Tous ces noms d’oiseaux font référence à une personne.

    Environ 10 % des espèces d’oiseaux dans le monde sont dotées d’un patronyme, soit près d’un millier, dont 150 en anglais et 250 en français en Amérique du Nord.

    Radio-Canada cite un ornithologue :

    Jordan Rutter donne aussi l’exemple du plectrophane de McCown qui doit son nom à John Porter McCown qui a accidentellement abattu un premier spécimen. Mais cet homme est aussi devenu général de l’armée confédérée et s’est battu contre plusieurs communautés autochtones [en tant qu’officier fédéral et non sudiste].

    En 2018, une demande officielle est soumise au comité nord-américain de classification et de nomenclature (North American Classification and Nomenclature Committee, NACC) de la Société américaine d’ornithologie (American Ornithological Society, AOS) pour changer le nom du plectrophane de McCown. [La demande recommandait de changer le nom de cet oiseau en un nom « tribal » pour ce volatile. Le demandeur avouait ne pas avoir trouvé un tel nom amérindien pour ce plectrophane.]

     

    Du Panama au Canada, c’est l’AOS qui détermine le nom anglais des oiseaux. Elle rejette la demande de modification en évoquant que « l’éthique et la morale ne devraient pas être un facteur décisif pour les noms d’oiseaux ». Mais un an plus tard, en août 2020, le comité change d’avis. Le plectrophane de McCown devient [en anglais…] le plectrophane à ventre gris. Que s’est-il passé entre les deux décisions ?

    Le 25 mai 2020, à Minneapolis, George Floyd meurt sous le genou d’un policier blanc. La scène est filmée. La vidéo fait le tour du monde. Cette mort marque le début d’un mouvement contre le racisme et contre l’histoire coloniale et esclavagiste des États-Unis.

    [Deux expertises post-mortem ont conclu à des causes de la mort différentes : le médecin légiste a affirmé que Floyd est mort d’un « arrêt cardiopulmonaire », il évoqua en outre de problèmes de santé, une « utilisation récente de méthamphétamine » et une « intoxication au fentanyl » qui ont selon lui contribué à sa mort. À la suite d’une demande de la police fédérale (FBI), le service de médecine légale des forces armées analysa et valida le rapport d’autopsie. Une seconde autopsie, indépendante et réalisée à la demande de la famille par Michael Baden et Allecia Wilson, affirma le 1er juin 2020 que George Floyd était mort d’« asphyxie due à une pression soutenue ». La compression qu’il avait subie, au cou et au dos, aurait bloqué la circulation sanguine jusqu’à son cerveau, causant ainsi un arrêt cardiopulmonaire.]

     

    Le diffuseur gouvernemental nous apprend qu’« Oiseaux Canada prend aussi des engagements pour dénoncer le racisme et favoriser la diversité et l’inclusion en ornithologie ».

    Pour simplifier les démarches de changement de taxinomie, et aller plus loin que les noms au passé jugé problématique à la morale et aux valeurs d’aujourd’hui, Bird Names for Birds propose de supprimer tous les noms de personne.

    Cela nous paraît excessif. Cela ressemble à une décision dogmatique qui vise à éliminer des noms perçus comme trop européens.

    Toutefois, un argument nous paraît valable quand vient le temps de renommer la faune ou la flore (ce qui arrive malheureusement un peu trop souvent en ornithologie). Il nous paraît légitime de choisir un nom plus descriptif pour un oiseau quand le nom actuel est mal connu et n’évoque rien. Mais cela doit être tempéré par d’autres considérations.

    Est-ce vraiment utile de renommer la mouette de Bonaparte dont la livrée change selon la saison (nuptial ou internuptiale) et qui est très semblable à la mouette pygmée ? Un nom « descriptif » semble difficile et sera sans doute tout aussi arbitraire.

    Que faire de la barge hudsonienne ? Faudrait-il la débaptiser sous prétexte que la baie d’Hudson célèbre un horrible explorateur européen et donc un « colonialiste » ? Faudrait-il débaptiser, en botanique, les bégonias, les magnolias, les fuchsias et les poinsettias parce que Bégon, Magnol, Fuchs et Poinsett étaient des Blancs ?

    Au Québec, une quinzaine d’oiseaux ont des noms de personnes. Le Regroupement Québec Oiseaux forme en ce moment un comité de travail pour « réunir des représentants de diverses régions de la francophonie qui auraient pour mandat de se pencher sur ce dossier, ainsi que sur les autres changements de noms qui surviennent annuellement ».

    Gageons que Radio-Canada aura leur travail à l’œil. Aucune pression indue ne sera exercée.

     

     

     

     

    Extrait de: Source et auteur