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covid - Page 12

  • Covid : il faut recentrer le discours sur l’essentiel.

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2021

    Depuis le début de l’épidémie, les  nous abreuvent d’opinions, de données, de courbes et de statistiques sur l’état de la pandémie, et chacun y va de son discours pour, en réalité, la plupart du temps, défendre ses propres intérêts ou ceux de sa corporation sans pour autant faire avancer la discussion. À quelques mois d’intervalle, on peut comparer les discours des intervenants, rien n’a changé.

    covid,politique sanitaire,statistiques,vavvinCette épidémie est, certes, dangereuse et peut être mortelle, mais le pourcentage de morts se situe un peu en dessous de 1 %. On est très loin (et heureusement) des pourcentages de morts d’autres épidémies ou d’autres pathologies mais, en matière de  comme dans beaucoup d’autres domaines, à force de discourir, on oublie la finalité de la discussion, on palabre sur l’écume des vagues et non sur la puissance de la houle.

    Face à cette épidémie, les deux critères les plus importants qui devraient faire l’objet de discussions sont : la dangerosité de l’épidémie pour notre , sa létalité et ses conséquences sociales et économiques, et les moyens d’y faire face en étudiant toutes les possibilités thérapeutiques et humaines disponibles.

    Hélas, depuis le début, on ne considère comme possibilité thérapeutique que les possibilités offertes par l’hospitalisation publique qui, évidemment, s’est vite vue débordée par la vague de malades, sachant que, depuis trente ans, on réduit drastiquement le nombre de lits afin de gérer l’hospitalisation publique comme en gérerait n’importe quel secteur industriel (mais ici, le produit, c’est l’humain et il est inadmissible de le traiter à flux tendu). L’administration, dans ses communiqués, n’évoque jamais les possibilités de traitement par la médecine de ville et les journalistes se référant au discours officiel n’en parlent que très rarement.

    Les discussions portent donc uniquement sur le nombre de malades et les possibilités d’absorption par des services hospitaliers réduits, pour cause de rentabilité, à la portion congrue. On essaie d’adapter la maladie aux possibilités de traitement plutôt que d’adapter nos possibilités thérapeutiques à cette épidémie. C’est un peu comme si les , ne disposant d’une grande échelle ne pouvant atteindre que le 3e étage, on interdisait les incendies à partir du 4e étage!

    De plus, pour les autorités, le salut ne peut venir que d’un remède miracle que l’industrie mettrait à notre disposition (à des prix défiant toute concurrence) et toute autre possibilité thérapeutique est immédiatement récusée, voire accusée de charlatanisme.

    Alors, en l’absence de produit miracle, il reste la vaccination. On ne peut qu’être d’accord pour considérer que la vaccination est le meilleur moyen pour endiguer une épidémie, mais l’élaboration des vaccins ayant été faite en urgence, les procédures habituelles d’expérimentation avant la mise sur le marché n’ont pu être effectuées dans des conditions normales, nous sommes encore en phase expérimentale, il est donc parfaitement logique qu’il y ait des effets secondaires qui n’avaient pu être prévus auparavant.

    À l’échelon individuel, nous avons donc le choix, aujourd’hui, entre courir le risque d’attraper une maladie potentiellement grave et parfois mortelle ou se vacciner et accepter le risque d’effets secondaires sans doute rares mais mal connus pour l’instant.

    À l’échelon de la société, le rapport bénéfice/risque est très en faveur de la vaccination, on ne peut donc que l’encourager, surtout si on refuse de remettre en cause la  sanitaire qui nous a conduits à la situation dans laquelle nous sommes actuellement, sans parler de la puissance des lobbies économiques qui influent sur les décisions.

    Il serait d’urgent de recentrer le discours sur les données de base et éviter de discourir sur le sexe des anges.

     

    Dr. Jacques Michel Lacroix

    Médecin
    Médecin urgentiste et généraliste
  • Malgré la covid et contrairement aux autres pays, la France continue d’attirer les étudiants étrangers, notamment algériens, sénégalais et marocains

    Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2021

    En continuant à accueillir des étudiants étrangers quand d’autres pays se sont fermés, la France a tiré de la crise sanitaire « un avantage comparatif », estime l’agence Campus France, qui publie ce jeudi ses chiffres annuels. Dans le classement Unesco basé sur les données d’avant crise, l’Hexagone a en revanche régressé à la sixième place mondiale, derrière l’Allemagne et la Russie.

    L’embellie avec la pandémie. « En termes d’attractivité des étudiants internationaux, la crise sanitaire profite à la France », assure Béatrice Khaiat, la directrice générale de Campus France, l’agence de promotion à l’étranger de l’enseignement supérieur dans l’Hexagone. En 2020, les frontières se sont fermées, avec un étudiant sur quatre qui ne pouvait plus se rendre dans l’établissement où il était inscrit dans l’Hexagone. Mais « la France est l’un des seuls pays au monde à avoir continué à attirer les étudiants étrangers », souligne Béatrice Khaiat en évoquant une politique favorable aux visas étudiants.

    […]

    Les Echos via fdesouche

  • Israël, Covid, bracelet électronique, et surveillance globale

    Publié par Guy Jovelin le 20 mars 2021

    Mercredi 17 mars, la Knesset, le Parlement de l’Etat hébreu, a approuvé l’utilisation d’un bracelet électronique pour les voyageurs revenant de l’étranger « afin de s’assurer qu’ils ne sortent pas de leur domicile durant la quarantaine, toujours en vigueur pour enrayer la pandémie de coronavirus » écrit le quotidien israélien, I24 News.

    « Cette mesure, explique l’article, vise à remplacer l’isolement dans les hôtels coronavirus pour les personnes rapatriées de l’étranger.  Alors qu’une étude a montré que plus d’un tiers des personnes censées être en quarantaine à la maison ne respectait pas la mesure, le gouvernement israélien a décidé de géolocaliser les citoyens au moyen du bracelet électronique. […] Les enfants de moins de 14 ans et d’autres cas particuliers seront exemptés du bracelet. […] Cette mesure s’applique aux personnes ayant donné leur consentement, celles qui refusent seront placées dans les hôtels coronavirus. Les voyageurs arrivant de l’étranger en Israël doivent se soumettre à un test PCR à l’aéroport et effectuer une quarantaine d’une dizaine de jours. »

    Si les voyageurs atterrissant en Israël, la majorité étant des juifs retournant dans leur pays, apprécient de passer la quarantaine chez eux plutôt que dans un hôtel à leurs frais, les Israéliens sont beaucoup plus réticents. Présagent-ils, au vu de la perte progressive de leurs libertés fondamentales au nom de la lutte contre la covid-19, que ce bracelet ne devienne par la suite, après avoir été expérimenté sur les voyageurs, un moyen de contrôle par l’Etat de leur vie en tout instant ?

    Si comme l’a dit le PDG de Pfizer Albert Bourla, Israël est devenu un laboratoire d’expérimentation pour son vaccin, il est aussi le laboratoire mondial de la surveillance globale et de la passivité de la population face à ce flicage permanent de la vie. Ce qui se fait, et est accepté en Israël, a bien des chances d’arriver en Europe…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Covid et saturation des hôpitaux : les plans de restructurations de l’hôpital public sur le banc des accusés

    Publié par Guy Jovelin le 16 mars 2021

    Les politiciens technocrates aux manettes depuis des décennies, les Macron, Veran, Castex and Co et leurs prédécesseurs, ont beau accuser la « pandémie de covid » d’être la cause unique des restrictions inouïes de nos libertés fondamentales, ils ont beau faire de la com’ avec des images de malades transférés dans d’autres hôpitaux pour cacher leur impréparation et leur incurie, c’est bien la casse de l’hôpital public à laquelle ils ont travaillé afin de se plier aux plans d’austérité prônés par la sacro-sainte Union Européenne et impliquant une restructuration des hôpitaux, qui est à la source des maux covidiens actuels.

    La bombe à retardement qu’est la fermeture depuis des années et des années de milliers de lits hospitaliers et la coupe réglée dans les budgets des hôpitaux au nom de l’équilibre budgétaire et de la dette leur explose aujourd’hui à la face.

    Quelques rappels en chiffre sur cette saturation dont les hommes du gouvernement, épaulés par les médias mainstream et les médecins de plateaux, nous rebattent les oreilles pour obtenir un nouveau confinement au nom de la lutte contre le méchant covid,… et faire oublier ainsi leur effrayante responsabilité politique. Si les hôpitaux sont saturés, c’est à cause du manque de lits et de moyens. Pour preuve, chaque année le même phénomène se répète.

     

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Pays-Bas : épidémie mortelle de Covid dans une maison de repos 15 jours après la vaccination des résidents

    Publié par Guy Jovelin le 28 février 2021

    Le 30 janvier, les 106 résidents de la maison de retraite pour personnes âgées St Elisabeth à Amersfoort, aux Pays-Bas, ont reçu la première injection du vaccin expérimental COVID-19. En moins de deux semaines, et pour la première fois depuis le début de la pandémie l’année dernière, le coronavirus s’est frayé un chemin à travers la maison à grande vitesse. Pas moins de 70 résidents ont été testés positifs; lundi, 22 étaient décédés. Certains résidents se sont rétablis mais d’autres sont toujours malades, ce qui signifie que davantage de décès pourraient survenir au cours des prochains jours.

    St. Elisabeth a enregistré le plus grand nombre de contaminations par le SRAS-CoV-2 dans une maison de retraite aux Pays-Bas depuis le début de la crise.

    Avec sa population vulnérable de patients dépendants, dont beaucoup ont d’autres problèmes de santé, Sainte-Élisabeth a l’habitude de voir des gens mourir. Evelien Bongers, s’exprimant au nom du conseil d’administration, a déclaré qu’il ne pouvait pas être «établi avec certitude dans quelle mesure les décès étaient une conséquence directe de la contamination par le coronavirus». «Ces patients âgés sont décédés avec le coronavirus, mais pas nécessairement à cause du coronavirus», a-t-elle déclaré. «Mais nous assistons à un nombre de décès plus élevé que d’habitude.»

    Cette distinction entre mourir avec le virus ou à cause de lui est précisément ce qui manque dans de nombreuses statistiques COVID-19, de nombreuses restrictions détruisant la liberté étant imposées sur la base de nombres exagérés. Mais elle a ajouté : «Nos résidents ont besoin de soins infirmiers et de soins. Quand ils sont contaminés par le coronavirus, cela peut être tout simplement trop. »

    Voir environ 20% de leurs patients mourir en si peu de temps a fait des ravages sur les familles et les soignants, d’autant plus qu’ils espéraient se détendre, après des mois de strict respect des mesures de sécurité, grâce au vaccin.

    «Lorsque les vaccinations ont commencé, nous nous attendions à ce que les contaminations diminuent, mais cela ne s’est pas produit et nous en sommes très contrariés», a déclaré Bongers.

    Le fait est que le nombre de malades du coronavirus n’a jamais été aussi important dans cette maison de repos que depuis que ses résidents ont été vaccinés. De plus, la vague de contaminations ne s’est pas installée très peu de temps après la vaccination, ce qui aurait permis de dire que le vaccin n’agissait pas encore, mais deux semaines après la vaccination, quand celui-ci doit préserver les vaccinés selon les entreprises pharmaceutiques qui produisent ces vaccins. A St. Elisabeth à Amersfoort, 22 des 70 patients testés positifs sont décédés, soit plus de 30%.

    Aux Pays-Bas, l’agence de santé qui recense les effets indésirables des médicaments, Lareb, avait déjà enregistré mardi 5.086 cas suspects de maladie et d’effets indésirables à la suite d’injections du vaccin anti-Covid. Des maux de tête, des douleurs musculaires et des nausées sont cités dans la plupart des cas, mais 26 réactions allergiques sévères ont également été documentées.

    Encore plus inquiétants sont les 65 décès qui ont suivi de près la vaccination, principalement chez des patients âgés : 55 des personnes décédées étaient âgées de 80 ans ou plus, et les dix autres avaient entre 65 et 80 ans.

    L’agence de santé des Pays-Bas a admis que dans certains cas, la vaccination anti-Covid peut avoir détérioré l’état des personnes très âgées. «Quelques jours après la vaccination, ils ont reçu des plaintes qui sont des effets secondaires connus», a déclaré la porte-parole de l’agence de santé, ajoutant : «Les plaintes telles que la fièvre ne sont pas à elles seules la cause du décès. Mais on sait que pour les personnes âgées très vulnérables, elles constituent un risque. C’est pourquoi ce fait est inclus dans les lignes directrices, de sorte qu’il soit soigneusement considéré en ce qui concerne la vaccination de groupe. »

     

    Source : medias-presse.info