GJN1 gjngjN

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

covid - Page 9

  • Derrière le Covid, le ras-le-bol des Français

    Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2021

     
    Derrière le Covid, le ras-le-bol des Français

    Et si l’on donnait la parole aux Français ? (41e)

    Par Michel Geoffroy, auteur de Immigration de masse. L’assimilation impossibleLa Super-classe mondiale contre les peuples et La Nouvelle guerre des mondes ♦ L’actualité liée au Covid, sur médiatisée, tend à faire oublier que la défiance des Français à l’égard des commandements du politiquement correct et du Pouvoir n’a pas diminué, bien au contraire, comme le montrent les sondages d’opinion, y compris chez les sondeurs habituellement favorables à Emmanuel Macron.
    Un avertissement pour toute la classe politique dans la perspective des élections présidentielles de 2022.

    Immigration, asile  et diversité : le ras-le-bol

    71 % des personnes interrogées estiment que la France « compte déjà beaucoup d’étrangers et qu’accueillir des immigrés supplémentaires n’est pas souhaitable », un taux en hausse de sept points par rapport à une enquête similaire de l’Ifop en 2018.

    64 % établissent un lien entre terrorisme et accueil des réfugiés migrants, une proportion qui a augmenté de 11 points en trois ans.

    81 % des personnes interrogées estiment qu’il faut « mieux maîtriser l’immigration » (sondage Harris Interactive/Challenges réalisé du 19 au 26 juillet 2021).

    55 % se disent aussi inquiets vis-à-vis des politiques censées encourager la « diversité », un taux en hausse de 11 points par rapport à 2018. Un sentiment progresse (+10 points en un an) : celui d’une diversité « qui génèrerait des politiques favorisant les minorités au détriment de la majorité », une opinion partagée par 62% des sondés. Enfin, 54 % des personnes interrogées estiment que «la diversité nous fait perdre notre identité, nos valeurs ». (« baromètre de la fraternité » de l’Ifop réalisé du 27 au 30 avril 2021).

    66% des personnes interrogées se montrent favorables au fait que les étrangers condamnés à de la prison purgent leur peine dans leur pays d’origine (sondage de l’Institut d’études CSA pour CNews réalisé le 2 juin 2021).

    79% des personnes interrogées sont hostiles à l’accueil de réfugiés afghans n’ayant pas travaillé avec la France (sondage Harris interactive LCI réalisé du 24 au 26 aout 2021).

    Le rejet du Système

    61 % des personnes interrogées ne veulent pas qu’Emmanuel Macron se représente à l’élection présidentielle en 2022 ; 59% estiment que son bilan est mauvais (sondage Odoxa-Backbone Consulting pour le Figaro et franceinfo réalisé les 2 et 3 juin 2021).

    60% des personnes interrogées ont une mauvaise opinion d’Emmanuel Macron comme de Jean Castex.54% des Français estiment qu’Emmanuel Macron et le gouvernement gèrent mal la crise ; ils sont également largement opposés à la vaccination des enfants (63%). (Observatoire de la politique nationale BVA-Orange-RTL réalisé 25 et 26 Août 2021).

    76 % des personnes interrogées jugent que “les médias ont tendance à tous dire la même chose” et que “la diversité des opinions dans les médias s’est réduite ces dernières années” . La méfiance (55%) est le premier sentiment ressenti par les Français face aux médias, devant la colère (18%), le dégoût (17%) et l’intérêt (16%) (sondage IFOP Opinion pour Flint-Média réalisé les 1ers et 2 juin 2021)

    81 % des Français estiment la justice française manque de sévérité vis-à-vis des délinquants. Dans le détail, 37% des sondés sont « tout à fait » d’accord pour dire que la justice française est trop laxiste, et 44% se disent « plutôt » d’accord (sondage réalisé par l’institut CSA les 25 et 26 mai 2021)

    Des opinions tranchées

    43 % des personnes interrogées estiment que La France devient une dictature (sondage IFOP pour le JDD réalisé les 11 et 12 août 2021).

    Seules 13 % des personnes interrogées estiment que la France est en progrès (sondage Harris Interactive/challenges réalisé du 19 au 26 juillet 2021).

    Michel Geoffroy
    09/09/2021

  • « Bienvenue à nos nouveaux compatriotes » : plus de 12.000 travailleurs étrangers « en première ligne » face au Covid-19 ont été naturalisés

    Publié par Guy Jovelin le 09 septembre 2021

    Plus de 12.000 travailleurs étrangers en France en “première ligne” durant l’épidémie de Covid-19 ont été naturalisés, a annoncé jeudi le ministère français de l’Intérieur.

    Plus de 12.000 travailleurs étrangers en France en “première ligne” durant l’épidémie de Covid-19 ont été naturalisés, a annoncé jeudi le ministère français de l’Intérieur.

    En septembre 2020, le ministère a allégé la procédure d’acquisition de la nationalité française pour les professionnels de santé, agents de sécurité ou d’entretien, caissiers ou aides à domicile étrangers mobilisés lors de la crise sanitaire, en réduisant notamment à deux ans au lieu de cinq la durée minimale de résidence en France exigée.

    Depuis un an, 16.381 dossiers ont été déposés en préfecture sur l’ensemble du territoire français et 12.012 étrangers sont devenus Français, a détaillé le cabinet de la ministre déléguée à la Citoyenneté au ministère de l’Intérieur, Marlène Schiappa.

    “Ces travailleurs de la première ligne ont répondu présents pour la nation. C’est normal que la nation fasse un pas vers eux. Je souhaite bienvenue dans la nationalité française à nos nouveaux compatriotes et leur dis merci au nom de la République: le pays a tenu bon aussi grâce à eux !”, a déclaré Mme Schiappa dans le communiqué.

    Paris Match via fdesouche

  • “Les plaintes Covid arrivent par milliers”

    Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2021

    “Les plaintes Covid arrivent par milliers”

    Procureur général près la cour de cassation et deuxième magistrat de France, François Molins révèle dans un entretien accordé à LCI dimanche, que “des milliers” de plaintes concernant le Covid ont été déposées.

    “C’est un phénomène qui est nouveau, qui est dû certainement au développement des modes de communication et d’internet, et qui affecte la Cour de Justice de la République.”

    “C’est la commission des requêtes qui l’appréciera. Le même phénomène se produit au Pôle de santé publique de paris. (…) C’est un phénomène qui concerne la problématique dans son ensemble : le volet droit commun ou le volet ministériel.”

    Concernant les ministres, la CJR avait ordonné, en octobre dernier, des perquisitions aux bureaux et aux domiciles d’Olivier Véran et d’Edouard Philippe :

    “La Cour de justice de la République fait la fonction pour laquelle elle a été créée, de poursuivre des infractions reprochées à des ministres dans l’exercice de leur fonction, même si c’était dans le cadre d’une action politique. Il y a un certain nombre de projets de réformes de la CJR. S’il y a un problème là-dessus, il faut que le modèle évolue. C’est la volonté nationale qui soit s’en saisir.”

     

    Source : lesalonbeige

  • Covid, ANSM et effets indésirables des vaccins, jusqu’à la mort in utero

    Publié par Guy Jovelin le 29 août 2021

    L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) dans un rapport de plusieurs dizaines de pages publié aujourd’hui prévient les personnes vaccinées de certains effets indésirables sous surveillance par la pharmacovigilance des vaccins.

    Les quatre injections expérimentales contre le covid sont répertoriées, soit Janssen, vaccin à vecteur viral, Covid-19 Vaccine Moderna, vaccin à ARNm, Vaxzevria, le nouveau nom d’Astrazeneca, vaccin à vecteur viral, et Comirnaty, le nouveau nom du produit de BioNTech et Pfizer, vaccin à ARNm.

    Parmi les nombreux effets indésirables de ces différents « vaccins » est signalée la mort in utero, ce qui n’est pas rien ainsi que « les fausses couches spontanées » qui « représentent la majorité des effets indésirables enregistrés dans la BNPV » pour les femmes enceintes.

    On peut noter aussi que les tranches d’âge qui connaissent le plus d’effets secondaires, graves et non graves, sont celles en-dessous de 65-70 ans, c’est-à-dire les populations qui ont le moins de risque de mourir du covid. Les 30-49 ans sont particulièrement affectés par ces événements post-vaccinaux.

    Curieusement, ces avertissements destinés au grand public ne sont pas relayés de façon visible par les autorités ni les médias mainstream…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Covid : Ne pas confondre nombre de contaminés et nombre de malades !

    Publié par Guy Jovelin le 09 août 2021

    Le littoral atlantique jusque-là relativement épargné par la crise du Covid est actuellement en émoi face à l’augmentation des cas de contamination par le nouveau variant du coronavirus.

    contaminés,covid,maladesLa préfecture de la Gironde, comme d’autres préfectures des départements atteints, a décidé de rendre le port du  obligatoire dans les zones touristiques et d’interdire la consommation d’ sur la voie publique. Bizarrement cette mesure ne s’applique pas dans certaines communes, et heureusement le port du masque n’est pas obligatoire dans les parcs, les jardins, les espaces naturels, et les plages.

    Cet été 2021 sera donc l’été du variant Delta, dont la progression est très rapide au sein de la population sans pour autant entraîner une augmentation très significative du nombre de malades et donc d’hospitalisations. Il semble que ce virus soit effectivement très contagieux mais relativement peu dangereux si l’on en juge par ce qui se passe chez nos voisins européens. Peut-être est-ce lié à la vaccination de masse qui commence à faire effet, ou plus simplement parce que cette mutation est moins pathogène que le virus initial. Quoi qu’il en soit on ne peut que s’en féliciter car, alors qu’on pouvait penser que les autorités reviendraient sur leur  de diminution des lits hospitaliers avec cette crise, ce nombre de lits ne cesse de baisser (il est vrai davantage dans des services de suite de soins que dans des services d’urgence). Tout se passe comme si les autorités essayaient par le biais d’artifices contraignants, , couvre-feu, , etc,  d’adapter l’épidémie aux capacités d’accueil hospitalières, alors que bien sûr ce devrait être l’inverse.

    Mais il faudrait pour cela revenir sur les décisions prises il y a déjà plusieurs années pour administrer le marché de la  avec des règles de gestion industrielle. Un changement d’objectif qui, pour ceux qui nous gouvernent, semble totalement hors de question.

    Alors les autorités nous imposent un vaccin, qui espérons-le sera efficace, et nous menacent de re-re-confinement et de re-couvre-feu si la stratégie gouvernementale ne fonctionne pas. Peut-être d’ailleurs faudra-t-il s’interroger un jour sur l’opportunité de ces mesures qui n’ont pas fait la preuve de leur réelle efficacité, ni disparaître l’épidémie ; et il est probable qu’il faudra nous habituer à vivre avec un virus mutant, comme avec celui de la grippe, ce qui nous obligera donc à nous revacciner régulièrement. Mais, il serait temps aussi de s’intéresser aux traitements que les médecins généralistes (c’est à dire ceux qui voient les malades) utilisent, qui sans être l’arme absolue contre le virus, sont d’un bon recours pour éviter les complications et les hospitalisations.

    Alors cette 4e vague, comme la qualifient les , en attendant la 5e puis la 6e puis la 7e etc, sera- t-elle une simple vaguelette porteuse d’un virus sans doute très contagieux mais plus ou moins atténué, ou au contraire une lame de fond capable de submerger toutes nos possibilités de soins ? Pour l’instant il semble que ce soit la première hypothèse qui soit la plus probable, si l’on en juge par les chiffres que nous procurent les pays voisins ayant une couverture vaccinale importante.

    Pour juger l’importance d’une épidémie, le nombre de nouveaux cas pour 100000 habitants est un bon indice, mais il ne faut pas confondre le nombre de personnes contaminées avec le nombre de personnes malades, ou gravement malades qui nécessitent une hospitalisation. Pour l’instant, les chiffres liés aux hospitalisations et à la mortalité n’ont pas encore augmenté de manière significative.

    Hélas le discours officiel qui se veut toujours très alarmiste, confond volontiers les deux, peut-être pour masquer des incohérences dont le bon peuple pourrait se rendre compte si on ne le maintenait pas dans un état de crainte permanente.

     

    Dr. Jacques Michel Lacroix

    Médecin
    Médecin urgentiste et généraliste