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covid - Page 12

  • “Les expulsions sont à l’arrêt en raison du Covid” : Police débordée, migrants en surnombre… Plongée dans Mantes-la-Jolie, refuge de mineurs clandestins

    Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2021

    Alors que les expulsions sont à l’arrêt en raison du Covid, les hébergements sont débordés dans le secteur de Mantes. De nombreux mineurs isolés étrangers sont donc à la rue. Les policiers multiplient les procédures.

    Le phénomène commence à lasser les policiers. Depuis plusieurs mois, les forces de l’ordre sont confrontées à une hausse des procédures liées aux jeunes migrants SDF dans les Yvelines. Jusqu’à présent, une délinquance itinérante était parfois associée à ces jeunes clandestins, mineurs, venus notamment du Maghreb.

    Mais avec la crise sanitaire, leur présence a explosé et les structures d’hébergements, débordées, ne parviennent plus à les accueillir et les squats se multiplient. Il y a quelques jours, la police est ainsi venue évacuer un pavillon occupé illégalement par une petite bande à Mézières-sur-Seine, près de Mantes-la-Jolie. Mais, à peine vidée de ses occupants, la maison était « récupérée » par d’autres jeunes sans domicile fixe…

    «On n’arrête pas, cela nous prend un temps fou»

    Plus récemment, les forces de l’ordre sont intervenues près de la collégiale de Mantes-la-Jolie, là encore pour mettre fin à un squat. « On n’arrête pas, cela nous prend un temps fou et la réponse judiciaire ne suit pas toujours, souffle un policier des Yvelines. À Mantes-la-Jolie, un jeune a été arrêté neuf fois en trois mois. Il a été relâché systématiquement.»

    (…)

    « Entre 17 ans et 18 ans et demi, c’est difficile d’être précis, abonde un enquêteur. Dans le doute, le parquet applique la loi et remet en liberté. Et si, par hasard, on démontre qu’ils sont majeurs, c’est le même problème. Les expulsions sont à l’arrêt en raison du Covid…»

    À Mantes-la-Jolie, ils passent « inaperçus »

    (…) Le Parisien via fdesouche

  • Covid : il faut recentrer le discours sur l’essentiel.

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2021

    Depuis le début de l’épidémie, les  nous abreuvent d’opinions, de données, de courbes et de statistiques sur l’état de la pandémie, et chacun y va de son discours pour, en réalité, la plupart du temps, défendre ses propres intérêts ou ceux de sa corporation sans pour autant faire avancer la discussion. À quelques mois d’intervalle, on peut comparer les discours des intervenants, rien n’a changé.

    covid,politique sanitaire,statistiques,vavvinCette épidémie est, certes, dangereuse et peut être mortelle, mais le pourcentage de morts se situe un peu en dessous de 1 %. On est très loin (et heureusement) des pourcentages de morts d’autres épidémies ou d’autres pathologies mais, en matière de  comme dans beaucoup d’autres domaines, à force de discourir, on oublie la finalité de la discussion, on palabre sur l’écume des vagues et non sur la puissance de la houle.

    Face à cette épidémie, les deux critères les plus importants qui devraient faire l’objet de discussions sont : la dangerosité de l’épidémie pour notre , sa létalité et ses conséquences sociales et économiques, et les moyens d’y faire face en étudiant toutes les possibilités thérapeutiques et humaines disponibles.

    Hélas, depuis le début, on ne considère comme possibilité thérapeutique que les possibilités offertes par l’hospitalisation publique qui, évidemment, s’est vite vue débordée par la vague de malades, sachant que, depuis trente ans, on réduit drastiquement le nombre de lits afin de gérer l’hospitalisation publique comme en gérerait n’importe quel secteur industriel (mais ici, le produit, c’est l’humain et il est inadmissible de le traiter à flux tendu). L’administration, dans ses communiqués, n’évoque jamais les possibilités de traitement par la médecine de ville et les journalistes se référant au discours officiel n’en parlent que très rarement.

    Les discussions portent donc uniquement sur le nombre de malades et les possibilités d’absorption par des services hospitaliers réduits, pour cause de rentabilité, à la portion congrue. On essaie d’adapter la maladie aux possibilités de traitement plutôt que d’adapter nos possibilités thérapeutiques à cette épidémie. C’est un peu comme si les , ne disposant d’une grande échelle ne pouvant atteindre que le 3e étage, on interdisait les incendies à partir du 4e étage!

    De plus, pour les autorités, le salut ne peut venir que d’un remède miracle que l’industrie mettrait à notre disposition (à des prix défiant toute concurrence) et toute autre possibilité thérapeutique est immédiatement récusée, voire accusée de charlatanisme.

    Alors, en l’absence de produit miracle, il reste la vaccination. On ne peut qu’être d’accord pour considérer que la vaccination est le meilleur moyen pour endiguer une épidémie, mais l’élaboration des vaccins ayant été faite en urgence, les procédures habituelles d’expérimentation avant la mise sur le marché n’ont pu être effectuées dans des conditions normales, nous sommes encore en phase expérimentale, il est donc parfaitement logique qu’il y ait des effets secondaires qui n’avaient pu être prévus auparavant.

    À l’échelon individuel, nous avons donc le choix, aujourd’hui, entre courir le risque d’attraper une maladie potentiellement grave et parfois mortelle ou se vacciner et accepter le risque d’effets secondaires sans doute rares mais mal connus pour l’instant.

    À l’échelon de la société, le rapport bénéfice/risque est très en faveur de la vaccination, on ne peut donc que l’encourager, surtout si on refuse de remettre en cause la  sanitaire qui nous a conduits à la situation dans laquelle nous sommes actuellement, sans parler de la puissance des lobbies économiques qui influent sur les décisions.

    Il serait d’urgent de recentrer le discours sur les données de base et éviter de discourir sur le sexe des anges.

     

    Dr. Jacques Michel Lacroix

    Médecin
    Médecin urgentiste et généraliste
  • Malgré la covid et contrairement aux autres pays, la France continue d’attirer les étudiants étrangers, notamment algériens, sénégalais et marocains

    Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2021

    En continuant à accueillir des étudiants étrangers quand d’autres pays se sont fermés, la France a tiré de la crise sanitaire « un avantage comparatif », estime l’agence Campus France, qui publie ce jeudi ses chiffres annuels. Dans le classement Unesco basé sur les données d’avant crise, l’Hexagone a en revanche régressé à la sixième place mondiale, derrière l’Allemagne et la Russie.

    L’embellie avec la pandémie. « En termes d’attractivité des étudiants internationaux, la crise sanitaire profite à la France », assure Béatrice Khaiat, la directrice générale de Campus France, l’agence de promotion à l’étranger de l’enseignement supérieur dans l’Hexagone. En 2020, les frontières se sont fermées, avec un étudiant sur quatre qui ne pouvait plus se rendre dans l’établissement où il était inscrit dans l’Hexagone. Mais « la France est l’un des seuls pays au monde à avoir continué à attirer les étudiants étrangers », souligne Béatrice Khaiat en évoquant une politique favorable aux visas étudiants.

    […]

    Les Echos via fdesouche

  • Israël, Covid, bracelet électronique, et surveillance globale

    Publié par Guy Jovelin le 20 mars 2021

    Mercredi 17 mars, la Knesset, le Parlement de l’Etat hébreu, a approuvé l’utilisation d’un bracelet électronique pour les voyageurs revenant de l’étranger « afin de s’assurer qu’ils ne sortent pas de leur domicile durant la quarantaine, toujours en vigueur pour enrayer la pandémie de coronavirus » écrit le quotidien israélien, I24 News.

    « Cette mesure, explique l’article, vise à remplacer l’isolement dans les hôtels coronavirus pour les personnes rapatriées de l’étranger.  Alors qu’une étude a montré que plus d’un tiers des personnes censées être en quarantaine à la maison ne respectait pas la mesure, le gouvernement israélien a décidé de géolocaliser les citoyens au moyen du bracelet électronique. […] Les enfants de moins de 14 ans et d’autres cas particuliers seront exemptés du bracelet. […] Cette mesure s’applique aux personnes ayant donné leur consentement, celles qui refusent seront placées dans les hôtels coronavirus. Les voyageurs arrivant de l’étranger en Israël doivent se soumettre à un test PCR à l’aéroport et effectuer une quarantaine d’une dizaine de jours. »

    Si les voyageurs atterrissant en Israël, la majorité étant des juifs retournant dans leur pays, apprécient de passer la quarantaine chez eux plutôt que dans un hôtel à leurs frais, les Israéliens sont beaucoup plus réticents. Présagent-ils, au vu de la perte progressive de leurs libertés fondamentales au nom de la lutte contre la covid-19, que ce bracelet ne devienne par la suite, après avoir été expérimenté sur les voyageurs, un moyen de contrôle par l’Etat de leur vie en tout instant ?

    Si comme l’a dit le PDG de Pfizer Albert Bourla, Israël est devenu un laboratoire d’expérimentation pour son vaccin, il est aussi le laboratoire mondial de la surveillance globale et de la passivité de la population face à ce flicage permanent de la vie. Ce qui se fait, et est accepté en Israël, a bien des chances d’arriver en Europe…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Covid et saturation des hôpitaux : les plans de restructurations de l’hôpital public sur le banc des accusés

    Publié par Guy Jovelin le 16 mars 2021

    Les politiciens technocrates aux manettes depuis des décennies, les Macron, Veran, Castex and Co et leurs prédécesseurs, ont beau accuser la « pandémie de covid » d’être la cause unique des restrictions inouïes de nos libertés fondamentales, ils ont beau faire de la com’ avec des images de malades transférés dans d’autres hôpitaux pour cacher leur impréparation et leur incurie, c’est bien la casse de l’hôpital public à laquelle ils ont travaillé afin de se plier aux plans d’austérité prônés par la sacro-sainte Union Européenne et impliquant une restructuration des hôpitaux, qui est à la source des maux covidiens actuels.

    La bombe à retardement qu’est la fermeture depuis des années et des années de milliers de lits hospitaliers et la coupe réglée dans les budgets des hôpitaux au nom de l’équilibre budgétaire et de la dette leur explose aujourd’hui à la face.

    Quelques rappels en chiffre sur cette saturation dont les hommes du gouvernement, épaulés par les médias mainstream et les médecins de plateaux, nous rebattent les oreilles pour obtenir un nouveau confinement au nom de la lutte contre le méchant covid,… et faire oublier ainsi leur effrayante responsabilité politique. Si les hôpitaux sont saturés, c’est à cause du manque de lits et de moyens. Pour preuve, chaque année le même phénomène se répète.

     

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info